Nous n'avons pas le choix de continuer à résister
13 février 2012
M. Didier ( pseudo ), commence par décourager les militantes. Cette entrée en matière lui permet de manière défaitiste de postuler que la fatalité ne peut en aucun cas permettre à ce peuple d'USER de ses PLEINS POUVOIRS DÉMOCRATIQUES. Tout reposerait selon lui sur de supposées jeunes générations inconséquentes et irresponsables, comme si elles étaient et devaient être les seules à décider. Ce n'est pas le cas.
Sur cette base défaitiste, qui NIE la primauté EFFECTIVE de la SOUVERAINETÉ DÉMOCRATIQUE de ce peuple qui répudie l'État ILLÉGITIME canadianisateur actuel, il postule que ce peuple est IMPUISSANT et INCAPABLE, alors même que c'est la minorité activiste canadianisatrice qui est IMPUISSANTE. C'est ELLE qui est INCAPABLE d'obtenir le clair OUI de ce peuple. Pourquoi faudrait-il omettre de considérer ce fait ?
Nous sommes le 99% en faveur d'une DÉMOCRATIE @ 100%
Mêmes les pouvoirs économiques doivent en tenir compte. Que nous soyons à leurs yeux que des producteurs/consommateurs ne compte pas, parce que nous produisons et consommons la DÉMOCRATIE. Mieux, c'est LE PEUPLE en DÉMOCRATIE qui détient les PLEINS POUVOIRS capables d'INVALIDER sur SON territoire national TOUT État qui n'a pas obtenu le clair OUI de la démocratie québécoise.
S'il y a une identité à « retrouver » c'est notre identité DÉMOCRATIQUE qui fait de la primauté de « notre statut citoyen » le MAÎTRE du JEU. Faire diversion sur un « revenu de citoyenneté universel » ne fait que LIMITER le pouvoir souverain du PEUPLE à une IMPUISSANTE gouvernance COLLABO de la dictature actuelle qui s'impose SANS avoir obtenu le clair OUI de ce peuple.
La gauche collabo ne vaut pas mieux que la droite collabo, c'est toujours la DICTATURE.
Seule l'UNION des forces DÉMOCRATIQUES de ce peuple qui transcende la gauche et la droite est en mesure de placer au sommet de l'État LE PEUPLE SOUVERAIN du Québec LUI-MÊME. Tout le reste n'est que diversion défaitiste débilitante et fataliste. On aura beau convoquer le très estimé Michel Chartrand, ça ne change rien.