Quand vous entriez dans l’école autrefois vous entriez dans un lieu religieux; ce n’était pas une impression, mais une réalité : un lieu de rassemblement sous la tutelle des religieuses et religieux de la religion catholique (ou protestante) lesquels dirigeaient l’apprentissage d’une main de fer dans un gant de velours. Enfants, nous avions la crainte comme motivation à apprendre et non un désir de savoir. Maintenant, aujourd’hui, est-ce différent? Je ne saurais vraiment le dire : il y a des impératifs de corporations (syndicales, professionnelles, gouvernementales) qui jugulent la nécessité de faire apprendre les enfants dans leur intérêt premier. Élever l’enfant au niveau de «maître» de sa personne, non pas par la crainte de quoi que ce soit, mais bien dans son seul intérêt d’aimer, de donner à son tour le fruit de ses talents, de prendre soin, de donner la joie au vivant et de jouir de la vie. 

Nos élu(E)s doivent en faire autant; le problème c’est qu’ils ne l’ont pas appris eux non plus : ils n’ont pas appris à aimer. C’est là la principale lacune de notre système d’éducation : on n’a pas appris à aimer. C’est ce qui fait la haine, les guerres, le racisme, le mépris, le laxisme : tout le contraire de l’élévation de l’enfant vers la maîtrise de soi. 

François Champoux, Trois-Rivières, 7 juin 2024

Concernant le pouvoir d’une personne sur une classe d’enfants, je partage avec vous l’idée que l’art d’enseigner doit passer absolument par l’art de gérer une classe. Sans ce pouvoir bien compris et bien géré, l’art d’enseigner ne sera pas. 

Les deux sont un art à maîtriser et exigent une pratique avec un souci de maîtrise; n’appelle-t-on pas «maître» la personne qui enseigne? 

Cette personne a un rôle d’une grande importance pour la construction d’une société de respect: élever l’élève, c’est-à-dire le rendre maître à son tour. Le rendre capable de pouvoir non pas d’abuser des autres, mais d’aimer les autres, d’en prendre soin afin que tous en fassent autant.

La maturité d’un fruit exige ce temps d’apprentissage pour ensuite donner à son tour sa maturité, son suc, son fruit. La foi en soi demande cet humble apprentissage et ce respect du pouvoir bien assumé. Les pouvoirs de chacune et chacun doivent s’orienter vers cette élévation des élèves et de leurs talents respectifs.

Quant à notre système de Santé du Québec, les pouvoirs ont dérivé de leur direction du début: le respect de la personne souffrante à ramener à la santé par une aide ponctuelle. Il faudra songer à faire table rase, car les pouvoirs de certaines organisations (syndicales, professionnelles, initiatives idéologiques comme les coopératives de santé) ont pris le dessus sur la vertu humaniste de la fin. Les moyens sont devenus primordiaux à la fin. Le pouvoir est devenu tout puissant et a oublié «l’élève» à élever. La vertu du pouvoir ne doit pas oublier son rôle: élever l’élève: élever le patient vers son autonomie, sa respectueuse autonomie. 

Je pense qu’il faudrait revenir à l’éducation et son rôle: rendre l’élève, le patient autonome.

Merci, M. Marineau, de votre réflexion

Le Québec se doit d’être plus fin que ces nombreux pays qui se font actuellement la guerre un peu partout dans le monde. Le peut-il avec le Canada? C’est là pour moi la grande question politique et existentielle de nos deux nations; nous nous devons d’y répondre dans un esprit constructif, progressif et surtout d’une humanité vraie : un respect où tous les humains y gagneront leur place au soleil. Une place belle où la vie vaut d'être vécue.

François Champoux, Trois-Rivières

 

Merci de tant d’éloges sur ma personne; je n’en méritais pas tant. 

Je remercie aussi les dirigeants du journal Vigile-Québec qui considèrent mes commentaires sur vos réflexions dignes de publication, ainsi que mes analyses sur la dégradation du coopératisme chez Desjardins. Si j’étais le seul à penser ainsi, je serais certes à condamner; mais voici que les citoyens de tout le Québec (partout sur le territoire québécois) doivent faire leur deuil de l’oeuvre de Dorimène et Alphonse Desjardins. Les gagnants de cette dénaturation confirmée par René Croteau (ex-directeur général de la Fédération des Caisses populaires Desjardins) : les financières capitalistes et leurs agences de notation internationales.

L’éloge que vous m’avez fait est le fruit de plusieurs penseurs avant moi.

Vous parlez de lutte; je vous accorde que la vie est un combat (Darwin), mais elle n’est pas au prix de son contraire : la guerre et la mort. Ce serait un non-sens, un illogisme. Ni au prix de la haine de l’autre; les animaux qui font le combat de la vie n’ont pas de haine envers l’autre ni de racisme : ils n’ont que la survie comme base d’action sans chercher à détruire : juste la survie. 

Je sais qu’il est difficile de saisir cette nuance; elle m’a été enseignée par Henri Laborit que vous connaissez sûrement.

Oui, il faut lutter, mais pour la vie et la paix et non pour la mort et la guerre. 

Voilà le bord que je suis : la vie et la paix. Ne l’ai-je pas assez dit? Bien sûr que oui.

Et je suis un indépendantiste, mais pour être un indépendantiste, il faut d’abord être un indépendant; il faut être adulte mature et indépendant. Les dépendants ne peuvent pas être indépendantistes ni indépendants. Êtes-vous un indépendant, M. Labrie, adulte mature et respectueux des autres indépendants et indépendantistes? 

Je pense sincèrement que nous devons tous cheminer vers cette indépendance individuelle pour accéder à notre indépendance collective et politique; mais ce chemin est encore à mieux tracer : ce n’est pas en dénigrant les autres que nous nous grandirons; la loi 21 est en cela un manque de maturité et d’humanité. L’humanité de notre nation est beaucoup plus grande que notre seul patelin. 

François Champoux, Trois-Rivières

 

Vous êtes biaisé et en plus vous biaisez : vous avez changé votre réponse quand on y découvre un illogisme : ce n’est pas très honnête de votre part. Ce n’est pas parce qu’un journal rapporte une nouvelle douteuse que celle-ci devient vraie. Ce n’est pas parce qu’un journal le dit que c’est la vérité. Prenez du recul; ça favorisera la paix des nations, celle qui est toujours plus difficile à maintenir que son contraire, la guerre.

«La justice n’existe pas; c’est pour cela qu’il faut la faire.» (Alain). Souvenez-vous toujours que c’est l’injustice qui est universelle. Ne travaillez pas pour elle; elle est déjà très puissante; travaillez plutôt pour la justice.

Qu’espérez-vous au juste? Que souhaitez-vous précisément? La justice ou l’injustice? La paix ou la guerre?

Il y a déjà assez de violence sans qu’on l’alimente davantage. La pensée unique est celle des dictateurs. 

François Champoux, Trois-Rivières

 

Il est impératif que vous preniez conscience que vous êtes biaisé : votre capacité de jugement est affectée.

Dans votre texte qui est une réponse à mon commentaire, vous affirmez dans un premier temps que c’est le jeune de 15 ans (Ahmed Ouilal) qui a lancé la tuerie de 3 morts, et qu’il a payé de sa vie cette agression. Et immédiatement au paragraphe suivant, vous doutez de votre propre affirmation en déclarant que c’est possiblement ce même jeune de 15 ans (Ahmed Ouilla) qui aurait parti le bal!

Les violences et leurs sources sont multifactorielles; on ne peut les réduire à une seule cause; c’est là un raccourci dangereux et surtout qui ne permet pas d’en réduire les véritables effets désastreux pour n’importe quelle société. Souvenez-vous d’Alexandre Bissonnette, de ce militaire, Marc Lépine…

Soyez prudent dans vos affirmations; elles ne mettent que de l’huile sur le feu. D’autant plus que vos affirmations très ciblées seront toujours celles de Réjean Labrie et de personne d’autre.

Vous êtes définitivement une personne qui sème à tout vent : un vrai pissenlit.

Vous avez une peur bleu et rouge des étrangers; le dictionnaire appelle ça un xénophobe : vous souffrez de xénophobie. C’est une maladie qui peut difficilement se traiter, car elle est mentale. C’est ancré on ne sait pas trop comment dans votre cerveau; vous pouvez seul trouver la façon de vous libérer de cette phobie. Souvent, et il s’agit là d’un mystère, il faut simplement dire «non» à cette peur; et comme par magie, elle disparaît. Remarquez que vous n’êtes pas seul à souffrir de cette phobie de l’étranger et qu’en cela, vous vous entretenez mutuellement entre vous tous qui craignez les personnes étrangères. Les États-Unis d’Amérique sont aussi un peuple qui souffre énormément de ce complexe d’infériorité transmuté en un sentiment de supériorité. Au grand dam des Américains, ce peuple a un droit de porter des armes; ceci favorise des fusillades qui deviennent des carnages atroces pour tout le monde. L’enfer sur terre semble être dans ce pays xénophobe qui a vu le racisme systémique vivre durant plus de 150 ans et faire émerger la nation la plus prospère de cette planète, mais aussi la plus violente.

Il faut choisir : la haine de l’étranger ou son respect. C’est la paix qui est en jeu. La paix pour vivre en paix ou vivre en guerre perpétuelle comme vous la vivez et qui peut s’enflammer comme nous l’avons déjà trop vécut au Québec. 

Pour vous aider à dire NON («Penser c’est dire NON! [Alain]), je vous invite à lire Paul Auster : «Pays de sang; une histoire de la violence par arme à feu aux États-Unis», ACTES SUD, 2021-2023.

Un discours de haine ne peut créer que de tristes événements regrettables; pensez-y s’il vous plaît.

François Champoux, Trois-Rivières

Oh! Quelle trouvaille M. Faucher!

Je ne pense pas que la haute direction du Mouvement Desjardins n’ait pas été au courant de cette affiche; ça me semble plutôt très bien orchestré par Desjardins lequel a des vues expansionnistes partout au Canada. C’est très facile de dire qu’on n’était pas au courant si l’affiche crée «scandale»…

Les visées canadiennes du Mouvement Desjardins de Montréal sont historiquement répertoriées depuis les années 1990 durant la présidence de Claude Béland. Il faut lire René Croteau, ancien directeur général de la Fédération des Caisses populaires Desjardins de Lévis («Un patrimoine coopératif défiguré et dénaturé; le Mouvement Desjardins 1997-2003») pour bien saisir l’usurpation que ce président souriant a réussi à faire contre tous les membres des Caisses populaires d’hier et d’aujourd’hui.

Aujourd’hui, les Caisses Desjardins se disent encore des coopératives, mais dans les faits, vous ne pouvez plus rien faire pour faire vivre la coopération selon la philosophie du coopératisme née de l’anarchisme durant le XIXe siècle. Tout a été métamorphosé en une patente plus capitaliste et bancaire qu’une banque capitaliste à charte fédérale, le tout béni par tous les gouvernements provincial du Québec. N'oubliez pas que son président (Guy Cormier) a un salaire hebdomadaire de 86,500. $ et que les dirigeants des Caisses reçoivent un salaire de plus de 150.00$/l'heure (chiffre de 2015). Selon mes dernières nouvelles (dimanche 19 mai 224), les dirtigeants sont maintenant rémunérés à la réunion, peu importe le temps que dure celle-ci; le dirigeant qui m'a dévoilé cette nouvelle s'est bien gardé de me dire les chiffres 2024 de sa rémunération.

Ce sont les firmes de notation financière internationales qui dirigent le Mouvement Desjardins, et attention à celles et ceux qui oseraient dire à Desjardins qu’il a perdu son âme: des règlements de régie interne (4.6 et 4.7) (Monique F. Leroux en 2010) exigent une «saine conduite» des membres sous la menace d’une exclusion radicale et arbitraire. De puis 2011, je viens de subir ma 7e exclusion; cette fois-ci ce fut la Caisse d’économie solidaire Desjardins (anciennement présidée par Gérald Larose) qui m’empêcha de présenter 3 propositions aux sociétaires lors de leur assemblée générale annuelle du 18 avril 2024 au Théâtre Paradoxe, 5959 boulevard Monk à Montréal. Au dire du président actuel, M. Garry Lavoie, j'aurais eu depuis le 2 janvier 2024 une très vilaine conduite: c'est depuis cette date que j'ai demandé la présentation des 3 propositions aux sociétaires de la Caisse. Je fus exclu le 28 mars 2024. Tout est sur mon blogue (http://francoischampoux.wordpress.com/) sous le titre suivant: Desjardins: lettre aux autorités du Québec; 3 mai 2024. 

Merci de votre découverte et si vous écoutez les explications de Desjardins, soyez vigilant…; leur vérité sera toujours à vérifier de plus près.

François Champoux, Trois-Rivières

Vous êtes superficiel, M. Leblanc, avec vos affirmations-interrogations et vos affirmations gratuites. 

Le vrai débat est celui de juger une personne sur son apparence, que sur son apparence. Voilà le vrai débat que des instituteurs matures devraient faire en classe secondaire afin que les adolescentes et adolescents mûrissent de façon supérieure à leurs aînées trop biaisés que nous sommes. 

Avoir peur de l’autre et son accoutrement font les guerres stupides dont nous sommes témoins et pas seulement ailleurs : ici même au Québec se fait actuellement une guerre souterraine immature inutile et excessivement dangereuse pour la sauvegarde toujours fragile de la paix. Nous la tenons trop pour acquise cette paix…

 

Ne soyez plus superficiel, M. Leblanc ni vindicatif ni peureux; soyez constructif comme vous en êtes capable.

François Champoux, Trois-Rivières

 

Gabriel Nadeau-Dubois devra faire comme Robert Bourassa : se retirer de la scène politique et retourner étudier n’importe quoi d’autre; peut-être la littérature…

L’erreur de sa part sera de s’acharner; peut-il le voir maintenant?

Et le bien de cette vision sera pour lui et pour le Québec. Quant au parti politique comme tel (Québec Solidaire), ce sera un bien ou un mal et ça ne fera pas une grande différence. Certes à plus long terme pour la nation du Québec, laquelle doit évoluer vers plus de cohérence de société. Souvenons-nous de ce moment historique où il a été décidé de retirer le crucifix de l’Assemblée nationale; plusieurs s’attendaient à une crise d’identité. Rien n’arriva. Et depuis, nous apprenons à vivre en adulte responsable; péniblement, certes, mais nous évoluons enfin vers plus de clarté sociologique, à vivre ensemble et mieux, sans menace sauf par cette loi 21 qui manque de maturité sociologique. Mais ça viendra.   

Au moment où notre réseau de la Santé est en train d’imploser et que celui de l’Éducation semble être sur un chemin des plus tortueux, il faut que nos élites pensantes apprennent à faire un pas de recul pour mieux voir la situation sociologique de la province au bord d’un étouffement par elle-même. Nous devons mûrir comme peuple, prendre de la maturité au lieu de nous laisser glisser vers la décadence trop américaine et trop arbitraire.

François Champoux, Trois-Rivières

Désolé, je ne peux accepter comme argument de taille l’épanchement sentimental sur un bien pour le conserver. Vous connaissez certes la philosophie bouddhiste: celle-ci nous rappelle avec justesse qu’il n’y a rien de permanent; les deuils doivent se faire malgré leur pénibilité. Ainsi va la vie...

Même le Mouvement Desjardins n’est plus la coopérative d’épargne et de crédit de Dorimène et Alphonse Desjardins; aujourd’hui, le Mouvement Desjardins est même pire qu’une banque à charte canadienne capitaliste. À la Caisse d’économie solidaire Desjardins (CÉSD), annuellement on exploite 22,000 membres au seul bénéfice de quelques membres-entreprise. En 2023, c’est plus de 3 millions de ristournes qui furent distribuées à seulement 300 membres entreprises que la direction a choisies parce qu’elle les qualifiait de "socialement responsables" (référence: Gérald Larose). Tout le restant des membres est considéré comme le "personnel de service", les esclaves financiers aliénés au service d’une minorité "bien-heureuse".




Vous savez sans doute que depuis 2005, les dirigeants des Caisses sont rémunérés à plus de 150.00 $/l’heure; c’est le chiffre de 2015: on cache maintenant la rémunération des élus Desjardins. La CÉSD se vante d’ailleurs de ne pas rémunérer ses dirigeants; c’était l’affirmation du président de la Caisse, M. Garry Lavoie lors de l’assemblée générale annuelle (AGA) du 20 avril 2023. Je n’ai pu assister à L’AGA du 18 avril 2024, car les dirigeants de la CÉSD m’ont exclu par leur règlement de régie interne 4.6 (saine conduite d’un membre) et 4.7 (réprimande, suspension, EXCLUSION)! Je voulais faire mon petit "Robin des banques" en faisant des propositions aux sociétaires lors de l’AGA du 18 avril dernier.

Comme vous pouvez le vérifier (voir mon blogue: HTTP://francoischampoux.wordpress.com/) (Titre: Desjardins: lettre aux autorités du Québec, 3 mai 2024), on n’a plus les coopératives qu’on avait, n’est-ce pas?

Ou bien on en fait notre deuil et l’on va voir ailleurs, ou bien on dénonce et l’on propose mieux, si on nous laisse le faire...

Merci M. Marineau de vos réflexions,

François Champoux, Trois-Rivières

 

À quoi peut bien servir une charte, loi suprême d’un pays (et même d’une province), si nos élus peuvent en déroger à leur guise et de façon régulière? 

N’oublions pas de plus que les citoyens sont tenus d’obéir aux lois, sous des peines sévères de toutes sortes. Les citoyens que nous sommes doivent agir ainsi pour la protection même de notre constitution de pays, notre bien commun à toutes et à tous, sinon c’est la déchéance constitutionnelle totale.

Si le proverbe «vox populi, vox dei» était vrai, aurait-on besoin de cours supérieure et suprême? Je pense humblement que «OUI», car l’organisation d’un pays demande des balises à en finir, sinon justement, on n’en finirait plus de se disputer. 

Probablement comme vous, j’ai lu le petit livre de Francine Pelletier «Au Québec, c’est comme ça qu’on vit; la montée du nationalisme identitaire» LUX Éditeur 2023, 214 pages. Au-dessus des considérations et des allégeances politiques, il y a la paix à sauvegarder; et pour que celle-ci puisse se vivre pour vrai, il faut éduquer le citoyen au respect de la constitution du pays, de la province. Sans cette éducation, le risque grandit aux discours extrémistes et aux vérités absolues comme celles des religions. Il n’est pas facile de se respecter mutuellement, mais il n’y a pas de multiples façons de le faire: il faut respecter la différence ou ne pas la respecter. Voilà l’enjeu pour une paix de la nation.

Un référendum au-dessus des lois du pays, n’est-ce pas un risque d’allumer une mèche fatale à notre paix maintenant devenue de plus en plus fragile à cause d’un conseiller municipal qui s’est trouvé drôle d’écrire un code de vie?

Dire «NON» à la différence, c’est faire un retour à l’uniformisation d’antan où la religion catholique enfermait le Québec à une obéissance absolue et crédule.

L’évolution prend du temps; seule l’éducation aide à avancer.

François Champoux, Trois-Rivières