Abolissons les taxes scolaires et les commissaires
3 octobre 2013
Si on renomme les commissions scolaires en centre administratifs régionaux, elles sont où les économies?
Mario Robert - Archiviste et historien, président du Réseau des services d'archives du Québec
Armés de 2000 ordinateurs, les défenseurs de WikiLeaks attaquent ceux qui s'en prennent au site spécialisé dans la divulgation de documents secrets
Des citoyens collectent des dons pour contrer l'immobilisme de BAnQ
Québec
Vigile.net peut aussi compter sur le soutien de la députée Louise Beaudoin
Gisement Old Harry
3 octobre 2013
Si on renomme les commissions scolaires en centre administratifs régionaux, elles sont où les économies?
3 octobre 2013
Comment dire, il n'y a pas eu de conquête, la France nous a échanger pour un peu de sucre et le bois de la Russie. L'Empire britannique, lui, a bien failli faire de même si une petite bande de United Empire Orangemens n'avaient pas trouvé ici les moyens de remplacer leurs main-d'oeuvres bon marché des plantations du sud, par une autre, plus versatiles et encore plus docile, nous.
Combien de "Québécois" tiennent déjà pour acquis qu'à l'ouest de St-Laurent, c'est anglais qui domine, que Montréal c'est anglais, que le Québec c'est l'anglais qui est important pour "travailler"? Les seules barrières sont dans la tête de ceux qui sont colonisé, ceux qui perpétue, même inconsciemment que nous sommes colonisé, alors que les principaux acteurs de notre mise en infériorité, c'est nous même.
A son maximum, la population "anglophone" au Québec, n'a jamais dépassé 25% de la population du Québec, aujourd'hui, c'est 4,5%, ce qui est au dessus n'est que propagande pour tromper des immigrants anglophones mal intégrés au Québec, qui partent tôt ou tard. La tentative de mépris des oligarchistes rhodésiens, n'est qu'une autre tentative désespérée de se rallier des collabos "francophones", comme au temps des émeutes de Montréal et l'incendie du parlement ou de la révolte des Patriotes. Ils sont ridiculement peu et ce n'est que par un manque de leadership et d'organisation des "Québécois" à s'organiser et faire société.
La première étape à franchir c'est de combattre les effets des luttes à l'inflation pour l'Ontario ou l'ouest canadien qui crée du chômage et déstructure notre économie, par des monnaies "fondantes" mais toute québécoise (Déjà en Colobie-Britannique à Toronto et 5000 autres endroit dans le monde, ça existe, mais pas ici, du moins comme ça le devrait);
La seconde étape est l'organisation d'une économie authentiquement Québécoise par la maîtrise locale de circuit-court et de réseaux de solidarités pour intégré ce que l'économie canadian laisse de côté au profit de ses collabos d'ici;
Ensuite, il faudrait faire ce que font tout les peuples normaux et ne plus subir les versions incomplètes, tendencieuse et trompeuse de l'Histoire de ceux qui veulent nous dominer avec notre bénédiction et retourner nous même sur les lieux pour nous confronter à notre histoire pour comprendre ce qui s'est réellement passé. L'exemple de JRMS sur les événements des Plaines d'Abraham et de la bataille de Ste-Foy est éloquent et à multiplier.
Enfin, pour tout les "anglos", "francos" et "allos" qui rêvent d'un canada pure, sans québécois, leurs indiquer que leurs pays, celui des Newfies, n'est pas seulement hors de Montréal, mais hors du Québec. Cela fera du bien à l'Ontario de recevoir des francophones unilingues, persudés jusqu'à la bêtise que le Canada est leurs pays... et bon débarras!
3 octobre 2013
l’objectif du déficit zéro: Je ne suis pas sûr que cela soit un facteur positif pour le PQ. Déficit zéro = coupures, et coupures = grogne. En 2003, Jean Charest a mis la main sur le volant justement parce que le PQ au pouvoir avait fait un trop bon travail dans l'atteinte du déficit zéro.
Alors que Jean Charest pataugeait en plein déficit, et cherchait (supposément) à balancer le budget, il a sorti le chéquier pour accorder aux commissions scolaires une allocation spéciale TEMPORAIRE de $400 millions. Pourquoi cette soudaine générosité alors qu'on arrive pas à boucler son budget?
Cela ressemble drôlement à un cadeau empoisonné qu'il léguait au PQ. Il savait que le PQ allait hériter d'une situation économique impossible. Il savait aussi que le PQ ambitionne de se donner une crédibilité économique, et qu'il ferait du déficit zéro une obsession. On répète donc le scénario de 2003: On laisse le PQ se discréditer avec l'objectif du déficit zéro, et on récolte les insatisfaits à la prochaine élection.
Arrive le PQ au pouvoir, et il voit en cette allocation TEMPORAIRE un moyen facile de réduire son déficit. Alors, il coupe $200M, et veut en faire porter le chapeau aux commissions scolaires. Or, il semble bien que celles-ci refuse de porter le chapeau, et feront sûr de faire savoir à la population à qui appartient le chapeau.
Donc, selon moi, l'atteinte du déficit zéro pour le PQ est bien plus un passif qu'un actif.
, le projet de Charte des valeurs québécoises et le dossier des taxes scolaires qui pourrait aboutir à une remise en question de la survie des commissions scolaires,
3 octobre 2013
C'est une bonne idée.Il y aurait plus de justice en transformant ces commissions scolaires en 17 centres admistratifs régionaux.
3 octobre 2013
"En attendant, comment attendre d’eux qu’ils s’identifient à un peuple qui n’ose pas se prendre en main". C'est vrai. Et on peut dire que le mouvement national québecois ne s'aide pas beaucoup en étant désuni et en ne posant pas la question de la société à construire (base économique, sociale, ...). C'est vrai parce que les anti-indépendantistes en profitent et sautent sur l'occasion de la charte des valeurs pour discréditer la cause indépendantistes en utilisant les mots magiques : "racistes", "xénophobes", ...
Une seule solution, la fermeté sur le principe et contrattaquer unis sur toutes les diffamations.
Les mêmes sont à l'œuvre en France contre la laïcité.
3 octobre 2013
@M. Bertrand:
"C’est la raison pourquoi il a préféré retirer sa candidature et offert sa collaboration à ses adversaires pour préparer le parti à cette élection décisive."
Donc, il préfère aller dans le mur avec quelqu'un d'autre au volant???
Si la stratégie de JCSA vous convenait, alors, pourquoi ne vous ralliez-vous pas à Sol Zanetti? Il me semble qu'à cet égard, il est très proche de JCSA.
3 octobre 2013
C'est parce que le discours de Laurier est un faux... Theodore Roosevelt à fait le même discours en 1919. C'est bien de vérifier les sources avant d'avancer des propos!
3 octobre 2013
@ Monsieur Luc Bertrand
Un gros merci pour vos explications qui m'aident à comprendre davantage pourquoi je résistais à embarquer avec ce parti. Aussant n'a pas été honnête envers ses membres en ne précisant pas assez le but véritable de la création de ce nouveau parti. Nous avons assez du flou politique entretenu par le PQ depuis sa fondation, en 1968, et qui stoppe l'arrivée du pays.
Comme je l'ai mentionné sur Vigile, dernièrement, je ne crois plus en la démocratie du système, de l'establishment au Québec et je suis persuadé que l'indépendance se réalisera dans la rue avec cette venue massive d'immigrants, au Québec, qui iront comme toujours se joindre au West Island et voter contre nous.(Le PQ ne comprend pas encore! ). C'est leur façon de nous remercier pour leur avoir donné la chance de venir vivre au Québec.
Tant qu'à André Archambault du PQ qui a fait avorter le congrès de la Convergence Nationale, ça ne me surprend pas du tout; vous savez, les anciens journalistes de Radio- Canada convertis à l'indépendance, je m'en méfie énormément. Je lis régulièrement vos commentaires que je trouve très intéressants. Merci encore!
André Gignac 3/10/13
3 octobre 2013
Monsieur Marineau
Il n'y a pas de fumée sans feu. L'affaire Boisclair montée par Duchesneau de la CAQ était pour masquer le financement illégal de l'ADQ en 2008 dont les médias parlent ces jours-ci. M. Michel David du Devoir a écrit, aujourd'hui, un bon article sur ce sujet. Selon moi, c'était une autre belle diversion politique.
André Gignac 3/10/13
3 octobre 2013
"Les gens qui ne sont pas favorables à la neutralité de l'Etat devront alors tenter leur chance ailleurs."
J'ai le même droit que vous de rester ici.
Par contre, vous n'avez pas le droit de dire aux autres :" Allez-vous-en si vous n'êtes pas d'accord avec mes idées ou avec le projet de la Charte".
Vous n'êtes pas le proprietaire de la province que vous n'avez ni achetée ni héritée par droit ou naissance !
Réfléchissez-y avant d'écrire ou, encor mieux, taisez-vous si n'avez rien de constructif à dire ! Le silence des fois fait plus de miracles que 1000 mots risibles.
Marco
3 octobre 2013
2/2
✔ Nouvelle-Zélande. Bill English, le ministre néo-zélandais des Finances est favorable à la solution chypriote pour porter secours aux banques en difficultés, qu’il a adaptée à la Nouvelle Zélande avec l’Open Bank Resolution (OBR). L’OBR prévoit qu’en cas de faillite d’une banque, tous les déposants subiront une ponction immédiate sur leur épargne pour financer le plan de secours de la banque.
✔ Canada. Le Canada est également en train de proposer la méthode du « bail-in » dans le cadre de la préparation du budget du gouvernement. Le nouveau budget propose de mettre en place un régime de bail-in pour les banques du Canada d’une importance systémique. Cette proposition est datée du 21 Mars, ce qui implique qu’elle est antérieure à la mise au point de la solution chypriote.
« Cela signifie que les gouvernements du monde considèrent désormais que notre argent constitue une partie de la solution en cas de faillite future de grandes banques », écrit Snyder.
Il n'y a plus d’endroit offrant une garantie totale pour placer son argent. Plus que jamais, il est impératif de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, et de répartir ses actifs sur différentes sortes de supports au sein de plusieurs banques/institutions financières. Ceux qui s’en abstiendront et qui placeront toute leur fortune dans une seule banque ne devront pas se montrer surpris si un jour une grande partie venait à disparaitre à la suite d’une décision officielle.
http://www.express.be/business/fr/economy/la-confiscation-de-lepargne-devient-une-tendance-mondiale/196450.htm
3 octobre 2013
'La confiscation de l'épargne devient une tendance mondiale'
Maintenant que le « bail-in » (c'est-à-dire le sauvetage d’une banque effectué en mettant les déposants à contribution, comme cela a été fait à Chypre, ndlr) est devenu une pratique acceptée tout autour de la planète, aucun compte bancaire et aucun fonds de pension ne sera plus jamais en sécurité à 100% », écrit Michael Snyder sur « The Economic collapse ». Il cite des exemples qui indiquent que cette pratique s’est en effet généralisée dans le monde au cours des derniers mois :
✔ Pologne : Reuters rapporte que le gouvernement polonais a annoncé mercredi dernier qu’il allait transférer à l’Etat plusieurs actifs détenus par des fonds de pension privés pour réduire la dette nationale. L’association des fonds de pension polonais a jugé que cette décision était inconstitutionnelle parce que le gouvernement s’est emparé de certains de leurs actifs privés sans leur proposer la moindre compensation.
✔ Islande. Ce pays a été salué pour sa gestion de la crise financière. Cependant, le ministère des Finances vient de proposer de limiter la garantie des dépôts bancaires à 100.000 euros. Cette mesure ne manque pas de rappeler que l’Europe a érigé la solution adoptée à Chypre (c'est-à-dire la mise à contribution forcée des déposants détenant plus de 100.000 euros en compte) en « modèle » , d’autant qu’en parallèle, des contrôles de capitaux ont été mis en place, qui ont permis de limiter les sorties de capitaux à 6 milliards d’euros.
✔ Europe. Jeudi dernier, les ministres des Finances de la zone euro ont approuvé un plan qui promeut la méthode du «bail-in» comme la méthode type pour porter secours aux banques « too big to fail » à l’avenir. Ce plan prévoit que les clients titulaires de dépôts supérieurs à 100.000 euros seront les premiers à subir des pertes en cas de tombée en faillite de la banque. Les contribuables ne seront plus mis à contribution qu’en dernier ressort.
✔ Italie. Un « bail-in » est actuellement organisé pour la banque Monte dei Paschi, la plus ancienne banque italienne. En clair, la banque ne paiera plus d'intérêt sur 481 millions d'obligations hybrides. Ces titres ont été choisis en particulier, parce qu’ils n’offrent aucune protection ni aucun recours à leur détenteur. Les clauses de leur règlement prévoient que l’absence de paiement des intérêts de l’emprunter ne sera pas considérée comme un défaut de paiement. Il ne semble pas que ce sauvetage devrait concerner d’autres titulaires de comptes privés, mais cela montre que les officiels européens sont déterminés à appliquer la solution du bail-in en cas de chute d’une banque.
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