Bref, serait-on en train de «préparer» l'opinion canadienne à un prolongement possible de la «mission» militaire sur ce coin de la planète?
Mais en juin 1990, l'échec de Meech, suivi en 1992 par celui de l'accord de Charlottetown, mettait fin à l'ambition de renouveler le fédéralisme.
Mais on se demande surtout si même avec un nouveau chef, la marque de commerce libérale du PLQ ne serait pas, dans les faits, endommagée pour longtemps. Comme le fut celle du PLC après le scandale des commandites.
Alors, qu'est-il arrivé entre cette déclaration de Me Bastarache et sa décision de cette semaine d'élargir son mandat au gouvernement du PQ?
Pour ceux fascinés par les scandales, en voici un vrai.
On dirait bien que le gouvernement Charest n'a pas encore atteint son quota de crises politiques pour son troisième mandat.
The Conservatives are actively courting ultra-conservative religious factions
Monsieur Charest appréciera sûrement de faire défendre son honneur par le premier ministre sous lequel s'est déroulé le fameux «scandale des commandites»...