Une Haïtienne et une Arabe qui voudraient bien nous mener par le bout du nez
17 janvier 2021
Une troisième étrangère du tiers-monde sous-civilisé à vouloir nous mener par le bout du nez.
Fâcheuse tendance, à ces deux mégères inapprivoisables dont il est question dans l'article plus haut vient de s'ajouter une deuxième arabe musulmane, radicale cette fois-ci, au poste de commissaire contre le racisme des pures laine, nommée avec la complicité tacite de la mairesse Plante, qui ne cache décidément plus ses couleurs "les ethniques passent avant les de souche".
Cette militante arabe, musulmane, tunisienne, étrangère, est intimement liée à des organisations belligérantes comme le Conseil musulman canadien qui s'en prend continuellement aux lois voulues par le peuple québécois et qui sont décidées pour eux par le gouvernement qui les représente.
Une telle inculquée vendue à sa cause islamique ne saura jamais au grand jamais faire preuve d'objectivité dans ses agissements. Son biais sera toujours du bord des ethniques aggressants et jamais du bord des Québécois de souche qui veulent vivre dans leur pays selon leurs critères évolués, et non pas ceux des pays arriérés d'où ces immigrés viennent.
Imaginez: cette militante aveuglée a osé traiter publiquement la grande et noble loi 21 sur la laïcité de l'État de suprémacisme blanc et de racisme. Ce faisant, elle a de fait amalgamé tous les Québécois dans ce qui devient une insulte grave à la population entière et à sa conception légitime du bien-vivre ensemble.
Cette arabe musulmane doit être limogée sans délai avant même son entrée en fonction pour qu'elle ne commette aucun irréparable dégât.
Elle doit être remplacée par un Québécois de souche nationaliste affiché qui saura défendre la population native contre les attaques répétées des minorités radicales et religieuses qui devront être constamment remises à leur place, afin de les astreindre à vivre au Québec selon nos règles établies, mais surtout pas les leurs.
Devons-nous laisser une femme musulmane, arabe, tunisienne, étrangère, particulièrement vindicative, considérée comme militante radicale, dicter leur conduite aux Québécois? La réponse est non, pas question.