Tranche de vie !
18 août 2010
Un texte émouvant, porteur et pourtant drôle.
Je l'imprime et je l'épingle un peu partout et si je manif., je le plie dans mon portefeuille.
Merci
Réplique à la partisanerie aveugle
C’est assez simple, je crois que l’on ne peut simultanément survivre et gagner comme parti politique provincial et être en même temps le véhicule de lutte pour l’accession à l’indépendance.
Pédagogie de l'indépendance
Sophie Cousineau révèle la profondeur de l'esprit colonisé
Qui a payé pour le NPD au top?
Instinct grégaire et hyperbole
Lire Chomsky pour comprendre les stratégies médiatiques
Les sondages forment l'opinion ils ne la reflètent pas
Parce qu'il faut bien rire un peu
Jurer allégeance à l'andouille installée à demeure au sommet de l'État?
la fracture est si grande entre Canadiens et Québécois, que les Canadiens ne sont même pas capables de la voir
Les effets secondaires de l'annexion
La critique de Kelly n’est pas plus conservatrice qu’une autre; elle est sévère
En consolidant par sa manipulation rhétorique l'idée selon laquelle Vigile hébergerait vraiment des textes antisémites, c'est sur l'indépendance qu'il vient de pisser.
La laïcité n'est pas la haine de soi
18 août 2010
Un texte émouvant, porteur et pourtant drôle.
Je l'imprime et je l'épingle un peu partout et si je manif., je le plie dans mon portefeuille.
Merci
18 août 2010
Il est difficile d'ajouter quelque chose après vos remarques, vous faites vous-même un appel à l'union et à la lutte, là où je n'arrivais qu'à faire un sous-entendu.
J'ajouterais que nous ne devons pas nous priver d'user le slogan de Maurice Séguin : «Vivre c'est agir.» Il concentre l'essentiel de tout argumentaire cohérent.
Comme l'a dit Churchill, ce n'est pas le début de la fin, mais c'est peut-être la fin du début. Si nous pouvons enfin grouper notre tir, si nous pouvons faire aussi mal à nos adversaires que nous savons nous faire mal entre nous, nous aurons enfin l'espace pour convaincre ceux qui doivent l'être.
18 août 2010
Monsieur Pérez,
La citation que vous utilisez en exergue est de Malcom X.
Il me semble plus du côté palestinien que du côté israélien si on situe son expérience à l'aune de la ségrégation qu'il a combattu. Bien que je vous aie suggéré de lire Zinn, je suis étonné que vous utilisiez ce livre pour réaffirmer la même rengaine. Puisque vous suivez mes conseils, pourquoi ne pas s'intéresser au «Mur d'acier», le concept théorique plutôt que le mur de sécurité?
Cela vous forcerait à lire sur le postsionisme et je le répète, à voir avec l'autre bout de la lorgnette, car bien que vous le citiez, vous ne pouvez lire Zinn et demeurer aussi convaincu du beau rôle des États-Unis. Je crois malheureusement que vous avez simplement trouvez ce passage sur Vigile... Je l'ai envoyé moi-même il y a quelques jours...
18 août 2010
@JLP
Dans un commentaire, vous faites référence à votre propre article sur le déclin de la pensée logique tout en refusant de voir que vous ne la pratiquez pas toujours.
Je pourfends certaines de vos propositions par le recours à des sources émérites et des théories plébiscités, exposant par là votre vision très fragmentaire. Certains textes sur Vigile sont aveuglément partisans, mais d'autres sont très souvent d'une grande rigueur, votre généralisation ne tient pas.
18 août 2010
Peut-être qu'on devrait aussi parler de la grande mosquée de Cordoue, convertie en cathédrale après la Reconquista?
Une petite lecture, «Les Croisades vues par les Arabes», d'Amin Maalouf vous permettrait sans doute de renverser la lorgnette pour un instant.
18 août 2010
J'ai commencé à lire le texte sur Emmanuel Todd et je remercie Monsieur Audet d'avoir indiqué un lien, je vais devoir le relire, mais je vois que certains des aspects soulevés répondent clairement aux lumières que Luc Potvin apportait dans son commentaire.
Je n'ai en effet pas parlé des dérives liées à «la dictature des marchés», de son corolaire, la surconsommation et de la mondialisation. J'ai désolidarisé le thème postmodernité/modernité de la question économique parce que c'était déjà une question complexe, mais il faudra bien rassembler ces pièces. «Les Vraies lois de l'économie» de Jacques Généreux indiquent des clés pour que l'on comprenne la nature de notre assujettissement aux dictats des décideurs financiers. Par ailleurs, les grilles marxistes, malgré leurs failles était un outil moderne : rationalité (la dialectique), science et enracinement dans l'histoire, il ne faut pas hésiter à se les réapproprier. Avec la grande peur de la dette de l'hiver dernier, lors du dépôt du budget, il faudra bientôt faire le procès de ceux qui nous annoncent les huissiers, nous obligeant, d'une manière très postmoderne à perdre notre esprit critique.
La roulette de la dette de l'Institut économique de Montréal est le genre de bêtise postmoderne que je dénonce.
Quant à Monsieur Thompson, il propose une vision plus incarnée des conflits modernité/postmodernité, vision qui sous-tend la récupération, par certaines élites de la notion de progrès et de rationalité. C'est ainsi que dans la modernité, on a négligé effectivement un rapport plus organique ou solidaire de l'humain avec son milieu. Heureusement, ce sont précisément les scientifiques ayant à coeur le futur de la planète qui renouent avec les intuitions ancestrales.
Enfin, Monsieur Presseault propose carrément le titre d'un essai qu'à défaut d'écrire, que j'aimerais énormément lire. Je n'ai lu qu'un livre de Aquin, «L'invention de la mort», lequel nous livrait un coeur déchiré. Il y a dans le tragique d'Aquin, l'idée que les âmes innocentes sont jetées en pâture aux furies qui habitent «un royaume pourri».
Le propre de la modernité est d'éviter de donner à l'homme l'occasion de se saisir, Aquin semble privé d'un sens qu'il cherche à tout prix.
Notre propre sentiment d'incapacité à nous libérer à quelque chose de tragique, c'est pourquoi il nous faut redoubler de lucidité (la bonne, celle de Séguin, pas celle de Bouchard), nous ne devons pas ployer sous le poids d'un sentiment passager. Croire en la modernité peut nous redonner un ascendant, nous ne sommes pas obligés d'être des victimes. Au contraire, nous devons sobrement nous montrer fiers chaque fois que nous progressons.
Quelqu'un l'a écrit ici, le jour où nous grouperons notre tir contre nos adversaires, la victoire sera proche. J'aime penser qu'ici, nous assemblons les munitions.
Je préfère nous voir comme des réalistes, comme des travailleurs capables d'accomplir avec vaillance et régularité les moissons de l'indépendance.
17 août 2010
À tous : Merci sincère, je suis très touché.
Réponse à une bonne question :
La question qui me hante, toutefois, c’est celle-ci : la modernité ne devait-elle pas déboucher inévitablement sur la postmodernité ?
La modernité permet l'émergence d'un relativisme parce que la modernité, capable d'ouverture, d'introspection sincère permet la distinction entre le sacré et le profane et remet également l'individu au centre. Elle ouvre donc en quelque sorte des espaces de dialogue et permet le partage du pouvoir. Les éléments conservateurs des sociétés qui deviennent modernes profitent donc des interstices. En ce sens, la modernité, sans une éducation de masse réussie, est fragile. S'il est vrai, qu'en art, le postmodernisme, soit une étape normale après le modernisme, c'est à cause de la notion de dépassement et d'une recherche sur les forme, mais c'est une notion distincte de l'application socio-politique que j'ai proposée.
Vous avez donc tout à fait raison de dire que la modernité permet la postmodernité, la réponse à cette inquiétude est de former des «Vigiles» capables de revaloriser les valeurs de la modernité. L'épisode «postmoderne» deviendra ainsi une parenthèse plutôt qu'une catastrophe.
En fait, votre questions montre la limite des concepts, ce sont les humains qui provoquent les forces historiques, pas l'inverse, nous ne devons pas leur être soumis, mais nous devons les comprendre afin de les corriger, car nous pouvons malgré tout être emprisonnés dans ces dernières.
Par le contraste modernité/postmodernité, on voit mieux les barreaux de notre cage. En ce sens, je vois là des concepts utiles pour critiquer les contraintes politique et juridiques qui pèsent sur le Québec et sa langue et montrer sa singularité : le Québec est une entité moderne prise au piège dans une structure postmoderne. Ce constat permet de comprendre beaucoup de nos hésitations. Par exemple Bouchard/Taylor : les Québécois ont senti qu'on leur déniait des droit modernes, lesquels étaient pourtant garantis par la constitution, puisqu'il s'agissait de LA LOI FONDAMENTALE; on leur avait justement dénié le droit de légiférer sur leur langue, en regard de cette même loi, les revendications identitaires ou religieuses auraient dû s'effacer devant les principes, et pourtant ce ne fut pas le cas.
Dans la modernité (peu importe la subtilité du droit), ce genre de schizophrénie n'est pas possible, le fait que l'on puisse concurremment dénier à la majorité un droit de légiférer sur sa langue tout en autorisant les minorités à recourir à des états d'exception ne s'explique qu'au nom d'un relativisme et d'une exagération des individus et cela ne se comprend uniquement que par la suppression de la notion d'«universel».
La modernité, grâce à la science, valorise l'«universel». Dans la postmodernité, c'est un construit. Le Canada actuel, avec ses dichotomies, ne peut se tenir que s'il embrasse l'éthique postmoderne, c'est donc incompatible avec les aspirations modernes du Québec.
17 août 2010
Vous jouez avec les guillemets, et il est difficile de trouver votre intention véritable, mais le passage suivant semble être de votre cru :
«Pourquoi l’expansionnisme islamiste est-il une menace pour les États-Unis ?
Presque 4.000 soldats musulmans servent dans l’armée américaine en Irak et en Afghanistan. Aux États-Unis, des centaines d’organisations musulmanes y travaillent, réparties dans tout le pays, tels les écoles, bibliothèques et centres de santé. Il y a présentement sept millions de musulmans américains qui sont parvenus à faire partie de tous les secteurs de l’activité professionnelle des États-Unis.»
Je n'étais pas sûr d'avoir bien lu, jusqu'à ce que je tombe sur le passage suivant :
«Une des dernières manifestations concernant cette trahison aux victimes du 11-S, est celle du sénateur républicain du Texas, John Cornyn [...]»
Là, je lis bien «trahison» et c'est directement vous qui vous exprimez (trahison était dans le titre, mais peut-être rapportiez-vous les propos d'un tiers?). Votre intention est manifeste.
Je suis désolé, mais si des citoyens payent des impôts comme tous les autres, s'ils sont musulmans, mais si surtout, on les accepte dans l'armée, où ils peuvent donner leur vie, pourquoi n'ont-ils pas le droit de bâtir leur mosquée où bon leur semble du moment que la loi le permet?
Il y a presque autant de victimes civiles en Afghanistan seulement entre septembre et décembre 2001 que pendant les fameux attentats; la balance des inconvénients, elle pèse pas mal fort du côté musulman dans cette histoire, pourquoi n'auraient-il pas droit au symbole du lieu où leurs malheurs se sont aggravés?
Bref, vous avalisez le fait de considérer ces citoyens américains comme des citoyens de deuxième classe, et vous parlez d'eux comme d'une menace insidieuse. Voulez-vous qu'ils se promènent avec un petit croissant de cousu sur leur vêtement? Qu'ils se limitent à construire leurs mosquées dans des ghettos?
Peut-être devrait-on les emprisonner comme on l'a fait pour les Japonais entre 41et 45?
Votre texte a des relents d'un discours, datant du 6 octobre 43, d'un certain Himmler, peut-être que cela vous dit quelque chose :
«Tous les Allemands — sauf quelques rares exceptions — ont bien compris que nous n’aurions pas supporté et que nous ne supporterions pas les bombardements ni les difficultés de quatre, peut être cinq ou six années de guerre si cette peste qui décompose tout se trouvait encore dans le corps de notre peuple.»
Avant de condamner l'extrémisme d'autrui, on enlève les mauvaises herbes de notre jardin; nous n'avons pas de leçon à donner avec notre propre intolérance, je prends le mot «trahison» à témoins ici et vos références à la quantité de musulmans en Amérique comme d'une menace. Voilà pourquoi je fais le rapprochement.
Je ne saurais trop vous recommander Howard Zinn «Une histoire populaire des États-Unis», vous y apprendriez qu'on a déjà traité les militants des droits civiques de «traitres». Si les E-U n'avaient strictement rien fait pour détenir la mainmise d'un pétrole bon marché, peut-être pourrions-nous éviter de mettre en perspective les fameux, attentats mais ils sont avant tout un symbole universel du malheur, de la guerre et du manque de sagesse de l'humanité, car quiconque connait un tant soit peu la politique étrangère depuis 45 comprend que les États-Unis aient créé des foyers puissant de ressentiment.
Parler de traitrise, c'est employer un ton belliqueux et voir d'une façon manichéenne ce qui doit d'abord être entendu par l'intelligence et soigné par la compassion.
14 août 2010
Caisse Pop
Et si vous allez au Cafe Italia, en face (enfin presque),
le personnel gentil, constatant un jour que vous êtes «séparatiste», vous demandera, pensant parler français, mais avec une syntaxe de bilingue pourquoi vous êtes «contre» l'anglais : «moé je parle trois langues, je suis parfaitement bilingue (sic)», vous répondez : «je ne suis pas "contre l'anglais", je ne veux juste pas que l'anglais soit la langue d'usage ni le vecteur de l'intégration, c'est pour cela que je veux assujettir les Cégeps à la loi 101, ce n'est pas nécessairement coercitif, mais ça coutera plus cher de fréquenter le Cégep anglais si vous n'êtes pas membre de la fameuse minorité historique.»
Votre «bilingue» vous répondra : «What?» avec un air ahuri.
14 août 2010
Je lis votre commentaire : «Comme si les musulmans n’étaient pas 1 milliard versus 13-14 millions de juifs dans le monde.
Qu’on regarde les cartes, ça ne manque pas sur Internet. Ce pays de 7M d’habitants se trouve au coeur de l’enfer, au Moyen-Orient.»
C'est cela la politique du « Mur d'acier », informez-vous à votre tour sur le postsionisme et vous découvrirez que si Israël « est au coeur de l'enfer » c'est que ses dirigeants ont contribué à le créer, cet enfer. Si vous avez raison quand vous dites que les médias ne couvrent que partiellement la question, s'ils remontaient plus souvent à 1947, l'extrémisme du Hamas que vous condamnez serait plus compréhensible.
13 août 2010
J'ai écrit, en appui à Monsieur Le Hir, que quiconque voulait avoir une idée plus claire du conflit au Moyen-Orient devait lire les «Nouveaux historiens israéliens» et la politique du «Mur d'acier».
Je n'ai malheureusement pas indiqué une source, en voici une :
http://www.monde-diplomatique.fr/2000/08/PICAUDOU/14138
et les pages wikipédia donnent un aperçu sommaire :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouveaux_historiens_isra%C3%A9liens
http://fr.wikipedia.org/wiki/Postsionisme
À l'aune de ces nouvelles informations, il n'est plus possible de considérer le statu quo israélien comme un simple moyen de défense d'une saine démocratie. On comprend plutôt que l'état d'alerte permanent permet une radicalisation et une militarisation de l'État hébreu, lequel fait du Croissant fertile une poudrière. Une telle situation ne peut en aucun cas permettre d'affirmer qu'Israël est un phare démocratique, c'est plutôt un éteignoir.
Le poids des ultraorthodoxe et leur rôle privilégié est d'ailleurs une preuve supplémentaire, à l'intérieur cette fois, que cet État est source de chaos.
Hannah Arendt n'a pas rejeté pour rien le nationaliste israélien... Quant à ceux qui reprochent constamment que l'on ne condamne pas assez les violences arabes, je répondrai, comme Chomsky l'explique souvent, que nous avons plus de pouvoir à condamner les exactions dont nous sommes responsables que celles du voisin.
Il est plus facile pour moi de travailler pour la paix en critiquant mes élites qu'en critiquant les élites étrangères. Le Canada étant désormais un ami inconditionnel d'Israël, il me semble clair que l'on doit d'abord faire l'examen de ce soutien, ainsi que celui d'un système économique qui permet, par l'entremise des États-Unis, à Israël de perpétuer l'état de violence.
Enfin, si Israël demeure une démocratie, il est normal que nos attentes soient plus élevées à son égard, ce pays possède une population cultivée et libre, ce n'est pas le cas des autres belligérants.
13 août 2010
Sans tomber dans le travers des théories du complot il me semble nécessaire que l'auteur lise les deux livres de Kristina Borjesson : Blacklist et Media Control.
Il découvrirait ainsi bien des défauts de nos sociétés libérales, lesquels lui permettraient un instant de considérer le travail du groupe Architects & Engineers for 9/11 Truth comme potentiellement intéressantm, au lieu de le déniger du revers de la main.
En résumé, les médias ne font pas correctement leur travail et les les autorités politiques mentent. Cette situation ne permet pas à l'opinion publique de comprendre et de connaitre la nature de toutes les exactions auxquelles les démocraties libérales participent. Par contre, des citoyens qui prennent la peine de fouiller la question, qui synthétisent diverses lectures, de Chomsky à Zinn réalisent facilement que nous ne sommes pas aussi innocents que nous le prétendons : notre confort et notre vie démocratique dépendent d'un afflux constant de pétrole bon marché. La mainmise de sources fiables d'approvisionnement fait en sorte que l'Occident occupe trop de place de place au Moyen-Orient, notamment sur le plan militaire et par le soutien d'oligarchies qui nous sont soumises.
Cette situation a de quoi enrager la population arabe et son ressentiment légitime passe de l'opposition intellectuelle au terrorisme, mais il est nécessaire d'examiner en amont ce qui cause cette agressivité.
En ce sens, j'encourage l'auteur à lire les «Nouveaux historiens israéliens», il découvrira que la doctrine du «Mur d'acier» a effectivement été appliquée en Israël, contribuant considérablement à l'escalade de violence que nous connaissons.
Il est injuste de blâmer Israël de tous les torts et il est tout aussi incorrect de voir en ce pays un phare de la démocratie : Isaël a consacré une ségrégation sociale, ethnique et religieuse importante et a créé les conditions d'une partition du territoire car il aurait été impossible autrement pour les citoyens juifs d'être majoritaires. En refusant de reconnaitre les interprétations post-sionistes, Israël maintient le pays dans un état d'alerte permanent et constitue ainsi un État militaire, lequel est d'ailleurs assujetti à une véritable emprise religieuse, les ultra-orthodoxes ayant réussi à noyauter les centres de décision.
J'encouragerais donc l'auteur à relativiser son point de vue et à revoir sa conception manichéenne et par là, à pratiquer ce qu'il prêche, faire preuve de logique en acceptant de confronter ses positions à des faits avérés.
Personne ne suit L'engagé. Soyez le premier!