Les causes du désarroi d'Andrée Ferretti
4 décembre 2015
« Aujourd’hui, Justin et Péladeau s’équivalent. Ils sont aussi inconsistants l’un que l’autre », dixit Andrée Ferretti dans son billet signé sur cette tribune. Et de poursuivre l’auteure, « il [le peuple] se laisse séduire par le flamboyant Justin en attendant sans impatience que Péladeau ait mangé ses croûtes. »
Un argumentaire pour le moins lapidaire qui a l’heur de susciter de nombreux commentaires tous aussi pertinents les uns que les autres, certains prenant la défense de PKP sans nuance, d’autres, par ailleurs, laissant transparaître des signes d’impatience inquiétants quant au temps que mettra PKP à « manger ses croutes ».
Des doutes raisonnables ? Ça reste à voir. Un fait demeure, le poing levé de celui qui veut faire du Québec un pays a perdu de son énergie vivifiante avec le temps qui pourtant n’est pas très loin derrière nous. Je dis oui à « la chance au coureur » mais, dans la foulée de plusieurs commentaires, il est temps que PKP passe à la « compétition » !