Faudrait-il enfermer les fous de l'asile comme avant?
4 octobre 2024
Les malades mentaux psychotiques laissés en liberté finissent par commettre des meurtres.
À Lac-Saint-Charles au nord de Québec, un fou à lier en crise complètement déconnecté de la réalité tue son voisin.
Mais il est trop tard pour l'enfermer, la victime est morte.
Dès qu'une évaluation psychiatrique poussée détermine un cas de maladie mentale grave, l'aliéné doit être enfermé à vie pour protéger la société de ses actes déments.
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Plus il y a de fous de l'asile en dehors de l'asile, plus il y aura de meurtres faisant des victimes innocentes, généralement la famille proche: la mère, le père, les frères et soeurs, qui savent tous ce qui les attendent, et qui vivent dans la terreur du moment fatal.
Il faut enfermer les fous de l'asile.