J'accuse les assassins de Daniel Johnson
25 juillet 2017
«La vérité NOUS rendra LIBRES»...
Continuons sans perdre espoir.
Merci M. Schneider.
Réflexion préliminaires
Réactions à la revue de presse du ROC (Devoir, 1 mars 2009)
Mission impossible pour nos politiciens partisans
25 juillet 2017
«La vérité NOUS rendra LIBRES»...
Continuons sans perdre espoir.
Merci M. Schneider.
8 janvier 2017
Partagez, s.v.p. Que la vieille chipie reste dans ses iles, point final !
15 décembre 2014
J'y serais personnellement faforable... juste monnaie de la Constitution de 1982 qu'aucun gouvernement québécois n'a jamais signé et dont le rapatriment par PET a été fait sans consultation du peuple, mais par des manigances plus ou moins tordues... Lisez de Frederic Bastien: " La Bataille de Londres" si vous en doutez encore ...
12 juillet 2014
Comme en 1840 au moment de l'Acte d'Union le Québec, (Bas-Canada) a été obligé de payer les dettes du Haut-Canada (Ontario), en 2014, l’Ontario est derrière nous et veut que Québec la sorte du trou en lui vendant à rabais ses richesses naturelles, en laissant passer "gratuitement" le pétrole de l'ouest sur son territoire... évidemment puisque maintenant, on va enlever "la ligne Borden" qui obligeait les provinces de l'est à s'approvisionner en pétrole et à fort prix ailleurs dans le monde.
NON, à une nouvelle union politique et culturelle avec le ROC. Vive le Québec LIBRE de tous ses choix, dans tous les domaines, comme n'importe quel pays "normal" dans le monde!
4 juin 2014
Je recommande tous les vidéos de Jean-Jacques Nantel sur ou sur en particulier le # 10 sur le gros mensonge de la péréquation dont nous "profiterions (trop) largement" au Québec grâce aux "générosités albertaines"
Prenez le temps de bien les comprendre pour agir en conséquence comme Québécois.
28 juin 2013
Le bilinguisme institutionnel est "suicidaire" pour le Québec; il est comme un cancer indolore et pernicieux qui viendra un jour par faire accepter par les Québécois de toutes origines que l'anglais ou plus tard, l'espagnol et/ou le chinois mandarin devienne normal au Québec dans un nombre indéterminé d'années.
Voir : http://www.lautjournal.info Le bilinguisme et l’assimilation en douce
Le moyen le plus intelligemment efficace de faire disparaître une langue est de rendre les locuteurs minoritaires bilingues par Paul Daoust, linguiste.
Les résultats évidents de cette politique se constatent dans le Canada d’alors (Maritimes/Québec/Ontario/Manitoba… d’aujourd’hui) où les francophones représentaient 90% en 1840 alors qu’ils sont à peine 2% en moyenne dans le ROC de 2013 sauf au Québec (de 82% -> 79.6% en 3 ans seulement OUff!) et au Nouveau-Brunswick (de 40% -> 32.7 Re-OUff!).
Complément sur les conséquences du « bilinguisme » national ou régional : http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/EtatsNsouverains/2-presentation_gnrale.htm
19 novembre 2009
Le français et notre fierté à retrouver
Le français, c'est notre identité depuis 1608, 1742, (1759-60), 1837-38, la loi 101(1976), vous me suivez… Le français, c’est pendant longtemps avant la Conquête anglaise et même après celle-ci, la langue officielle sur le territoire connu de l’Amérique du nord, si on excepte les langues amérindiennes.
La Nouvelle-France était un gigantesque territoire qui couvrait la majorité de l'Amérique du Nord. Ce territoire était divisé en trois grandes régions: le Canada (l'actuel territoire du Québec et de l'Ontario), la Louisiane (qui couvrait alors tout le Midwest américain) et l'Acadie (aujourd'hui le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse et l'Île-du-Prince-Édouard).
Voir l’histoire détaillée sur ce site dont je ne cite qu’un extrait seulement pour les jeunes – mes enfants sont nés en 1969-70 – pour qui le passé n’a que peu d’intérêt, hélas !
Voici donc pour vous, ce qui se passait au Québec à mesure que vous grandissiez :
L’année 1976 voit l’élection du Parti québécois qui forme le premier gouvernement indépendantiste de la province. Le Parti québécois a promis en campagne électorale qu’il ne proclamerait pas l’indépendance de la province avant d’en obtenir le mandat à la suite d’un référendum. Le mandat du Parti québécois est donc de bien gouverner la province et non de faire l’indépendance. Les premières années du gouvernement du Parti québécois sont très fructueuses et le gouvernement vote un ensemble de lois progressistes qui sont très bien acceptées par la population (la loi sur la protection de la langue française, la loi sur le financement des partis politiques, la loi sur l’indemnisation des victimes d'accidents de la route, la loi sur la protection du territoire agricole, et plusieurs autres lois de type social-démocrate). Même les adversaires du Parti québécois reconnaissent que le parti gouverne bien la province.
De 1976 à aujourd'hui, le Parti québécois (qui est indépendantiste) et le Parti libéral du Québec (qui n'appuie pas le projet indépendantiste) se partagent le pouvoir : le Parti québécois gouverne la province de 1976 à 1985 et de 1994 à 2003, le Parti libéral prend le relais de 1985 à 1994 et de 2003 à aujourd’hui.
Les gouvernements des deux partis ont de fréquentes querelles constitutionnelles et de juridiction avec le gouvernement fédéral qui est très centralisateur.
En 1980 et en 1995, un gouvernement du Parti québécois propose aux Québécois d’affirmer leur désir d’indépendance au cours d’un référendum. Malgré la satisfaction des Québécois envers le gouvernement du Parti québécois et les querelles fréquentes avec le gouvernement fédéral, les Québécois rejettent les propositions d’indépendance dans une proportion de 59,5% en 1980 et dans une proportion de 50,4% en 1995. Lors des campagnes référendaires, le gouvernement fédéral promet de réformer la confédération canadienne pour satisfaire les aspirations des Québécois.
Malheureusement, ces promesses ne sont pas tenues. Toutes les tentatives de réforme sont bloquées par le Canada anglais qui les considère trop généreuses envers le Québec.
Le problème de la place du Québec dans la confédération canadienne reste donc entier ! Il reviendra hanter les Canadiens et les Québécois au cours des prochaines années.
Adieu donc l’intégration au Canada « dans l’honneur et l’enthousiasme » promise lors du « beau risque ». Nous, les Québécois, n’avons jamais signé la Constitution canadienne rapatriée d’Angleterre sous Trudeau en 1982.
Ces dernières années, le français au Québec est une langue en voie de disparition, particulièrement à Montréal où se concentrent les nouveaux immigrants toujours plus nombreux car la langue de travail – cette loi 101 qui a perdu tout son mordant initial – ne s’applique qu’aux grandes entreprises privées de 50 employés et plus, à la fonction publique québécoise, mais on n’a pas encore réussi à imposer le français dans la fonction publique fédérale établie sur le territoire du Québec et le gouvernement Charest semble bien peu enclin à l’exiger dans un avenir rapproché malgré les belles déclarations de Yolande James le 16 septembre et de lui-même le 7 octobre 2009 comme invités sur TV5-Monde .
Le débat récent (2007-2008) sur les accommodements raisonnables définissant les 3 valeurs québécoises non-négociables d’égalité hommes-femmes, de laïcité de l’État québécois i.e. exclusion de la religion dans la vie civique (scolaire, municipale, provinciale) et la langue française officielle partout sur le territoire québécois n’a pas encore donné tous ses fruits par manque de volonté politique du gouvernement libéral actuel pourtant majoritaire, mais plus porté à tergiverser qu’à solutionner ces problèmes prétextant la crise économique et le peu de fonds suite à ses mauvaises décisions politiques d’il y a moins de 2 ans.
Espérant que les partis d’opposition au Québec (PQ, ADQ & QS) et ceux d’Ottawa (PCC ?, PLC ?, NPD ? & BQ) réussissent à défendre nos valeurs fondamentales et identitaires avant que les vrais Québécois, présentement endormis dans le confort et l’indifférence politique, ne se réveillent pour une révolution qui cette fois ne sera pas si tranquille… je l’espère de tout mon cœur !
André Lacombe-Gosselin
ce 19 novembre 2009.
2 février 2009
REVIVRE “à rebours” LA BATAILLE DES PLAINES D’ABRAHAM
En lisant les commentaires des lecteurs du DEVOIR, je suis content d’apprendre que la bataille de Québec / Sainte-Foy en 1760 a été gagnée par les Français et qu’un autre pan de notre histoire trouverait dans cette « provocante célébration » l’occasion de démontrer au ROC que nous ne sommes pas des vaincus mais des RÉSISTANTS PERPÉTUELS à l’anglicisation.
REPRENONS POSSESSION des PLAINES d’Abraham en foutant DEHORS ce Canada hypocrite et menteur du territoire québécois.
Dans www.Vigile.net , j'apprends aussi que les Plaines d'Abraham NOUS appartiennent déjà puisqu'elles seraient un cadeau d’Ottawa à la ville de Québec lors du 300ème anniversaire de sa fondation en 1908… mais alors expliquez-moi comment il se fait que j’y ai toujours vu le chiffon rouge unifolié flotter au dessus des mats et des édifices de ce parc??? Et la « Royal Canadian Mounted Police » s’y pavaner les jours de festivités ???
René Lévesque a bien nationalisé Shawinigan Water & Power pour en faire HYDRO-QUÉBEC et Camille Laurin a fait adopté la Loi 101. Ce n’était qu’un début… CONTINUONS le COMBAT…
Je propose donc : « Que, dans les plus brefs délais, l’ASSEMBLÉE NATIONALE du Québec PROCLAME "Le Parc des Champs de Batailles" et toutes ses dépendances, TERRITOIRE ET PROPRIÉTÉ du Québec sans compensation d’AUCUNE SORTE puisque nous l’avons déjá AMPLEMENT payé de la vie de nos ancêtres et de nos taxes ».
CESSONS tout simplement d’ENVOYER nos impôts au GOUVERNEMENT FÉDÉRAL pour financer des événements qui ne nous conviennent ABSOLUMENT PAS!
Si le gouvernement fédéral nous déclare la guerre pour autant, DÉFENDONS-NOUS comme bien d’autres pays dans le monde le font au prix de leur vie… Malgré mes 68 ans, je me porte volontaire! Avant d’aller combattre en Afghanistan ou ailleurs, rappelons ici TOUS nos soldats québécois déployés à travers le monde pour reprendre notre liberté aujourd’hui menacée par cette annonce de célébration IDIOTE.
AUX ARMES CITOYENS!
André Lacombe-Gosselin
Cuervo #115,
Lomas del Mar
Mazatlán, Sin. MEXICO
RELIRE s.v.p. le manifeste de Claude Bariteau, André Campeau & coll. « SORTIR le CANADA du QUÉBEC » publié Aux éditions Les INTOUCHABLES (Montréal 2002) 175 pages ISBN 2-89549-072-4
Personne ne suit André Lacombe-Gosselin. Soyez le premier!