La radio-poubelle de Québec
21 avril 2014
Nous avons tous des échos, à Montréal, de ce qu'on appelle les radios-poubelles de la région de Québec et dans laquelle se complaît une société qui, pourtant, est dominée par des fonctionnaires, ceux-là même qui font l'État dénoncé par ces radios. C'est de l'auto-flagellation ou quoi?
Autre aspect du phénomène de Québec : c'est probablement la ville de Québec et son importante classe de fonctionnaires qui, administrativement, profiteraient le plus d'une accession à l'indépendance.
À tout événement, se défaire des radios-poubelles commence probablement par le boycottage des annonceurs, et la dénonciation publique martelée de ces supporteurs d'abrutissement collectif qui a fait que presque toute la ville de Québec a voté pour un Parti libéral corrompu.
Mais je suis probablement hors d'ordre ici, étant résidant de la banlieue de Montréal. On en est là, au Québec et c'est d'une grande tristesse.
Réal Pelletier
retraité de Longueuil