Cinq leçons à tirer de 1995

4 décembre 2015


Je crois bon intervenir, car c'est sain le débat, je ne milite pour aucun parti (je veux garder mon indépendance d'esprit), mais certains peuvent douter de mes aspirations de souverainiste ici, alors que je crois fermement à la force mobilisatrice de la souveraineté pour le peuple québécois, mais nous devons clairement nous détacher du fond "ethnique", s'ouvrir et se réaligner, si on veut aller chercher la jeunesse et les nationalisme mous. Je t'invite Chrystian Lauzon à me contacter en privé si tu veux que je t'explique ce que c'est la transparence, la démocratie et souveraineté ouvertes, car ce sont des concepts chers aux jeunes qui méritent réflexion. Voir Démocratie Ouverte pour en savoir plus : http://www.liberation.fr/societe/2014/10/26/democratie-ouverte-si-loi-si-proche_1129975
D'autre part, les changements que j'ai fait au texte : Cinq leçons à tirer de 1995 ont été fait à cause que j'ai soumis ce texte plus "doux" après celui du Huffington Post à d'autres médias, mais qui n'ont même pas été publiés, j'ai cru bon de les diffuser sur vigile qui heureusement n'exerce pas de filtre sur certaines idées qui sortent du traditionnel ou du conservatisme médiatique ou qui font plus que 1000 mots...
En fait, ce que je cherches à véhiculer c'est de nouvelles idées moins partisanes sur les moyens de trouver la sortie de secours (pour reprendre les terme d'un livre de Lisée) à la souveraineté et qui vont mobiliser les jeunes de ma génération (35-40 et moins). Il faut savoir apprendre du passé, mais ne pas se figer dans le passé. La souveraineté se fera si chaque militant est prêt à se coaliser vers une voie nouvelle plus moderne. Selon moi, souvent les personnes sont plus importantes que leur message. C'est pourquoi je vois cinq piliers importants qui pourraient se mettre ensemble pour rallier les souverainistes autour de leurs personnages forts (s'ils veulent bien mettre la patrie avant le parti, comme dirait Bernard Landry), 1) PKP pour les valeurs de réussite, d'entrepreneuriat, de communication numérique, de clarté, 2) Jean-Martin Aussant pour les valeurs sociales-démocrates modernes, d'entreprenariat social, d'économie progressiste, 3) Régis Labeaume pour son charisme, son language direct, l'importance qu'il pourrait donner à une capitale nationale forte et internationale, 4) Alexandre Clouter pour le rapprochement vers la jeunesse, la ferveur d'idées nouvelles comme les référendums d'initiative populaire pour mobiliser et enfin 5) Françoise David pour la sensibilité, la solidarité et l'ouverture.
Maintenant reste à savoir si on veut se mettre ensemble malgré nos divergences ou se diviser pour être marginaliser...