Roupie de sansonnet
26 novembre 2014
Moi aussi...je pleure....
Devant cette litanie d’inepties
Aucun n’a osé questionner l’impertinence de ses propos
Coiteux et la pensée magique
À la manière de Carlos Menem en Argentine
Normand Bélair
26 novembre 2014
Moi aussi...je pleure....
26 novembre 2014
Il a su s'entourer de gens qui pensent exactement comme lui.
Présentement il a le chemin libre car l'opposition est plus divisée que jamais.
Un peu à l'image de harper à ottawa.
* Les minuscules sont volontaires.
24 novembre 2014
Ce n'est pas un parti dont on a besoin; mais bien un chef, un vrai!
30 septembre 2014
Welcome!
Kirpan? No problem!
Accomodements? Encore less problem!
Come on in!
Faites what you want! No problem!
Wipe your pieds? No problem.
Des gens very accommodating!
Going down, sous sol.
Misère...
J'ai mal à ma burqa.
26 septembre 2014
Même si il ne restait qu'un seul pouvoir revenant au Québec, selon une nouvelle constitution canadienne ( disons le pouvoir de poser de l'asphalte sur les routes); et bien, Stéphane Dion serait le premier à réclamer son abolition.
26 septembre 2014
Bravo!
- Merci de nous fournir cette fascinante histoire sur la création de la Cour suprême du
canada.
- On a vraiment l'impression, qu'autrefois comme aujourd'hui, nos fédéralistes ne savent pas trop pourquoi....ils le sont.
- Je doute fortement que beaucoup de Québécois connaissaient ce récit historique.
- Un autre pan de notre histoire qui n'est pas enseigné dans nos écoles.
Fascinant!
23 septembre 2014
Une industrie maritime que seulement les Québécois peuvent mettre au travail, si il en avait les pouvoirs;
Et l'oléoduc qui va passer sur le territoire québécois sans aucune opposition; comme une lettre à la poste.
Que dire du Pont Champlain, propriété publique qui sera cédé à l'entreprise privée pour qu'on puisse payer pour un bien qui au départ nous appartenait.
Ce qui me fait dire: Voilà quelques bonnes raisons d'avoir un Bloc à Ottawa.
Mais où sont les citoyens dans tout ça?
22 septembre 2014
Bravo !
Je pense sincèrement, que le PQ, doit sortir du discours codé, en croyant que TOUS les québécois sont à l’affut de la constitution signé sans le Québec en ’82 ; que TOUS les québécois savent que sont les conditions pour que le Québec adhère au Canada, pas plus que le vol systématique du gouvernement central envers la caisse de l’assurance-emploi ; pas plus que l’impacte sur nous des mauvaises liaisons que le parti libéral a eu avec les firmes d’ingénierie et le financement illégal.
Il faut souvent répéter et définir les pouvoirs que le nouveau pays pourrait avoir. Imager les discours pour qu’on puisse le voir ce nouvel état.
Réécrire les objectifs que nous voulons atteindre, sinon pourquoi voter pour ce parti si QS ou la CAQ offre mieux que le PQ ?
Par exemple, j’ai hâte qu’on aborde des sujets tabous tel que le nombre d’immigrants reçus chaque année ici, au Québec. Il est plus que temps d’avoir une vraie discussion sur ce sujet ; soit que nous mettons les énergies nécessaires pour accueillir un si grand nombre (55 000 par an) OU, si non, qu’on en diminue son nombre car actuellement nous n’avons pas les capacités d’accueil pour un si grand nombre et s’assurer de leur intégration. C’est un réel problème, et pourtant aucun parti en parle.
22 septembre 2014
Merci d'écrire vos réflexions.
Monsieur Ougho, j'aimerais apporter mon mea culpa: effectivement on aura compris que je parlais bel et bien du poste de «chef» du parti et non de la «présidence». Mes excuses.
Monsieur Drouin, je veux bien que tous ces gens écrivent «sur leurs blogues», ce qui équivaut à fulminer dans mon salon lorsque je vois Couillard faire son laïus pendant le bulletin de nouvelle.
Honnêtement monsieur Turcotte, je n'ai pas vraiment de nom qui me vient en tête. Je sais qu'il y a du potentiel chez les plus jeunes par contre; et même parmi les candidats défaits. Il faut laisser de la place pour un «rat pack». Suffit de vraiment vouloir leur faire une place.
Il est grand temps que nous jouions sur la scène qui nous énerve tant, le fédéral.
Ne serait-il pas plus heureux d'avoir les fédéralistes sur la défensif, en lieu de toujours tout prendre sur nos épaules, et en plus de s'excuser de juste exister?
Ils nous poussent dans les câbles en nous poursuivant pour savoir quand sera le prochain référendum, et nous de répondre qu'il en aura pas.
Vraiment?
Et pourquoi au juste, nous nous priverions de poser des questions non pas nécessairement sur la souveraineté, mais plutôt sur le fédéralisme que nous vivons au quotidien?
Tout peut y passer par exemple, un référendum sur le pouvoir exclusif de l'immigration; ou le pouvoir exclusif sur les communications, ou le pouvoir de faire appliquer la loi 101 sur même les banques sur territoire québécois.
Les réponses sur ces questions référendaires ont plus qu'une bonne chance d'être gagnantes.
Imaginez un peu l'atmosphère politique...les fédéralistes tous énervés, tentant de démontrer les avantages du fédéralisme face au peuple qui aura répondu OUI à ces questions. Qu'on soit de la CAQ, QS ou même certains du parti libéral; la majorité des gens vont dire oui à ce GENRE de question.
Et pourquoi pas un référendum sur LES CONDITIONS sur le retour du Québec dans la fédérations canadienne? Pourquoi pas? Forcer les fédéralistes à parler de quelque chose dont ils ont tous en horreur.
Poser ce genre de questions, fait en sorte que nous pouvons par la suite mieux identifier et dire les pouvoirs que nous voulons pour les bonnes raisons.
1. D'ici la prochaine élection il est urgent que le PQ soit impliqué dans nos quotidiens, ne pas laisser les fédéralistes occuper tout l'espace.
2. Refaire un programme ATTRACTIF!
3. Provoquer la conversation, voilà notre mot d'ordre une fois au pouvoir, tout en gérant le quotidien et préparant la souveraineté par la façon dont on écrit nos lois.
En terminant, je trouve dommage qu'on ferme la porte à de bons candidats, en gardant élevé le montant d'argent exigé pour entrer dans la course.
20 septembre 2014
Une autre réflexion:
Pourquoi sommes-nous si troublé par ce «référendum maudit»?
À ce que je sache, Québec Solidaire, aussi est un parti souverainste.
Et qu'elle est SA date de son référendum, au cas où, qu'il prenne le pouvoir?
Je n'ai jamais entendu Françoise répondre directement à cette question.
La seule chose qu'elle dis: qu'ils vont faire une constituante quelconque...
O.K. d'accord, et puis après le rapport final, comment va fonctionner votre référendum?
Je trouve qu'elle s'en sauve à bon compte, la madame David.
20 septembre 2014
««Et que dirons nos perroquets fédéralistes à Québec : Ils n’auront rien à dire !! Ils seront coincés car aucune proposition ne viendra pour "réformer le fédéralisme".»»
Peter Benoit---
Et si le contraire était vrai?
Prenons par exemple; que le PQ promette...un référendum... sur le rapatriement total du domaine des Communications, dès la première année !
Hmmm?
Imaginez un peu...où pensez-vous, les fédéralistes pourraient-ils se loger?
Hmmm?
Nul part!
Imaginez, déjouer les libéraux durant la campagne électorale; contre-carrer les fédéralistes durant la période référendaire!
Qui oserait voter NON à un rapatriement de pouvoir vers Québec à part des ultra-fédéralistes?
Et une fois gagné, les 3 années suivantes, les souverainistes seraient dans une position d'attaquer en lieu d'être sur la défensive perpétuelle...
Simplement une réflexion, qu'en pensez-vous?
20 septembre 2014
Aujourd'hui, le message semble être clair: On veut être comme les autres, pas différent des autres...
C'est rassurant d'avoir des McDonald et des Walmart pareils, partout!