La Loi Hilton
25 août 2007
«Le premier instrument du génie d'un peuple, c'est sa langue.» Stendhal (Extrait de Des périls de la langue italienne)
Le nouveau record risque d’être battu au cours des prochains mois
Fondation Rivières
Le remplacement de deux navires coûtera 1,5 milliard de plus que prévu
Signez la pétition
25 août 2007
«Le premier instrument du génie d'un peuple, c'est sa langue.» Stendhal (Extrait de Des périls de la langue italienne)
25 août 2007
Je constate par vos derniers propos monsieur Poulin, que vous êtes une personne raisonnabe et pleine de bon sens. C'est en se parlant qu'on se comprend. Je serais des plus honoré de militer dans le PI avec un chic bonhomme comme vous. N'ayez crainte, ceci n'est pas de la flagornerie de ma part. D'abord, ce n'est pas mon genre. C'est surtout que je suis sincère. J'espère que nous aurons la chance de marcher ensemble demain pour rendre hommage au Dr. Laurin.
25 août 2007
Le passé est le meilleur garant de l'avenir. Nous ne nions pas le travail qui s'est fait dans le passé.Nous pouvons être fiers de beaucoup de gestes posés par les souverainistes. Ils font dérénavant partie du patrimoine québécois.
Par contre, il faut en tirer des leçons lucides pour l'avenir si nous désirons poser les bons gestes pour la suites.
La plus importante leçon qu'on doit en tirer, c'est que maheureusement, le PQ ne peut plus porter ce combat. Qu'il n'a plus dans la population la crédibilité nécessaire et que si on continue à s'y accrocher comme à une bouée de sauvetage, il finira par faire couler complètement le grand projet de pays.
Lorsque Renée Lévesque a quitté le Parti Libéral du Québec, c'est qu'il avait la ferme conviction qu'il y perdait son temps et que ce parti n'était plus porteur d'espoir pour le peuple québécois. Il a fondé le Mouvement Souveraineté-Association qui a donné naissance au Parti Québécois. Ce fut une étape dans l'histoire politique du Québec. Vous devez vous aussi respecter le constat qu'en a fait les ex-membres du RIN dont Pierre Bourgeault qui déclarait:"Le PQ était beaucoup pus intéressé par la prise du pouvoir que par la réalisation de l'indépendance du Québec." On ne renie rien lorsque l'on dit cela. On constate, c'est tout!
Je pense sincèrement et avec d'autres concitoyens qu'une nouvelle étape commence et sommes convaincus que cette fois, il ne faut pas manquer le bateau.
25 août 2007
Monsieur Poulin,
Venez me dire que le nerf de la guerre n'est pas l'argent et le profit. Venez me dire que les guerres n'ont jamais été animées par autre choses que des questions d'ordre matériel. Tout le reste n'est que prétexte.Je suis peut-être naïf mais je sais une chose, la violence n'engendre jamais autre chose que la violence! Vous devriez lire à votre tour les écrits de Gandy, un grand artisan de paix.
On ne peut honnêtement savoir ce qu'il adviendrait d'une terre sans armée, sans armes, sans mines anti-personnelles pour la simple raison qu'on se bat et se tire dessus depuis la nuit des temps. Vous ne trouvez pas que le carnage a assez duré?
Je vous invite à vous rendre au Grand Théâtre de Québec pour admirer la grande murale de l'artiste Jordy Bonet. Il y est écrit:"Vous n'êtes pas écoeurés de mourrir, bande de caves. C'est assez! C'est un cri du coeur qui y est exprimé. Cri à la mémoire entre autre des gens qui sont morts durant la guerre d'Espagne où des centaines de démocrates républicains ont été assassinés par les milices facistes de Franco.Loin de moi, l'idée de comparer le Royal 22ième régiment aux milices de Franco. Par contre, après avoir discuté et dialogué, à maintes reprises avec des militaires, on sent que ça glisse!On sent chez plusieurs des comportements délinquants qui flirtent avec une vision autoritaire de la société.C'est un terrain glissant!Vous êtes une personne intelligente et savez parfaitement ce à quoi je fais référence, surtout si vous avez vous même baignez dans le milieu comme je le crois!
Tout cela demande réflexion, vous ne croyez pas?
Pour l'instant, il importe que l'armée soit bien encadrée par les représentants de la société civile, par les parlementaires.
C'est la seule façon d'éviter les dérapages. Et il y a danger de dérapage. Voilà pourquoi il faut demeurer vigilant!
Pour le reste, je demeure d'opinion que les humains auraient sûrement autre chose à faire que de se tirer dessus!
25 août 2007
Cher monsieur Poulin,
je n'ai pas de difficulté avec votre dernière intervention.Par contre, la nostalgie, ça suffit! Il est maintenant minuit moins cinq et il est temps de passer à autre chose.
Denis Julien Lotbinière
25 août 2007
Nous savons tous que les policiers, même assermentés, mentent devant les tribunaux, mentent lors de commisions d'enquêtes et nous les voyons, maintenant, mentir en publique. Ils sont constants, on doit le reconnaître.
Quel mépris, tout de même. Pourquoi ces policiers se rangent-ils du côté du pouvoir? Ne viennent-ils pas de la classe moyenne. Ne sont-ils pas, eux aussi, en tant que citoyens, victimes de ces tricheurs, menteurs, oppresseurs, criminels qui nous exploitent tout en prétendant vouloir notre bien et respecter les règles du jeux de la démocratie?
Dans les pays européens, sauf en Angleterre, les gens ordinaires haïssent et méprisent les policiers et les militaires, car trop souvent, dans leur longue histoire, ces derniers ont été les instruments brutaux, criminels du pouvoir sans partage. Le piège à cons de Québec est un exemple parfait de la duplicité et de la complicité des forces de l'ordre.
Pourquoi vouloir ternir l'image de participants pacifiques qui défendent une cause juste et noble? Si ce n'est que les puissants donnent raison aux manifestants et qu'il est impérieux de les discréditer de crainte que le message ne soit compris, fasse boule de neige et vienne gâcher la sauce.
Ces policiers, pourtant issuent de nos millieux, ont été contaminés par les turiféraires du pouvoir sans partage. Les manifestants pacifiques doivent développer le réflexe de démasquer tout manifestant masqué. De toute façon, qu'il soit policier ou véritable manisfestant, il est un ennemi de la cause que les manifestants pacifistes dénoncent. Leur comportement de criminel ne peut que détourner l'attention des médias, comme on l'a vu à Québec, où le message des manifestants pacifiques est passé quasiment inapperçu tellement les caméras et les micros n'en avaient que pour la violence, aussi bien policière que de certains manifestants casseurs, dont la spécialité est de s'attaquer à des innocents sans défense et à la propriété publique. A qui profite le crime? Certainement pas à la cause prétendument défendue.
Démasquons ces traites à la cause, sans hésitation, et devant les caméras si possible, il y en a tellement. Sans oublier les téléphones portables qui sont maintenant autant de caméras et si maniables, directment reliées à Internet. Ce ne sont pas les moyens de défense et de contre-mesures qui manquent aux manifestants pacifiques. Son visage sur Internet est bien la dernière chose qu'un policier\agent provocateur ou un casseur désire voir à l'écran.
Un peu d'intelligence, que diable!
25 août 2007
M. Poulin,
Les critiques indépendantistes qui pensent que le PQ a été plus souvent confédérationiste qu'indépendantiste ne me semblent pas démoniser le PQ, ses députés et se dirigeants. Une vraie confédération canadienne ne serait pas une horreur.
Au moins 45 % des Québécois francophones, à tort ou à raison, avaient et ont encore peur de l'option souveraineté-association ou partenariat et, encore plus peur de la souveraineté seule pour le Québec en ce temps de la mondialisation.
Je suis avec vous, M. Poulin, pour dire qu'il ne faut pas dénigrer lea actions passées du PQ et j'ajoute aussi qu'il ne faut pas plus dénigrer les autres options politiques par des attaques personnelles sur ses représentants si les indépendantistes ne veulent pas braquer leurs concitoyens qui ont droit à leurs opinions.
C'est quoi la solution M. Poulin ? Changer de hauts-parleurs souverainistes ? La peur est une chose très difficile à raisonner et quelquesfois, elle peut être bénéfique.
25 août 2007
Bonjour monsieur Poulin,
J'ose espérer que le but de votre chronique n'est pas de décourager les miltants du PI d'aller de l'avant avec leur projet. J'aurais la nette impression que vos poursuivez le travail de démotivation et de démobilisation entrepris par le PQ au cour des 10 dernières années passées.
Personne parmi nous ne niera les gains que le Québec a fait dans certain domaine. Mais, nous sommes obligés de réaliser que le PQ n'a plus aujourd'hui, la crédibilité nécessaire pour continuer le combat.Toutes législations linguistiques futures, tous les projets de constitution ou de citoyenneté québécois seront voués à l'échec à la suite du jugement Hilton.
Le PQ s'est lui-même disqualifé.Il a été trop souvent absent des débats qui occupent la scène politique québécoise . Il n'y a pas exercé son leadership.Il s'est conduit en véritable éteignoir des militants. Que Mario Dumont parle de francisation des immigrants, de constitution et de citoyenneté québécoises, nous sommes en pleine science fiction! Eh oh! Où est le PQ?
J'arrive d'une tournée dans le Bas-du-Fleuve. Tout le monde est unanime dans la population. On ne croit plus le PQ.On ne prend plus le PQ au sérieux. On ne croit plus qu'il fera l'indépendance du Québec.Point final!
Alors, on fait quoi?
On se relève les manches et on milite au PI avec des hommes et des femmes dontla seule loyauté ira exclusivement à faire du Québec, notre pays!
25 août 2007
Quelle tristesse!
Tout cela pour entretenir les seigneurs de la guerre des deux côtés de l'Atlantique.
Pendant ce temps, plusieurs se remplissent les poches et vive la patrie!
C'est à vomir!
25 août 2007
Vous ne me rassurez pas entièrement monsieur Poulin. Nous pacifistes québécois dont je me réclamme, ne méprisons pas les militaires. C'est le militarisme qui nous inquiète. L'armée est une institution qui est plusieurs fois millénaire et constitue un véritable état dans l'état.Elle est une institution autocratique où l'obéissance et la loi du silence règnent en maître.Ellet ne fonctionne pas selon les règles de la démocratie d'où cette inquiétude qui nous habite. Elle a donné lieu à des dérapages dangereux pour ne nommer que l'expérience grecque dans les années 70 ainsi que l'expérience chilienne si malheureuse.
Pourquoi le Québec indépendant ne pourrait-il pas être un état sans armée? Ne pourrait-on pas innover en coupant avec cette logique guerrière, en envoyant au reste du monde, le message suivant: "Le Québec a dorénavant choisi les voies du dialogue et de la diplomatie pour règler ses éventuels conflits avec les autres nations du monde." Je suis peut-être naïf mais pourquoi ne pas essayer cette option? Je vous entends me répondre:"Et si on nous agressait militairement sur notre territoire, que ferions nous?" Je vous répondrais que les deux seuls pays qui peuvent logiquement nous attaquer sur le territoire québécois sont le Canada ou les État-Unis. Pouvons-nous lucidement penser qu'une armée québécoise serait de taille à faire face à l'armée américaine et même canadienne? Il n'y aurait pas, au point de départ,égalité dans le rapport de force.A mois de verser carrément dans la gérilla et on en voie les résultats pour la population civile sur le terrain en
Afghanistan.
Je peux à la limite envisager une armée québécoise dont les fonctions, le mandat et le rôle devraient être bien encadrés par l'Assemblée Nationale.Elle pourrait être au service de la population québécoise lorsque surviennent des sinistres et des catastrophes naturelles. Elle pourrait participer à de véritables missions de paix et de reconstructions. J'ai bien dit, de véritables missions! Ces dernières pourraient être évaluées et révoquées par les parlementaires. C'est cela la démocratie, monsieur Poulin!
Je tiens à parler du principe de la légitime défense qui est le talon d'Achille des pacifistes. Vous me voyez venir n'est-ce pas monsieur Poulin. N'avons- nous pas le devoir de nous défendre en tant qu'individu si on nous agresse dans notre intégrité physique? Je vous répondrai que la présence de chartes telles que la Charte Québécoise des Droits de la Personne du Québec a sûremet eu une influence certaine sur l'adoucissement des moeurs dans nos rapports entre individus. La menace d'éventuelles poursuites judiciaires en a découragé certainemet plus d'un dans leurs envies de faire un mauvais parti à d'autres citoyens.Je tiens à vous dire que ce genre de protection citoyenne est absente des sociétés militarisées. Nous en avons un exemple flagrant chez nos voisins du sud.Aussi, je tiens à mentionner la Loi Québécoise sur Les Jeunes Contrevenants dont nous avons raison d'être fiers.Elle a grandement contribué à un abaissement significatif de la délinquance chez les jeunes et couper court avec la logique perverse de l'école du crime lorsqu'on les mettait en prison avec les vrais criminels.Nous sommes un exempe pour le reste de l'Amérique du nord.
Alors pourquoi ne pas appliquer la même logique dans nos rapports entre pays. Ne pourrait-on pas créer des organismes internationaux qui éradiquerait la guerre comme solution à nos différents et conflits?
Le Parti Québécois à ses débuts ,avaient parlé de l'instauration d'un sevice civique obligatoire pour les jeunes. Je ne suis pas contre en autant que ces valeurs véhiculent les principes d'entraide et de civisme qui pourraient servir à la communauté.Par contre, il est très clair dans mon esprit que le maniement des armes à feu devrait en être exclus.
Le commerce éhonté des armes sur la planète est la nourriture du militarisme. La guerre, monsieur Poulin, ça profite à beaucoup de monde. On en connait les conséquences sur le plan humain . La langue de bois utilise l'expressions "dommages collatéraux" En ce qui me concerne ,cela ne signifie rien d'autre,que des centaines de milliers de vies brisées.Combien d'enfants ont-ils été mutilés sur des mines anti-personnelles, blessés et tués en Irak, au Liban, en Palestine, en Israël et en Afghanistan depuis 1970? Je n'ose avancer un chiffre!
Tout cela demande réflexion!
Denis Julien Lotbinière
24 août 2007
Je ne crois pas que le simple fait que le PQ ait gouverné le Québec-province, sans pourvoir faire plaisir à tous, ait automatiquement enlevé le goût de la souveraineté au gens. Au pire, cela n’a été qu’un facteur. Je crois qu’il y a une évolution socio-économique fondamentale du Québec qui l’explique davantage. On ne se sent plus menacé. Les Québécois se sentent davantage en confiance et épanouis. Cette évolution, qui est le résultat d’un long développement social, était due pour arriver, peu importe le parti au pouvoir. De plus, personnellement, je ne reproche rien aux dirigeants du PQ. Je regrette même Lucien Bouchard, pour moi le dernier grand leader dans l’histoire du Québec qui a su piloter de nombreux dossiers difficiles tout en gardant une confiance relative de l’électorat. Par contre, je regrette davantage les querelles internes qui ont trop souvent eux pour effet d’éclipser dans les médias tous discours sur les véritables motivations du programme. Il n’y aura pas de communication efficace si tous et chacun vont dans sa propre direction à l’intérieur d’un parti. J’insiste sur ce point, car nous pouvons avoir quantité d’idée, mais si nous ne parvenons pas à interpeller le citoyen moyen en communiquant clairement, les idées ne resteront que des idées. Si le PQ ne survit pas, ce sera dû à une surabondance de luttes idéologiques (certains diront « débats d’idées ») et à une carence de luttes communicationnelles (autre effet des « débats d’idées »), surtout dans les médias de masse. Il pourrait éventuellement en être de même pour tout le mouvement souverainiste. Par contre, la motivation de l’électorat provient-il d’un bon plan de communication? En partie je dirais. Mais les tendances lourdes d’une société, qui ne me semblent pas actuellement à l’avantage de la souveraineté québécoise (totale ou partielle), ont certainement plus d’effet que n’importe quoi d’autre. Par conséquent, mettre la faute sur les chefs me paraît facile, mais mettre de l’eau dans son vin me le paraît moins. Doit-on nécessairement proposer la souveraineté aux gens? Nous ne sommes pas obliger d’atteindre cette cible si nous pensons pouvoir réaliser un objectif moins ambitieux, qui lui aurait au moins la qualité d’être effectif. À chaque fois que j’en parle, on me dit alors que l’accord du Lac Meech n’a pas passé, qu’on a déjà essayer tout ça… C’est vrai. La solution tentée ne serait pas originale, mais elle aurait l’avantage de bien sonner dans l’oreille de la majorité et pendant que les libéraux ne sont pas au pouvoir à Ottawa, les chances d’une entente sont meilleures.
Il faudrait voir aussi la constitutionnalité de la « constitution » québécoise et des lois que vous proposez. En cas de contradiction avec la constitution et les lois canadiennes, c’est ces dernières qui auront préséance… À moins que l’on parle de commettre délibérément des gestes inconstitutionnels. Encore là, il faudra convaincre le québécois moyen que l’action en vaut la peine, ce qui ne me semble pas acquis pour les mêmes raisons que la souveraineté par référendum à moins qu’on laisse entrevoir un projet plus modeste visant à rapatrier de force seulement certains pouvoirs spécifiques. Là et seulement là, je regarderais l'idée avec intérêt.
24 août 2007
M. Raymond Poulin écrit justement : «Par ailleurs, beaucoup semblent croire que les lois québécoises qui ont profité aux citoyens ou leur ont assuré une certaine sécurité linguistique et culturelle ont conforté la population de langue française dans l’idée qu’on pouvait aussi bien demeurer Canadien. Autrement dit, il aurait fallu délibérément pratiquer la politique du pire pour "indépendantiser" les Québécois.»
Je crois que le PQ, qui a fait avancer le Québec autant dans le cadre canadien, a été bénéfique de plusieurs façons c'est bien admis mais est-ce que ça a fait avancer la souveraineté du Québec sans association ou partenariat qui varie autour de 25 % dans les sondages ?
Le PQ, a joué le jeu du fédéralisme et a gagné beaucoup de points dans plusieurs domaines dont la loi 101, même si elle a été un peu charcutée depuis. Quand un joueur gagne, il est difficile de lui faire changer de jeu ensuite.
À mon avis, les Québécois ne se feront pas facilement "indépendantiser" par des succès du Bloc qui se force à améliorer encore la place du Québec dans le Canada ni par une future administration possible du PQ de Mme. Marois qui réussirait de très belles choses avec ou sans l'aide du fédéral, comme province dans la fédération canadienne.
M. Gilles Duceppe déclare souvent que la politique du pire est la pire des politiques pour le BLOC mais s'il continue à vouloir améliorer la situation du Québec dans le Canada, ça va pas être trop bon pour la souveraineté ça.
Même si c'est un peu absurde, les succès d'une possible future gouvernance indépendantiste, nuiraient à son option. "Un couple a plus de difficulté à se séparer quand les affaires tendent à s'améliorer". Il en est probablement ainsi des communautés.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!