Ce que révèle le bras de fer entre le PDG d'Hydro-Québec et le régime libéral
3 septembre 2018
Pour qui voter
Déjà, sur une simple de déclaration de Jean-François Lisée, le ROC découvre ce que pourrait signifier la gouvernance souverainiste si le Parti Québécois forme le gouvernement.
Lettre ouverte à Pierre-Karl Péladeau
Faire coïncider vos intérêts avec ceux du « peuple »
Pour qui voter
Un choix existentiel pour notre nation.
Pour qui voter
En attente de modération
Retour sur le désastre financier à la Caisse de dépôt
Pour qui voter
En attente de modération
Sa stratégie : saper les bases du Parti Québécois
En réponse à M Yvan Parent
La gravité de la situation commande plus de rigueur
Charest, sous médication pour contrôler ses humeurs
La fin du Canada de Trudeau (suite)
En toutes circonstances, il faut se demander en quoi cela sert la cause.
Rappel
Péladeau c. Desmarais, en quoi cela sert la cause
Pierre Bouchard - Le difficile changement de paradigme
Rappel
CAQ : Rebello, pas crédible comme critque sur le dossier de la Caisse
Et, qui est le véritable père du CAQ ?
Île Bizard
Les textes de MM. Richard Le Hir et Pierre Cloutier sur les circonstances dans lesquelles Pauline Marois et son époux Claude Blanchet ont acquis des terrains sur l’Île Bizard sont suffisamment préoccupants pour que l’on aborde le problème de front plutôt que de s’enfouir la tête dans le sable. Et cela pour le bien même de la cause.
Donc pour contrer la Constitution canadienne, il nous faut au nom du principe de l'équivalence adopter en priorité une Constitution de l'État du Québec.
La nuit des longs couteaux ... à deux tranchants
Le Plan Nord et les visées de Power Corporation
3 septembre 2018
15 août 2018
Le Bras de fer se transpose au sein même du CA d'HQ ....
14 août 2018
30 juillet 2018
« Y a de la privatisation dans l'air » Dites-vous.
Oui et depuis longtemps :
En fait, le régime libéral a entrepris depuis 2003 la privatisation à la pièce des filières énergétiques d'Hydro-Québec.
Le gouvernement libéral a forcé Hydro-Québec à signer avec le privé des contrats à long termes d’achat d’électricité à hauteur de 40 milliards.
Électricité qu'Hydro-Québec n'avait pas besoin, payé à prix gonflés : un trop payé de 10 milliards !
Autant d'argents pigés dans nos poches et transférés aux amis du régime.
Démonstration : http://cccorruption.com/dossier-hydro-quebec/
22 juillet 2018
ÉLECTION 2018
Un seul choix véritable...
Le constat s'impose : ce n'est plus le projet souverainiste qui est en péril mais, la nation qui porte le projet. Ce déclin découle de plusieurs facteurs : la mondialisation qui déstructure les États, la matrice fédéraliste qui progresse dans son projet d'éteindre notre nation, jusqu'à nous réduire à l'échelle d'un groupe ethnique dans le beau grand Canada du multiculturalisme, et, l'abandon de notre État aux mains des prédateurs du régime libéral.
Dans ce contexte, croire que Francois Legault, qui est un pions des mêmes réseaux affairistes, puisse représenter une garantie pour un redressement nationale relève de l'illusion politique.
Dans ce contexte, un seul choix véritable pour stopper le déclin de la nation, passage obligé pour reprendre la marche vers la rupture, malgré ses nombreuses lacunes : Le Parti Québécois.
JCPomerleau
28 juin 2018
Vidéo de l'intervention de Daniel Breton le 11 avril 2013 (att: 42,20) :
http://www.assnat.qc.ca/fr/video-audio/archives-parlementaires/travaux-assemblee/AudioVideo-45247.html
28 juin 2018
SOS, Daniel Breton :
Retour sur sa charge en règle contre le régime libéral en avril 2013 :
Lors des dernières "Escamouches" sur Gentilly-2 ( Assemblée nationale, jeudi 11 avril, 2013) Daniel Breton a eu toute une envolée qu'il vaut la peine de publier ici :
Le Vice-Président (M. Cousineau): Merci, M. le député de Mégantic. Alors, je cède la parole maintenant au député de Sainte-Marie-Saint-Jacques. Il vous reste 9 min 54 s.
M. Breton: Merci. Merci, M. le Président. J'ai écouté avec attention ce que le député libéral de Mégantic a dit au sujet du désastre politique, technique et financier que représente la fermeture de la centrale nucléaire Gentilly-2. Il a parlé beaucoup d'une stratégie énergétique qui devait être vue à long terme. Je dois vous dire, je suis d'accord avec lui que ça prend une stratégie énergétique à long terme et je suis d'accord avec lui que c'est un désastre politique, technologique et financier. Mais ce qu'il omet de dire, c'est que c'est un désastre bien libéral.
Commençons d'abord par le désastre politique. On a appris récemment qu'Énergie atomique Canada a su, le 14 mai 2012, qu'on n'allait pas de l'avant avec la réfection de la centrale nucléaire de Gentilly-2. Donc, ce qu'on a compris, c'est qu'il y a une campagne électorale qui a été faite en omettant de dire aux gens de la région que le gouvernement précédent avait pris la décision de fermer cette centrale-là, donc de nous mettre ça sur le dos. Vraiment, c'est assez incroyable.
Désastre financier. Effectivement, c'est un coup dur pour la région. Un coup dur pour la région, pourquoi? Parce que le nucléaire, ça s'est avéré que c'était une filière qui était excessivement onéreuse. On va juste parler de Gentilly-1. Gentilly-1, qui a été autorisée sous le gouvernement Lesage en 1966, a été ouverte pendant 182 jours. Et là on se rend compte que ça va pouvoir prendre jusqu'à 120 ans pour s'occuper de son déclassement. Faites un calcul rapide: 182 jours d'opération, 120 ans avant d'être capable de la déclasser. Ça, c'est payant.
Parlons de Gentilly-2 maintenant. La centrale nucléaire de Gentilly-2 a été autorisée sous le gouvernement de Robert Bourassa en 1973. L'entente, au départ, était très simple: on parlait d'un investissement du gouvernement canadien, qui avait incité le gouvernement du Québec à aller de l'avant avec cette centrale-là, un investissement de 175 millions du gouvernement fédéral et de 175 millions du gouvernement du Québec. Qu'est-il arrivé dans les faits? Dans les faits, ce qui est arrivé, c'est que, lorsque le gouvernement de René Lévesque est arrivé au pouvoir, on n'était plus à 350 millions au total, on était à 1,4 milliard pour la construction...
M. Breton: ...du gouvernement du Québec. Qu'est-il arrivé dans les faits? Dans les faits, ce qui est arrivé, c'est que, lorsque le gouvernement de René Lévesque est arrivé au pouvoir, on n'était plus à 350 millions total, on était à 1,4 milliard pour la construction, en 1977. Calculez combien ça donne aujourd'hui. Et combien est-ce que le gouvernement fédéral investissait sur la... ce n'était plus la moitié de 350 millions ou la moitié de 1,4 milliard, c'était toujours 175 millions de dollars pour le gouvernement fédéral, pendant que, nous, on payait la totale. Vous voulez parler désastre financier? Ça, c'en est un beau.
Pour ceux qui connaissent le Federal Energy Regulatory Commission, la FERC, ils ont déterminé, de façon très claire, que l'énergie la plus chère de tous les types d'énergie était l'énergie nucléaire, et donc la moins compétitive et la moins flexible. Aujourd'hui, on est à l'heure des «smart grids». Les «smart grids», ça veut dire l'énergie qui va être produite et consommée de façon intelligente. Le nucléaire est exactement le contraire de ça.
Maintenant, parlons de stratégie énergétique. La stratégie énergétique, lorsque le gouvernement libéral est arrivé au pouvoir, on commence en 2003, arrive fin 2003, les audiences du BAPE sur la construction d'une centrale qui est située où? À Bécancour, juste à côté de Gentilly-2. Qu'est-ce qu'on apprend? On apprend que le gouvernement va autoriser... Je peux vous dire exactement la date: le 5 juillet 2004, à 14 heures, Mme Monique Jérôme-Forget était allée annoncer la construction de la centrale au gaz de Bécancour, qui appartenait à TransCanada Énergie, une compagnie albertaine. Donc, qu'est-ce qu'on fait? Ça veut dire qu'on cède au privé une partie du contrôle de notre énergie. Cette compagnie-là dit, en 2004, que l'énergie était pour nous coûter - pour nous coûter - 0,065 $ du kilowattheure. Or, quand la centrale a ouvert ses portes en septembre 2006, le prix qu'ils nous chargeaient était passé à 0,105 $ du kilowattheure; c'est une augmentation de 75 %. Vous parlez de désastre financier?
Mais ce n'est pas tout. La centrale a été ouverte 15 mois. Après 15 mois, qu'est-ce qu'on a découvert? Qu'on était en surplus électrique, et là on s'est retrouvés avec un beau désastre financier. Le gouvernement du Québec, Hydro-Québec a dit: On doit fermer la centrale de Bécancour, après 15 mois. Depuis ce temps-là, un autre beau désastre financier, ça nous coûte entre 150 et 200 millions de dollars par année pour la garder fermée. On paie ça à des Albertains. Si on respecte le contrat de 20 ans que le gouvernement précédent a signé avec les Albertains, ça va nous coûter aussi cher pour ne pas qu'il produisent d'électricité que la construction des deux hôpitaux universitaires. Vous voulez parler de désastre financier? Ça, c'en est un beau.
Continuons. La centrale TAG maintenant, turbines à gaz, construite, en 1993, au coût de 288 millions de dollars, centrale d'appoint qui a comme mandat de fonctionner, en périodes de pointe, de 30 à 40 heures par année. Il y a des gens de la centrale TAG, d'Hydro-Québec, qui sont allés voir la haute direction et qui ont dit: Pourquoi, plutôt que de construire la centrale de Bécancour, qui est une centrale privée, ne pas transformer la centrale TAG, qui nous appartient déjà et qui ne fonctionne que de 30 à 40 heures par année? Savez-vous qu'est-ce qu'ils se sont fait dire? On vous interdit de parler publiquement de la possibilité - au BAPE - de transformer la centrale TAG plutôt que de construire la centrale privée de Bécancour. Donc, on aurait pu transformer la centrale TAG sous le gouvernement précédent plutôt que de construire la centrale privée de Bécancour, et là on a deux centrales une à côté de l'autre qui sont fermées, et ça va nous coûter 3 milliards.
Parlons des gaz de schiste, maintenant. Vous avez parlé des gaz de schiste, tout à l'heure? Vous voulez parler de désastre économique? Combien est-ce qu'on a obtenu pour les droits d'exploration sur les gaz de schiste pendant la même période que la Colombie-Britannique? On a obtenu 3,6 millions. Pendant la même période, la Colombie-Britannique a obtenu 3,5 milliards. Vous voulez parler de désastre économique?
Je n'ai pas fini. C'est ça le pire, je n'ai même pas fini. Vous voulez parler d'un autre désastre économique? La compagnie Siemens... Vous voulez parler de stratégie énergétique? Siemens est allée voir le président d'Hydro-Québec et le premier ministre du Québec pour lui proposer la chose suivante: on vous propose d'installer 4 000 mégawatts d'éoliennes là où il y a les grands barrages, de créer 2 500 emplois à temps plein, permanents. Pas 800, pas 300, 2 500; pas le temps de la construction, tout le temps. Et de construire, en collaboration avec Hydro-Québec, un centre d'expertise, de recherche et développement dans l'éolien, avec l'IREC. Réponse de votre gouvernement: Non. Ça, c'est 2 500 emplois perdus et au moins 4 milliards de dollars perdus.
Ça fait que, là, je regarde...
M. Breton: ...recherche et de développement dans l'éolien avec l'IREQ. Réponse de votre gouvernement: Non. Ça, c'est 2 500 emplois perdus et au moins 4 milliards de dollars perdus.
Ça fait que, là, je regarde. On parle de Siemens, 4 milliards, on parle des pertes en droits d'exploration. Pendant que nous, on a obtenu 3,6 millions en 2008, la Colombie-Britannique a obtenu 3,4 milliards. Ça, c'est un autre 3 milliards. Ça fait que, si on regarde la stratégie énergétique du gouvernement précédent, si on regarde la façon dont vous avez traité le dossier de Gentilly-2, je m'excuse, c'est un scandale, il n'y a pas d'autre mot pour le dire. Vous avez caché aux gens le fait que vous aviez fermé, que vous aviez fermé, que vous aviez annoncé à Énergie atomique du Canada que vous fermiez la centrale nucléaire, mais vous avez fait campagne en le cachant aux gens. Je trouve ça abominable. Je m'excuse, vous devriez avoir honte. C'est aussi simple que ça.
Je travaille sur le dossier de l'énergie depuis des années, et, je m'excuse, M. le député de Mégantic, ce que vous faites et ce que vous avez fait dans le dossier de l'énergie...
Le Vice-Président (M. Cousineau): M. le député, vous vous adressez à la présidence, s'il vous plaît.
M. Breton: ...M. le Président, je considère que ce que le gouvernement libéral a fait sous l'ancienne gestion du gouvernement libéral au niveau de l'énergie, c'est scandaleux. Il n'y a pas d'autre mot pour le dire.
Je vais finir là-dessus. L'avenir de la stratégie énergétique du Québec et l'avenir de l'énergie au Québec doit s'inspirer de ce que René Lévesque et Jean Lesage ont fait avec le Maîtres chez nous , c'est aussi simple que ça. Il faut qu'on reprenne le contrôle de notre énergie et de nos ressources. Il faut qu'on arrête de céder pour des pinottes à des intérêts particuliers ce qui est à nous. C'est à nous et ça doit le rester, parce que, si on perd le contrôle de notre énergie, si on perd le contrôle de nos ressources, on perd le contrôle de notre avenir économique puis écologique. C'est tout. Merci, M. le Président.
28 juin 2018
SOS, Daniel Breton :
Daniel Breton, sur son site Facebook, traite abondamment
du dossier dans tous ses aspects:
https://www.facebook.com/daniel.breton.52
https://www.facebook.com/daniel.breton.52/videos/1828058630587937/?hc_ref=ARR5YFdGEDwvRiVl81hNz3nenV6LvL01Vkd0tICWTf1-gpt9dX3ca-P4m-1T35CWgns
19 mai 2018
Un ajout trouvé sur le net.
La rectitude politique et la relecture de l'histoire (que, l'historien Pierre Tousignant appelle « la rétro-projection »,) :
« ...le « politiquement correct » est le produit d’une grave déviance. Il se nourrit de trois affres peccamineuses : l’anachronisme, le manichéisme et la vulgarisation. L’anachronisme, l’histoire étant jugé à l’aune des critères politiques, mentaux, moraux et culturels de notre époque. Le manichéisme, l’histoire étant conçue comme la lutte du bien et du mal, mais un bien et un mal définis selon les normes actuellement dominantes. Enfin, la vulgarisation, la complexité et la richesse de la chose historique étudiée disparaissent au profit d’une lecture démocratique, exotérique et donc vulgarisée de celle-ci, faussant ainsi l’appréhension de la réalité.»
JCPomerleau
7 mai 2018
Bienvenue sur Vigile
JCPomerleau
24 avril 2018
Pour clairifier la situation :
Le Québec s'est reconnu comme un État de jure par la Loi 99, confirmé par la récente décision du tribunal.
Il faut faire du francais la langue de l'État du Québec. Simplement en modifiant l'article 8 de la Loi 99.
JCPomerleau