Liste des pays violents au plus haut taux d’homicides volontaires
4 juin 2024
L'autre jour, ici même à Québec, j'ai revu un ex-collègue de travail d'origine brésilienne avec qui je me suis toujours bien entendu. Accolade, exclamations de joie des deux côtés, poignée de main virile, on prend des nouvelles, on en donne, on se rappelle des anecdotes, on rit.
Rappelons que les 3 pays qui ont le plus haut taux d'homicides volontaires sont l'Inde, le Brésil et le Mexique, comme on l'a vu dans la liste ci-haut.
J'avais déposé ma tablette sur le banc public où j'étais installé pour bavarder debout avec mon collègue, avec mon vélo juste derrière le banc. Au bout d'un quart d'heure de conversation impromptue, mon ami me dit: "tu sais, chez moi, on ne pourrait pas faire ça, laisser la tablette comme ça sans surveillance et le vélo sans cadenas". J'en ai déduit que non pas 1, mais 2 voleurs se seraient précipités pour les voler si on avait été au Brésil, et que je ne serais peut-être plus de ce monde. Pour lui, c'était étonnant qu'on puisse vivre comme ça ici. C'était plus fort que lui de le faire remarquer, tellement c'est contraire à la réalité de chez lui, tellement ce serait impensable, imprudent de faire cela.
Nous jouissons au Québec d'un degré de sécurité publique que nous prenons trop souvent pour acquis. Par contre, on constate que l'augmentation de la dangerosité qui sévit à Montréal est la conséquence directe de la présence de diverses ethnies violentes (commençant souvent dès l'adolescence) qui sont la cause principale de la détérioration de la qualité de vie dans la métropole et de la hausse vertigineuse de la criminalité.
Il est important d'admettre cet état de faits, de dire les choses comme elles sont, afin de démontrer la nécessité de resserrer les critères d'admission au pays pour en tenir compte en bloquant l'accès aux candidats potentiellement dangereux par tempérament, issus des pays les plus violents.
La sécurité publique de nos concitoyens, de nos proches, ne compte-t-elle pas après tout?
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