Y’a toujours ben un « boutte » à prendre les québécois pour des caves!
26 août 2013
En effet, il y a des limites à prendre les Québécois pour des cons. Lorsque j'entends les politiciens hypocrites nous raconter, la main sur le cœur, qu'une des valeurs fondamentales de la société Québécoise serait le sacro-saint principe de l'égalité entre les hommes et les femmes, mon sang se met à bouillir. Il s'agit sans doute du plus gros mensonge d'état depuis l'imposture féministe du désormais célèbre 300 000 femmes battues chaque année au Québec.
Il importe ici de savoir qu’en vertu des dispositions de la ‘politique d'intervention en matière de violence conjugale' qui, comme son nom l’indique n’est pas une loi, mais bel et bien une politique, adoptée dans le milieu des années ‘80 sans la moindre discussion sur la base du grossier mensonge à l’effet qu’il y avait pas moins de 300 000 femmes battues chaque année au Québec. Depuis, il est désormais possible pour une femme d'expédier en prison n'importe quel homme vivant en situation de couple à ses côtés sur la seule base d'une parole dont la véracité ne sera JAMAIS évaluée. Par ailleurs, les féministes à la source de ce monument de propagande mensongère nous envoient la message pas trop subtil que tous les hommes sont des batteurs de femme. Depuis, les hommes de cette province ont moins de droit que les animaux domestiques.
Notez en passant que cette 'politique' contrevient à de nombreuses reprises aux dispositions du code criminel canadien qui couvre déjà les infractions visées par la 'politique' en question. Depuis l'adoption de cette 'politique', les arrestations sans mandat sont désormais non seulement possibles, mais ces pratiques illégales sont devenues la norme tout autant que les périodes de détentions arbitraires qui s’ensuivent. Et, comme pour ajouter l'injure à l'insulte, les sentences avant jugement sont administrées sur une base quotidienne. Il s’agit sans doute de la plus grave atteinte à l’intégrité du processus judiciaire qu’il faudra nécessairement corriger avant de rétablir l’ordre au sein de nos institutions. Avant de nous parler de charte, il faudrait avant tout mettre un peu d'ordre dans la cabane.