TVA a projeté ce midi l'excellent film gallois Le grand pari (2020).

Synopsis:

Jan Vokes et une simple serveuse dans une petite ville galloise, qui a décidé de voir grand avec un projet pour le moins surprenant. Sans aucune expérience en la matière, celle-ci a décidé d'entreprendre l'élevage d'un cheval de course, nommé Dream Alliance, qui pourrait étonner bien des gens. Déterminée, Jan convaincra ses voisins d'investir leurs économies dans l'élevage de ce cheval, dans l'espoir que celui-ci réussisse brillamment dans des courses d'élite. Les attentes et efforts porteront leurs fruits et Dream Alliance se rendra à la course du Welsh Grand National, dévoilant ainsi son tempérament gagnant.

Le film se déroule au magnifique Pays de Galles.

Le Pays de Galles est un pays du sud-ouest de la Grande-Bretagne connu pour son littoral accidenté, ses parcs nationaux montagneux, sa langue galloise caractéristique et sa culture celtique, ses châteaux médiévaux, ses maisons rurales à l'ancienne.

Eh bien, croyez-le ou non, durant tout le film on ne montre que des... Gallois, des groupes de... Gallois, des familles de...Gallois! Pas d'hindous, pas de Noirs, pas d'arabes, pas de multiethniques. Non, que des Gallois pur laine, dans le respect de la majorité qui y vit. Y a-t-il des multiethniques à ces endroit? Possiblement, mais ce n'est pas eux qu'il faut montrer, c'est le peuple historique démographique. La majorité doit servir d'exemple, de modèle, d'idéal à atteindre aux minorités.

On les entend même chanter en... gallois. C'est de toute beauté de voir tous ces gens soudés, et fiers de ce qu'ils sont.

Les films et les téléséries subventionnés au Québec sont maintenant forcés de se plier à la doctrine dilueuse de la diversité multiethnique remplaceuse et inclure obligatoirement des multiethniques, beaucoup de multiethniques. Il n'y en a jamais assez. Cette pratique répréhensible est néfaste et doit être corrigée. Au nom du respect du peuple fondateur et de sa continuation, il ne faut montrer que la majorité qui doit servir d'exemple, de modèle, d'idéal à atteindre aux minorités.

De son propre aveu, le prochain ex-premier ministre du Canada Justin Trudeau a admis les erreurs de son gouvernement d'avoir organisé et produit de l'immigration massive indiscriminée pendant 9 ans, et ce, malgré les objections répétées de gens sensés comme les nationalistes québécois attachés à leur identité collective de peuple fondateur. Nous avons toujours eu raison, il a toujours eu tort. Les prochaines élections le puniront en le rayant de la carte électorale pour de bon, on l'espère.

M. François Legault le répète souvent: il y a 600 000 immigrants de trop au Québec qui grèvent les services publics.

La solution est aussi simple qu’urgente : il faut entreprendre de les renvoyer tous cette année même, à leurs frais, pour nous permettre de retrouver un semblant de vie normale, de sécurité publique et de paix sociale. Les États-Unis commenceront bientôt une telle opération; suivons leurs traces sans délai.

Source: Le gouvernement Trudeau réduit drastiquement le nombre de nouveaux arrivants admis au pays.

et: Le premier ministre Justin Trudeau reconnaît que le gouvernement fédéral aurait pu agir plus rapidement pour réformer les programmes d’immigration   Il admet enfin l'existence d'un grand nombre de fraudeurs, de profiteurs du système.

Ci-dessus: Le PQ représentant les Québécois, versus les islamo-gauchistes

Le chef du PQ et prochain premier ministre du Québec, Paul Saint-Pierre Plamondon, a fait état de 15 autres occasions où l'immigré musulman tunisien étranger Haroun Barzzoui a proféré des déclarations anti-Nous et des accusations de racisme à l'Assemblée nationale.

Cet être universellement et justement vilipendé qu'est l'immigré musulman tunisien étranger Haroun Barzzoui doit être expulsé du pays en tant qu'ennemi avoué de la nation québécoise de souche, et perpétrateur d'entrisme islamique au Québec, au même titre que les clans musulmans dominants dans nos écoles, les éducatrices musulmanes prosélytes dans nos CPE, les cliques d'informaticiens musulmans intimidateurs dans divers ministères québécois, les demandeurs d'accommodements dans les entreprises, les imams fêlés pérorant dans les mosquées, et ainsi de suite. La population québécoise a jugé que le temps était venu de se débarrasser de ce climat toxique étouffant.

Source: 15 exemples dénoncés par PSPP

Pourtant, pas moins de 4 motions de l'Assemblée nationale québécoise émises contre lui le même jour lui ont été assénées comme autant de coups de boutoirs bien mérités.

Devant tant d'opiniâtreté et de mauvaise volonté, seule l'obligation de démissionner devrait s'appliquer à son cas, suivie de l'expulsion du pays. Lançons la pétition pour enclencher le processus qui nous débarrassera de celui qui s'identifie comme un ennemi de la nation par ses propos répétés depuis son arrivée, l'immigré musulman tunisien étranger Haroune Barzoui. Honte à cet anti-Nous notoire.

Je me réjouis de ne pas être le seul qui soit «extrêmement mal à l'aise» avec le député musulman radical tunisien étranger Haroun Bouazzi au discours constamment islamisant et anti-Nous.

Mes propos et opinions semblent rejoindre ceux de la grand majorité de la population, des élus, des médias et des commentateurs. Le zélote fanatisé Haroun Bouazzi ne mérite que l'expulsion immédiate pour l'ensemble de sa conduite répréhensible depuis son arrivée au pays.

Dans le même ordre d'idées, côté laïcité, le dernier sondage Léger que 79% des Québécois estiment que les élèves «devraient être éduqués dans un environnement scolaire complètement laïc, sans aucune influence religieuse».

«Les Québécois sont tout près d’un consensus sur le fait que l’enseignement doit être laïc et que la religion, ça reste à la maison», dit Sébastien Dallaire.

(fin des citations)

Source: Sondage Léger: les Québécois contre la religion à l’école

79%, c'est 4 Québécois sur 5, et le cinquième restant sera un immigré multiethnique empreint de religiosité doctrinaire. Il est clair que l'islam est directement visé par ce rejet catégorique et sensé de la population. Les Québécois rejettent l'islam, que cela soit clair pour le député musulman radical tunisien étranger Haroun Bouazzi.

À lire: Religiosité: Corrélation entre basse intelligence et obéissance fanatique à une religion

Le député musulman radical tunisien étranger Haroun Bouazzi est un pion nuisible de l'entrisme islamique chez nous, entré par la porte que lui a ouverte Québec solidaire. Honte à eux tous.

Depuis que les talibans intégristes de l'Afghanistan sont au pouvoir, l'oppression grandit de jour en jours. Plus il y aura d'islamistes musulmans en position de pouvoir, plus ils tenteront d'imposer leurs principes obscurantistes condamnables.

La musulmane déclare:

Je vois l'intégrisme islamique musulman partout et tout le temps. Je le vois dans les milieux de travail, je le vois même à la piscine municipale, je le vois à la bibliothèque, je le vois pendant les activités, je le vois pendant l'Halloween où j'ai des personnes qui refusent d'adhérer au thème, par exemple, pour les enfants. Je le vois partout pendant toute l'année et partout, dans toutes les places», mentionne-t-elle.

Comme elle l’indique, la présence d’intégrisme islamique est un phénomène qui existe dans le milieu des garderies, où elle évolue depuis de nombreuses années.

«Je l'ai vécu comme éducatrice. C'était vraiment un milieu très, très religieux et puis tout ce qui n'est pas religieux était interdit. Même les petites chansons des enfants, là qu'on chante Frère Jacques et tout ça, on n'avait pas le droit de dire: "Sonnez les matines". Donc, on ne chante pas ça», raconte Fatima Aboubakr.

Dans une garderie de Laval où elle a travaillé en 2009, la direction forçait les éducatrices à assister à un cours de religion donné par un imam pendant leur pause.

«On était vraiment obligés. Et ça m'a créé beaucoup de problèmes, ça, parce que moi, je voulais juste ma pause pour faire mes appels, faire ce que j'ai à faire. Mais je n'avais pas le droit. Ç’a suscité la colère de la direction», évoque M^me Aboubakr.

Cette dernière affirme aussi avoir été témoin d’une situation similaire dans une résidence pour aînés.

«C'est une préposée qui m'a parlé de ça, qui me disait elle-même, de sa propre bouche, qu'elle lisait le Coran dans les oreilles de ses patients. Parce qu'il faut que s'ils partent, là, aujourd'hui ou demain, il faut qu'elle fasse sa job de les rediriger vers la bonne voie», relate la Québécoise d’origine marocaine.

Aujourd’hui directrice d’une garderie, Fatima Aboubakr compose au quotidien avec la présence de la religion en milieu de travail. Cela pose notamment problème lors du ramadan.

«Une seule personne nous rend la vie difficile, elle trouve qu'on n'est pas respectueux, que tous les collègues ne doivent pas prendre leur café, que tous les collègues n'ont pas de respect pour sa religion parce qu'elle est jeune», indique la Québécoise d’origine marocaine.

Selon M^me Aboubakr, les intégristes islamiques sont prêts à tout pour imposer leur vision et leur religion au Québec.

«Ce qui me fait peur, c'est qu'il y a une réflexion islamiste qu'on ne peut pas comprendre en Occident. C'est qu'ils peuvent utiliser tous les moyens pour arriver, y compris mentir, y compris apparaître bien devant les médias», clame-t-elle.

(fin des citations)

Source:«Je le vois partout»: l’intégrisme islamique s’est infiltré ici, soutient une Québécoise d’origine marocaine

Des clans dominants musulmans islamistes sont en train de se former partout dans la société. Il faut les défaire tous.

Car l'islam est le pire ennemi de la civilisation. Il représente un péril croissant avec le nombre d'arrivées de musulmans. Plus il y en a, plus ils s'enhardissent à répandre le mal coranique.

Il doit être combattu et éradiqué de l'Occident. Que nos lois y contribuent et soient renforcées pour y arriver.

À lire: Les torts et travers de l'islam en 40 reproches fondés

Alex Amittuq, un inuit violent de 18 ans du Nord-du-Québec est accusé d’avoir battu à mort sa propre grand-mère un mois seulement après avoir été libéré malgré des accusations d’agression sexuelle et d’attaque à la hache. L'inuit violent Alex Amittuq n'aurait jamais dû être relâché.

Il est clair que l'être brutal inuit violent Alex Amittuq a la violence en lui et ne pourra jamais être réhabilité. Les actes sauvages et répétés de l'inuit violent Alex Amittuq nécessitent qu'il soit écarté à vie de l'espace public. Qui a tué tuera.

L'inuit violent Alex Amittuq représentera toujours un grave danger pour la société, et plus spécifiquement sa communauté.

Source: L'inuit violent Alex Amittuq tue

Après les écoles, c'est maintenant au tour de 36 garderies CPE de se faire dénoncer et fonctionnant contre nos principes et nos lois.

Et ce n'est pas tout, les religions hégémoniques (qui ont pour mission de se répandre et de s'imposer) s'installent dans les entreprises, dans le syndicalisme. Des clans dominants musulmans et autres tentent de s'incruster partout où ils le peuvent pour en prendre le contrôle.

Les plus cachés actuellement sont les clans dominants musulmans informaticiens dans plusieurs ministères provinciaux. Je connais un informaticien québécois qui subit leur intimidation quotidienne. Il m'a assuré qu'ils sont rendus partout à répandre leur régime de terreur.

Toutes ces tentatives d'infiltration s'exercent depuis des années. Mais les gouvernements ont choisi de regarder ailleurs pour ne pas être pointés du doigt. Quelle erreur, quelle faiblesse, quelle honte.

Source: 36 garderies coupables

Dans la région de Montréal, 36 garderies financées par l’État sélectionnent leurs enfants selon leur appartenance religieuse ou ethnique. Quel scandale!

Ces centres de la petite enfance (CPE) et garderies – subventionnés à plus de 80 % par l’État – ont parmi leurs critères l’appartenance à la communauté juive ou encore hellénique, arménienne, algérienne, chinoise ou haïtienne, par exemple. Ils regroupent plus de 2600 enfants.

Source: Grand Montréal TRENTE-SIX CPE SÉLECTIONNENT SELON L’ETHNIE OU LA RELIGION

Tous ces endroits doivent être ou fermés ou rendus à la population.

Il faut mettre de la pression sur les contrevenants étrangers qui refusent de s'intégrer pour qu'il ne leur reste plus que le choix de quitter le Québec pour une autre province. Ils nous détériorent et n'ont pas de place ici. Faisons-nous respecter.

Pour ma part, cela m'a permis d'aborder tous les sujets de mon choix à travers tout près de 900 articles lus par 1 million et demi de visiteurs, sur une période dépassant les 15 ans.

Contrairement aux médias qui censurent tout ce qui n'est pas politiquement correct et bien-pensant, Vigile est devenu la tribune parfaite pour dire les choses comme elles sont.

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Sa déclaration mentionnait:

- 600 000 immigrants temporaires

- Un excès de demandeurs d'asile

- 500 millions de dollars de coût annuel, un fardeau pour la population

- des banques alimentaires pillées par les étrangers plutôt que de servir à nos démunis

- 129 000 logements manquants provoquant une crise jamais vue

- le réseau de la santé hypothéqué à notre détriment

La seule solution à ce marasme dont ne veut pas la population: le renvoi automatique de tous ces surnuméraires qui suffoquent notre système et dont on n'a jamais voulu.

M. Legault a aussi déclaré récemment qu'un grand nombre de ces migrants mélangés ont des problèmes mentaux qui taxent nos ressources et augmentent l'Insécurité publique. Source: M. Legault fait un lien entre les demandeurs d’asile et les problèmes de santé mentale

J'ai retrouvé les déclarations verbatim du premier ministre Legault à propos des ennuis causés par la surimmigration atrophiante.

Les voici:

M. Legault : Oui. Bien, Mme la Présidente, je sais que le Parti libéral veut toujours, toujours plus d'immigrants. On a actuellement 600 000, 600 000 immigrants temporaires. Juste en aide sociale, ça nous coûte 500 millions de dollars par année, 500 millions de dollars par année en aide sociale juste pour les immigrants temporaires. Bien sûr, on a plus que doublé les banques alimentaires, on essaie de construire des logements.

M. Legault : Bien, Mme la Présidente, le Parti libéral du Québec veut faire comme si ça n'existait pas, les immigrants temporaires, un peu comme Québec solidaire. Je veux juste vous donner un chiffre. Savez-vous combien ça prend de logements pour loger 600 000 immigrants temporaires? Ça prend 129 000 logements pour loger 600 000 immigrants temporaires. Ça prend plus que 10 000 personnes, dans le réseau de la santé, pour s'occuper de ces 600 000 personnes. Évidemment, si on prend les demandeurs d'asile, où le Québec en reçoit la moitié, ce sont des gens...

... il faut couper de façon importante les demandeurs d'asile, les bas salariés.

Plus loin, la députée de Labelle, Chantale Jeannotte, précise:

L'une des causes qui contribuent à la pénurie du logement abordable est l'augmentation fulgurante des demandeurs d'asile et des étudiants étrangers au cours des dernières années.

Les demandeurs d'asile mettent une pression énorme sur nos services publics. Malheureusement, plusieurs d'entre eux arrivent au Québec et sont déjà en situation de précarité. En août 2024, il y avait 55 432 adultes, M. le Président, demandeurs d'asile sur l'aide sociale, ça représente 31,7 % des prestataires adultes sur l'aide sociale. Ça peut prendre plusieurs mois avant que ces personnes obtiennent un permis de travail du gouvernement fédéral. Les organismes communautaires sont débordés.

(fin de la citation)

Oui, vous avez bien lu, 1 assisté social sur 3 est un étranger qui n'est pas né ici et qui n'a jamais rien fait pour mériter pour qu'on le prenne en charge à nos frais! Des étrangers par milliers entrent illégalement pour venir vivre ici à nos crochets. Quel scandale!

Que tous ces profiteurs du système soient expulsés au plus tôt.

Source officielle: Journal des débats de l'Assemblée nationale

Le mercredi 6 novembre 2024 - Vol. 47 N° 161

Ils ne seront jamais des Canadiens; ils ne seront toujours que des hindous et des sikhs, issus de pays de barbarie.

Tout a commencé par une manifestation de sikhs, plus précisément de partisans de l’indépendance du Khalistan, devant un temple hindou où se trouvaient des diplomates indiens. Puis, en représailles, il y a eu une marche d’hindous, dont certains étaient armés, vers un lieu de culte sikh. Cette marche a toutefois été bloquée par la police. Résultats: des voitures vandalisées, des jets de pierres, des coups de bâtons, des blessés, dont un policier envoyé à l’hôpital, des arrestations, la suspension d’un policier qui a participé à une manifestation, un maire qui menace d’interdire les manifestations devant les lieux de culte et une aggravation de la crise diplomatique entre le Canada et l’Inde. Même le premier ministre indien s’en est mêlé, en dénonçant l’attaque contre un temple hindou.

Comme cette crise touche tout le Canada, pourquoi est-ce principalement à Brampton que de violentes émeutes éclatent? Peut-être est-ce parce que la population de cette ville vient à 58% du sous-continent indien, ou qu’elle est à 25% de confession sikhe et à 18% de confession hindoue? Mais surtout, parce que cette forte immigration aurait dû s’accompagner d’une politique d’intégration tout aussi forte, plutôt que d’une politique du multiculturalisme qui encourage les immigrants à garder intactes leurs identités d’origine. Et ce n’est pas seulement une politique fédérale lointaine car le maire de Brampton est un multiculturaliste radical, au point où il a été à la tête du mouvement des villes canadiennes-anglaises qui ont financé illégalement la contestation de la Loi québécoise sur la laïcité de l’État.

(fin de la citation)

Source: Émeutes violentes en Ontario entre hindous et sikhs : l’échec du multiculturalisme

On ne veut pas de ça chez nous. Qué les barbares restent en Barbarie. Que ceux qui sont ici soient tous expulsés. Ils détruisent notre harmonie sociale. Pas de place ici pour les fanatiques religieux comme les sikhs et les hindous.

À lire: Corrélation entre basse intelligence et obéissance fanatique à une religion

La loi québécoise sur la laïcité doit être élargie pour s'appliquer dans tout l'espace public

"Il y a des gens qui veulent vivre en anglais et parler anglais à Montréal. Comme on est gentil et qu'on ne veut pas de chicane, laissez-les donc vivre en anglais et parler anglais dans leur petit coin comme ils le veulent, soyez donc plus accommodant".

Non, ce raisonnement ne tient pas la route, parce que le "petit coin" est maintenant rendu à la grandeur de la métropole, et qu'au Québec on doit vouloir vivre en français et parler français pour mériter d'y habiter. Même que c'est non négociable. Si ça ne vous plait pas, déménagez en Ontario, et au plus coupant.

"I don't speak French" signifie: "I don't want to speak French".