500 000 immigrants de trop à renvoyer pour régler la crise du logement
25 avril 2024
Les problèmes engendrés par la surimmigration au Québec s'accentue à notre détriment.
Le ministre de l'éducation Bernard Drainville, montre du doigt l’arrivée d’immigrants temporaires pour expliquer les retards du gouvernement dans l’ouverture de classes de maternelle 4 ans.
En un an, Québec a ouvert 74 de ces classes : il y en a donc 1660 en activité, par rapport à 1586 à pareille date l’an dernier.
En parallèle, « on a 1267 classes de francisation et d’accueil pour les immigrants temporaires », a souligné mercredi le ministre Drainville. À cause de cela, il s’est dit incapable d’ouvrir davantage de classes de maternelle 4 ans.
« On veut créer des classes [de maternelle 4 ans], mais ça nous prend des enseignants, ça nous prend des locaux. Et l’essentiel de mon personnel, dans certains centres de services scolaires, sert essentiellement à instruire les nouveaux arrivants », a-t-il déploré. « Dans certains cas, j’inaugure une école toute neuve, il devait y avoir des maternelles 4 ans, et pourquoi il n’y en a pas ? Parce qu’il faut scolariser un plus grand nombre d’élèves que prévu, et dans certains cas, ce sont de nouveaux arrivants », a poursuivi M. Drainville.
Les enseignants affectés aux « nouvelles classes de francisation et d’accueil, ce sont des enseignants que je pourrais utiliser dans d’autres contextes, par exemple des maternelles 4 ans. Mais je ne les ai point », a-t-il aussi affirmé. En janvier, le ministre avait dit craindre que « le bar ouvert en immigration » du gouvernement fédéral provoque la « rupture » du système d’éducation québécois.
Source: Surimmigration: les enfants d'étrangers passent avant les nôtres
(fin de la citation)
Quelques chose cloche lorsque les services qui nous sont dus sont attribués à des parfaits étrangers, dont la plupart n'auraient pas été acceptés par les voies officielles. On paie pour des inconnus, et ce sont les nôtre qui en souffrent.
Nos propres enfants n'auront pas accès à l'instruction essentielle pour leur développement par la faute de tous ces immigrants qui croient qu'on leur doit tout et qui en profitent à plein.
Il est temps que ça cesse.
Le surplus doit être renvoyé ou relocalisé ailleurs au Canada. Leur surnombre nous nuit trop.