Le directeur de la SQ démis de ses fonctions
11 octobre 2012
Réponse @ Claude G.et à Nathalie Grogières
1. Je doute fort que notre printemps érable soit pour quelque chose dans cette décision qui ne peut être que motivée que par une atteinte sérieuse à la sécurité de l'État, comme l'est le bâclage d'une enquête sur des menaces de mort contre un chef de l'opposition, ce qu'était alors Pauline Marois.
2. Le ministre avait mille et une raisons valables de ne pas accabler le chef de la plus importante force policière au Québec, à commencer par ne pas se mettre à dos les troupes, ce faisant.
Richard Le Hir