Des questions toujours d’actualité
Le fait qu’un changement proposé fasse consensus ne devrait pas permettre de faire fi des règles constitutionnelles
LE SOLEIL - ANALYSE
Cela dit, dans la mesure où le Comité des droits de l'Homme des Nations Unies et la Cour européenne des droits de l'Homme ont tour à tour validé des restrictions beaucoup plus importantes que celles prévues par le projet de loi 195, on voit mal au nom de quels principes les instances internationales pourraient invalider le projet proposé par le Parti québécois.
L’immobilisme constitutionnel au Canada n’est pas qu’une affaire de conjoncture