Les enfants québécois avortés se font remplacer par des immigrants importés
10 juin 2022
Ce qu'il faut retenir des statistiques officlelles actuelles, c'est qu'on pourrait réduire l'immigration de moitié si tous nos bébés pouvaient poursuivre leur vie amorcée. C'est considérable.
Cela fait 50% d'immigrants de moins à intégrer à la société québécoise avec plus ou moins de chances de succès, 50% d'immigrants de moins cherchant à s'angliciser, 50% d'immigrants de moins cherchant à éviter par tous les moyens d'effectuer leur devoir d'intégration, 50% d'immigrants de moins venant s'installer dans leur communauté, sans réelle intention d'adhérer à la culture québécoise.
Le nombre des naissances au Québec est approximativement entre 80 000 et 90 000 par année.
25 000 avortements contre 80 000 naissances, c'est 1 bébé conçu québécois sur 4 qui est supprimé sans motif valable. C'est insensé! C'est pire qu'à l'époque de la haute mortalité infantile qui décimait et endeuillait les familles. Qui va trouver cela normal, et considérer la chose comme un progrès, une évolution?
Une politique nataliste doit être mise sur pied pour faire augmenter le taux de natalité de 90 000 à 115 000. Cette politique verra également à réduire les avortements injustifiés par un programme d'adoption à la naissance avec compensation monétaire de 20 000$ pour la mère porteuse, payée par les parents adoptifs, soit l'équivalent des tarifs de l'adoption internationale.
L'application de ces 2 mesures positives donnera un total de 50 000 naissances par année, le nombre actuel d'immigrants acceptés au Québec, ce qui permettra de réduire considérablement l'immigration tiers-mondiste en provenance des pays surpeupleurs qui se répandent maintenant ailleurs que chez eux, provoquant des ravages démographiques chez les nations atteintes.
Laissons nos enfants vivre leur vie, toute leur vie.