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Raymond Poulin

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    Raymond Poulin120 articles

    • 95 432

    Enseignant (cégep)

    Ph.D. (littérature)

    Basses-Laurentides




De Fratrie en Pratterie

La Presse, c'est le Rona de l'enfoncement du Québécois pour en faire une minorité fédéraliste, néo-libérale et multiculturelle

  • Raymond Poulin
  • 20 août 2007
  • Chronique de Raymond Poulin
  • 1 commentaire

Ah, les "maudits immigrants" !

  • Raymond Poulin
  • 18 août 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 2 commentaires

Le Bloc québécois est-il nécessaire?

  • Raymond Poulin
  • 6 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 5 commentaires

Élection référendaire et déclaration unilatérale d'indépendance

  • Raymond Poulin
  • 1 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 3 commentaires

Adieu, madame Marois !

  • Raymond Poulin
  • 24 juillet 2007
  • Pauline Marois - entre urgence et prudence
  • 8 commentaires

La proportionnelle, vraiment?

  • Raymond Poulin
  • 19 juillet 2007
  • Tribune libre - 2007

Un nouveau parti indépendantiste

Un projet mystérieux et fumeux

  • Raymond Poulin
  • 15 juillet 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 11 commentaires

À René-Marcel Sauvé

  • Raymond Poulin
  • 19 juin 2007
  • Tribune libre - 2007
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Commentaires de Raymond Poulin

  • Pierre Curzi - Sans rire et sans honte

    25 mai 2009


    La marche était organisée par des indépendantistes dont l’objectif était un rassemblement populaire, pas un événement partisan. Reprocher au PQ de ne pas l’avoir organisée à leur place est un non-sens. Par ailleurs, on peut le constater, le PQ y était, mais sans prendre les devants, ce qui convenait à l’objectif du rassemblement. Sans doute, comme le prétend Mme Ferretti, y aurait-il eu plus de gens si cela avait été une organisation de parti, mais, justement, il s’agit d’unir les indépendantistes indépendamment de leur affiliation partisane, de convaincre les citoyens de manifester en leur propre nom leur volonté de réaliser l’indépendance. Cela relève d’une saine pédagogie politique jusqu’à maintenant très peu pratiquée au Québec. Il faut lui donner le temps de produire de plus gros fruits. Il existe suffisamment de choses à reprocher au PQ sans lui tomber dessus (en citant hors-contexte), simplement pour le plaisir de le faire, surtout lorsqu’il se conduit correctement. La patrie passe avant le ressentiment.

  • Pourquoi les électeurs boudent-ils les urnes.

    22 mai 2009


    Monsieur Picard, aux États-Unis, aucun membre de l’exécutif n’est élu, et le président n’est pas élu par les citoyens mais par un collège électoral, lequel n’est pas tenu obligatoirement de voter selon le mandat qu’il a reçu. Le Congrès et le Sénat peuvent bloquer l’exécutif quant au budget mais seulement à certaines conditions et pour un certain temps. Quant à la méfiance des citoyens envers le gouvernement, elle est souvent réelle mais n’empêche pas vraiment l’exécutif d’en faire à sa tête, et certainement pas depuis le 11 septembre 2001. Le Patriot Act annule à toutes fins utiles les libertés individuelles garanties par la Constitution, y compris l’habeas corpus, et une loi autorise la torture des gens accusés (sans preuve légale et sans procès) de terrorisme; on peut aussi les détenir indéfiniment sans les déférer à une cour. Contrairement à ce qu’il a promis, Obama n’a rien fait pour abroger ces lois, de sorte que depuis qu’elles ont été sanctionnées par un vote presque unanime autant chez les Démocrates que chez les Républicains, les États-Unis ne sont plus une démocratie mais un État totalitaire installé, si l’on peut dire, démocratiquement... Et les fonds pour les campagnes électorales, comme toujours depuis l’existence de la république américaine, proviennent à plus de 90% des grandes entreprises et non des personnes. Vous pouvez vérifier, rien de cela n’est secret. Le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple? Oui, les shérifs et même les juges sont élus. Et que pensez-vous qu’il arrive? Les juges rendent leurs décisions en fonction de leur prochaine élection, c’est-à-dire dans le sens des préjugés populaires, et les États-Unis ont, parmi tous les États de la planète, le plus haut taux de citoyens emprisonnés, surtout, bien entendu, des Noirs et des Latinos. Si la démocratie consiste à flatter les préjugés des esprits bas et à faire approuver l’impérialisme par une propagande basée sur la peur des supposés terroristes musulmans (et, avant 1991, sur la peur des Soviétiques), alors oui, c’est une démocratie, mais là, il faut oublier le sens des mots. Quant à la manière dont on se sert des référendums, soit en même temps que les élections, cela aboutit à des bulletins de vote parfois aussi longs et complexes qu’un contrat notarié; vous croyez, vous, que les électeurs ont pris le temps de peser le pour et le contre pour chaque question?

    Cela dit, je n’entends pas défendre le système politique tel qu’il est chez nous.

  • Consensus et légalité - selon nos politiciens

    19 mai 2009


    Ce que vous dites de la Charte des droits et de l’opinion générale des parents est exact. Quant au cours D’ECR, il s’agit d’une macédoine cultuelle qui n’aborde aucunement la spiritualité, en plus de proposer certaines activités allant à l’encontre de l’objectif déclaré. On a trompé la population, et cela ne peut avoir été fait innocemment, compte tenu de tous ceux qui lui ont prêté la main et de tous ceux qui forcent la main des parents. Bien que n’appartenant à aucune Église, j’abonde dans votre sens au nom de la liberté en général et des droits des parents en particulier. Autant la collusion qui existait naguère entre l’État et l’Église catholique que la collusion actuelle entre le même État et ceux qui veulent déraciner toute spiritualité et toute appartenance relèvent d’un totalitarisme, même si une bonne part des députés qui ont accepté cette mauvaise action l’ont fait par manque de discernement, ce qui s’avère parfois plus dangereux que la simple mauvaise foi.

  • Lettre OUVERTE à Pauline Marois... et aux éluEs indépendantistes

    16 mai 2009


    Il n’existe sans doute pas d’autres chemins réalistes pour le moment, comme vous dites, madame Hébert, mais, dans son état actuel, le Parti québécois n’est pas davantage un chemin réaliste, par sa propre nolonté (pour reprendre un terme de M. Sauvé), et ce que vous en écrivez vous-même depuis quelque temps va dans ce sens, même si vous le faites sur un ton plus modéré que n’importe qui d’autre. Et c’est justement là que le bât blesse : l’establishment du Parti semble se dire que puisque beaucoup de ses critiques sont résignés, en dernière analyse, à l’endurer quoi qu’il fasse, il peut tout se permettre. Il n’a cure que nous votions en nous bouchant le nez pour autant qu’il soit assuré de nos votes. Alors à quoi cela nous mène-t-il? L’objectif premier n’est pas d’élire un gouvernement péquiste mais de faire l’indépendance à terme. Si ce parti ne veut pas d’abord travailler à atteindre, directement ou par quatre chemins, cet objectif, alors nous perdrons des années peut-être cruciales à attendre Godot. Ou bien nous acceptons de construire et de financer autre chose ou bien nous forçons le PQ à s’amender. Il existe d’ailleurs un moyen de le pousser dans le coin : des retours massifs de cartes et, surtout, la grève des cotisations et des dons; là comme ailleurs, money talks. Nous ne pouvons pas nous permettre de continuer à subir son jeu simplement par attache sentimentale. Quant à madame Marois, elle s’est déjà suffisamment enfargée dans les fleurs du tapis pour n’avoir plus droit aux errements. Après tout, il ne s’agit pas d’une novice, loin de là, et personne ne l’a contrainte à prendre le poste. On attend d’elle bien autre chose que de se forcer à prononcer le mot souveraineté une fois par mois pour rassurer les inquiets.

  • Lettre OUVERTE à Pauline Marois... et aux éluEs indépendantistes

    16 mai 2009


    Madame Hébert,

    Vous avez été une fidèle exemplaire du Parti québécois tout en exerçant un esprit critique remarquablement tolérant, civilisé et scrupuleusement honnête. Si votre patience est à bout et votre confiance, sur son déclin, il est plus que temps que madame Marois et son état-major commencent à se demander où en sont rendus les indépendantistes dont l’aune des vertus n’atteint pas la vôtre. Ce que vous nous rapportez du traitement de vos lettres antérieures illustre assez la suffisance et l’arrogance voire le mépris de la nomenklatura péquiste envers les membres du Parti. Si votre présent appel n’était pas rapidement suivi d’une réponse qui, surtout, ne sacrifie rien à l’évitement ou à la langue de bois, il nous faudrait tous en tirer une conclusion définitive, monsieur Parizeau dût-il persister. Il y a un temps pour tout, et ce ne sera pas sur la fin du présent mandat libéral qu’il sera temps d’y songer. Une crise ouverte me paraît préférable à une résignation sans fin, qui finirait par devenir mortelle. Cela fera bientôt quatorze ans que des millions de personnes rongent leur frein, renoncent à leur objectif par dépit ou se lancent dans toutes les directions sans aboutir.

    P.S. Enfin, le mot est sorti tout seul : indépendance!

  • Folkpartiet milite vigoureusement afin que la Suède se joigne à l'Otan

    13 mai 2009


    Un Québécois vivant à l'étranger, qui nous renseigne tout en continuant de travailler à l'indépendance de sa nation: ce que vous faites, monsieur Racine, est beaucoup plus un véritable patriote que bien des Québécois chez eux qui ne font que du sur-place. Nous avons besoin de ceux qui ne se laissent pas enfermer dans leur bulle. Merci.

  • Le nouveau cours d'histoire est une kétainerie

    13 mai 2009


    Pleinement d’accord. Et les hauts fonctionnaires du MELS seraient bien étonnés d’apprendre que, lorsque nous les renseignons sur le sujet et en discutons ensuite avec eux, la plupart de nos étudiants au cégep sont furieux d’avoir été décervelés au secondaire. Je n’ai jamais compris comment les fonctionnaires et les universitaires responsables de ce gâchis, dont la plupart appartiennent au bébéboumeurs, ont pu à ce point dérailler et tomber dans le kitsch de la rectitude politique.

  • Autour de la Romaine

    12 mai 2009


    Les peuples autochtones, de par leur droit ancestral de premiers occupants, doivent certainement voir reconnu un statut qui tienne compte de leur mode de vie, incluant la participation aux profits tirés de l’exploitation du territoire et de ses richesses souterraines. Les limitations que leur impose la loi fédérale (statut de mineurs et réserves, entre autres) doivent disparaître.

    En revanche, ils représentent moins de 1% de la population du territoire. Il va de soi que revendiquer près de la moitié de l’espace territorial n’est pas réaliste, ce qu’ils savent d’ailleurs fort bien. Il est cependant compréhensible qu’ils jouent leurs cartes en utilisant les moyens qui leur permettent le mieux de faire vibrer les cordes sensibles tant que le contentieux global entre eux, le Canada et le Québec n’aura pas été réglé une fois pour toutes, et c’est d’abord une question de dignité. On ne leur fera pas lâcher prise tant qu’on essaiera d’acheter cette dignité par de l’argent, un moyen qui s’avère à la fin plus onéreux qu’un véritable règlement et ne suscite que la colère et le mépris des deux côtés.

    Beaucoup de Québécois, étrangement, se comportent à l’égard des premières nations comme le Canada se comporte envers nous. Attitude compensatoire de faibles qui déversent leur frustration sur un plus faible?

  • Pas forts mais pas morts

    8 mai 2009


    Monsieur O, veuillez m’excuser de vous avoir confondu avec Gébé, les yeux m’ont fourché; vous ne méritez pas ça...
    Ce ne sont pas les collabos qui me préoccupent mais plutôt la flopée de gens ordinaires encore mentalement colonisés. Ça se soigne, sauf que ce n’est pas en s’écrivant et en se lisant entre convaincus qu’on y arrivera. Ça se fait au travail, entre voisins, entre amis, dans la parenté, dans une buvette et partout où une certaine convivialité est possible; ça se travaille un à un, ça exige de la patience, du temps, de l’imagination, de l’adaptabilité et le sens de l’humour, sans compter le respect des autres. Le contact humain, d’homme à homme, est primordial. C’est long et souvent frustrant. Après trente ans d’efforts de ce genre, je ne peux compter avec certitude que moins d’une centaine de convertis vaccinés, ce qui en fait peu pour chaque année, c’est vrai. Mais multipliez le nombre annuel par seulement cinq ans et 30 000 pèlerins, ajoutez le total aux indépendantistes et souverainistes actuels, et voilà un résultat suffisant pour franchir la dernière étape. Sans radio, sans télé, sans journaux, sans moyens financiers, sans même internet, ce qui n’est pas une raison pour négliger ces moyens, ça va de soi. Lorsque tous ceux qui veulent vraiment un pays auront tenté et tenu le coup au moins quelques mois, peut-être le pessimisme, prudent ou pas, sera-t-il moins nécessaire. On n’atteint aucun objectif en s’en tenant strictement à développer des théories ou en se réunissant entre sympathisants ou militants seulement. Je ne me pose pas en modèle, d’autres ont effectué le même travail et bien mieux que moi, mais il en faudrait beaucoup plus, et plus jeunes.

    Je sais que les petits moyens paraissent dérisoires à nombre d’intellectuels patentés et de politiques certifiés, ce qui n’a cependant jamais empêché les plantes de pousser sur le fumier. Nous voulons des indépendantistes? Alors formons d’abord des indépendantistes avant de recruter des partisans. Le parti politique nécessaire, si jamais il n’existe pas ou plus, se formera (ou se réformera) de lui-même le temps venu: lorsque l’indépendance sera devenue l’exigence claire d’une majorité de votants potentiels, les partis existants se convertiront à leurs nouveaux intérêts après une basse messe très courte.

    Mais, cela étant dit, la conjoncture peut se transformer rapidement, comme l’affirme M. René-Marcel Sauvé (voir ses récents articles), provoquant une montée soudaine quoiqu’inattendue de la faveur populaire pour l’indépendance (durable ou pas, cette fois?). Dans une telle situation, l’appareil politique, de son côté, ne serait pas vraiment prêt, ce qui constituerait un terrain propice au danger de guerre civile, d’autant plus que, présentement, le Québec ne peut pas vraiment compter sur une milice armée et préparée et pas davantage sur des services policiers aptes à contrôler un tel événement. Ce scénario n’est pas à exclure du champ des possibilités, d’autant plus que les deux principaux partis politiques canadiens et la haute fonction publique fédérale (sans oublier les états-major des forces armées et de la GRC) comptent leur lot de cyniques et de machiavéliques parfaitement capables de souffler sur le feu et même, s’il le faut, de l’allumer. Dans ce cas, nous devrons apprendre rapidement à dure école ou nous écraser pendant un temps très long et très triste. Surtout, qu’on cesse de croire que cette éventualité est impossible ici; les Canadiens et les Québécois ne sont pas plus à l’abri que les autres de la stupidité, de la rapacité et de la brutalité humaines, et ce ne sont pas les affiches et les pancartes pacifistes, quoiqu’honorables, qui nous serviront de paratonnerre.

  • Pas forts mais pas morts

    7 mai 2009


    Monsieur O,

    La mondialisation telle que nous la connaissons depuis une trentaine d'années est la version, si l'on peut dire, des multinationales et du système financier. Non seulement elle ne durera pas toujours sous cete forme mortifère, mais je suis prêt à parier qu'elle a déjà du plomb dans l'aile, surtout parce que ceux que nous appelons les pays émergents ont déjà commencé à s'allier pour la faire dévier. La crise actuelle ne constitue pas non plus un atout en sa faveur. D'ici au maximum dix ans, le jeu sera transformé ou ce sera le chaos. Je ne crois pas au chaos, ce qui ne prouve rien.

    D'accord avec ce que vous dites de la manifestation du 11 mai, mais avec un bémol: combien de ceux qui auraient voulu y être n'y seront pas parce qu'ils travaillent le lundi et n'ont pas tous, loin s'en faut, le loisir de s'en absenter?

    On nous a imposé des chefs? Peut-être est-ce possible. Existe-t-il des indices probants? Je serais curieux de les connaître.

    En dépit de ce que vous dites en ce qui concerne les pays que j'ai cités en exemple, il a tout de même fallu, particulièrement dans le cas tchèque, une extraordinaire résilience populaire, sans laquelle aucun adjuvant extérieur n'aurait pu recréer la nation de toutes pièces.

  • Le maire Tremlay doit-il partir?

    4 mai 2009


    Possiblement l'analyse la plus objective et la plus juste du comportement du maire Tremblay. Je doute toutefois que Louise Harel soit enthousiaste à l'idée d'hériter de la situation kafkaïenne qu'a créée Charest par le corset administratif qu'il a imposé à Montréal lors de la défusion. Il aurait voulu détruire la métropole qu'il n'aurait pas agi autrement.

  • La vacuité contre la reine et son prince

    1 mai 2009


    Il ne s’agit pas d’éliminer le Parti québécois, monsieur Bousquet, il s’agit de le convaincre de faire ce pourquoi il prétend exister, de respecter sa raison d’être. J’ai également précisé, dans le même commentaire, que je ne m’en remettais pas aux partis que vous mentionnez. Prenez le temps de lire avant de répondre.

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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