Enseigner le français aux immigrants
27 mars 2010
Madame,
Vous nous faites comprendre à mots couverts la réticence de l'immigrant à apprendre notre langue à l'attirance nulle par rapport à l'anglais.
Sans cet attachement viscéral que nous avons pour notre langue maternelle, il effectuera le transfert définitif à l'anglais dès que l'occasion se présentera pour se fondre dans la masse nord-américaine.
Et dès qu'il seront majoritaires, les immigrants vireront à l'anglais comme ils le font actuellement à Montréal.
Réjean Labrie, de Québec