Le 19 août
21 août 2007
Dans tous les cas, hier comme aujourd'hui, les Québecois ne se sont pas battus à leur compte mais à celui de leur colonisateur. Que celui-ci soit le roi d'Angleterre, un avare Texan, ou un Premier Ministre Albertain, cela n'a d'importance.
Il est fort probable que l'attitude réfractaire des Québécois face aux conflits armés soit profondément boulversée lorsque ce sera le Québec qui parlera en son nom et en focntion de ses valeurs.
Mais tant que les restes des Soldat Longtin et autres reviendront drapés d'une feuille d'érable, la résistance se poursuivra.
N'en déplaise au riche faiseur d'opinion de La Presse.