On n'est jamais si bien trahi que par les siens
22 décembre 2007
réponse à Pierreplexe
José Fontaine, reprend aujourd'hui cette question, son éclairage sur place rendra peut-être la chose plus compréhensible.
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Dans le dossier Le français Au cœur de la cible
L’Action nationale, Mars-Avril 2013
DÉPUTÉ DE PAPINEAU
Une directive du bureau du ministre Fantino pourrait avoir contrevenu à la Loi sur les langues officielles
22 décembre 2007
réponse à Pierreplexe
José Fontaine, reprend aujourd'hui cette question, son éclairage sur place rendra peut-être la chose plus compréhensible.
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21 décembre 2007
Le masochisme québécois, autrefois religieux, devient politique. – René Blanchard
Les peuples ne disparaissent pas parce qu’ils sont vaincus ou conquis, mais parce qu’ils se suicident. – Albert Brie
Les tyrans ne sont forts que par le silence de leurs victimes. - Michel de Castillo
HOPE FOR THE BEST
http://www.youtube.com/watch?v=3JLc5dqZCOU
21 décembre 2007
Votre reaction est tout-a-fait appropriee.
Moi aussi j'ai envie de crier "ca va faire !"
Ca devrait devenir le slogan d'un nouveau
parti independantiste puisqu'on a perdu le PQ.
Combien sommes-nous qui avons envie de crier
"ca va faire'? Denis Moniere aujourd'hui exprime
avec clarte que nous ne sommes pas prets
a accepter notre mise au rancart.
N'y a t-il pas un nouveau Pierre Bourgault
qui se cache quelque part ?
"Ca va faire"-: Oui , a un nouveau QUEBEC !
21 décembre 2007
Tout cela était joué d'avance: Cette Commission avait pour mandat de trainer la majorité francophone au Tribunal de l Inquisition de la rectitude politique. Cet instrumentalisation de l'ethnicité pour intimider la majorité au Québec dans son désir de s'affranchir du pouvoir arbitraire d' Ottawa est là depuis Trudeau. Il faut confronté ce discours sur la pseudo ouverture qui est en fait un négationisme vis à vis l existence même du Peuple du Québec. Comme j'ai hâte de voir un politicien sortir pour confronter la médiacartie sur ce thème.
Dès le départ de la Commission j'avais commis un texte d'opinion sur la véritable nature de l'opération (culpabiliser les Québécois et éviter la véritable soulution: une Constitution du Québec):http://www.vigile.net/Entre-le-nous-et-le-mou
JC Pomelreau
21 décembre 2007
pour info et faire suivre et sans identifier l'ensemble du peuple flamand à ce qui suit évidemment.
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La Belgique démantèle un groupe néonazi préparant des attentats
Article publié le 07 Septembre 2006
Source : LE MONDE.FR avec AFP
Taille de l'article : 262 mots
Extrait : Un groupe néonazi, baptisé Sang-Terre-Gloire-Honneur (BBET, Bloed-Bodem-Eer-Trouw), particulièrement actif au sein de l'armée, a été démantelé par les autorités belges, jeudi 7 septembre, alors qu'il préparait des actions terroristes destinées à déstabiliser les institutions démocratiques du royaume.Le parquet fédéral a expliqué que le groupe "avait l'intention de mettre ses idées terroristes en pratique", ajoutant néanmoins : "On n'a pas trouvé d'indices pour un attentat spécifique." Environ 150 policiers fédéraux ont perquisitionné dans la journée cinq casernes, en Flandre et à Bruxelles, et dix-huit adresses de particuliers en Flandre.
21 décembre 2007
Toute comparaison a ses limites. Ce cas de la communauté de Zaventem voulant discriminer les acheteurs de propriétés selon des critères linguistiques n'a heureusement pas son équivalent au Québec. On se croirait à Jérusalem-Est où de riches Américains sur le qui-vive achètent toutes les maisons qui y sont mises en vente pour y installer des familles juives très militantes, grugeant ainsi peu à peu la présence palestinienne. Je vois d'ici les virulents épithètes qu'on lancerait à la figure des Québécois francophones qui entreprendraient pareille stratagème dans le "West Island".
Christian Gagnon
21 décembre 2007
Chère madame,
Je partage votre révolte mais comme le disait Ougho, votre correspondant précédent, nous communiquons nos vues sur Vigile, lu et entretenu par des indépendantistes. Le problème est: comment entrer en contact avec cette masse inerte, suiveuse des médias. Faudrait-il faire un coup d'éclat qui serait rapporté par le Journal de Montréal, le quotidien le plus lu par cette masse.
Je connais des indépendantistes qui lisent encore La Presse, ce bébé de Gesca, ce nid douillet pour tous les Pratte de ce monde. Comment se fait-il que des ouvrages comme "Le Livre Noir du Canada Anglais" de Normand Lester n'a-t-il pas fait plus de vagues? Peut-être trop aride à lire pour la "masse inerte". Mais comme vous le dites, quand ils seront en face d'un frigo vide, il y aura peut-être une réaction positive mais en attendant on s'enfonce, jour après jour, dans cette fange de l'immobilisme. Où est le cataliseur miraculeux?
Ivan Parent, Terrebonne parivan07@videotron.ca
21 décembre 2007
Le refus de reconnaître la nation québécoise intégralement, c'est-à-dire dans sa force d'attraction et sa capacité d'intégration conduit au profilage ethnique, fondé sur une notion jamais définie, celle du "de souche". Ne serait-il pas plus juste de parler des Québécois autochtones. Ce sondage qui relève d'une approche ethniciste, nie en quelque sorte le tissu national solide qui s'est tissé entre les nationaux québécois de longue date et les centaines de milliers d'autres, arrivés plus récemment. C'est l'armature de la nation québécoise que l'on cherche à distinguer de tous les autres citoyens. En toute logique, ce sondage ethnique cible délibérément une communauté ethnique, une seule, pour la passer au crible de la tolérance. Les médias ont fait leur manchette avec 15% d'intolérants et non avec 85% de tolérants. En toute logique, la contrepartie s'impose. Ne faudrait-il pas questionner les communautés de nouveaux arrivants sur leur propre tolérance, sur leur volonté d'intégration à la nation québécoise? Mais là, vous imaginez les réactions? Le fait est que les nouveaux arrivants qui ne veulent pas s'intégrer à la nation québécoise ont le Canada au complet derrière eux. Quant à ceux qui s'intégrent, la logique Canadian leur refuse le droit d'appartenir à la nation, laquelle est maintes fois réduite à une vague communauté ethnique, comme dans le cas de ce sondage.
G. Verrier
20 décembre 2007
Une des grandes qualités de René Lévesque c'est d'avoir été clair sur son option. Il voulait la souveraineté mais assortie d'un pacte de partenariat avec le Canada. Inlassablement il plaidait sa cause et, même si le peuple n'était pas prêt, lui il l'était. Sa façon de faire force l'admiration par sa franchise sur l'option et le respect du peuple qu'il montrait en donnant au peuple les vrais arguments afin qu'il se prononce éventuellement sur les vrais enjeux. Il avait probablement la conviction que toute grande cause, pour triompher, doit être défendue visière levée. Le machiavélisme politique qui voudrait entraîner le peuple dans des voies sans issue pour ensuite le récupérer n'était pas sa tasse de thé. Ce type de manipulation ne convenait pas à cet homme. Si on veut défendre une grande cause, il faut en être fier et ne pas hésiter à se saisir de toutes les tribunes pour la mettre sur le devant de la scène. Beaucoup d'indépendantistes ne le font pas. Probablement parce qu'ils ne sont pas prêts, mais ils ne devraient pas accuser le peuple de ne pas être prêt lorsqu'il s'agit simplement de leur propre cas.
Voici selon moi le type d'arguments - parmi d'autres - qui devraient guider nos écrits et nos actions :"L’argument essentiel qui fonde la lutte des souverainistes québécois consiste à soutenir qu’historiquement et sociologiquement, la population du Québec forme un peuple qui, dans le cadre du fédéralisme canadien, ne peut exister qu’à titre de minorité ethnique." Denis Monière, 2002
J'espère seulement que ceux qui ne sont pas prêts ne déploieront pas trop d'énergie sur Vigile pour s'opposer à ceux qui désirent simplement défendre ouvertement une grande vision, une grande politique.
Gilles Verrier
20 décembre 2007
Bonjour,
Depuis des années que j'essaie de faire passer des textes dans Le Devoir mais ils ne sont jamais publiés. J'ai cessé de croire à la neutralité intrinsèque du Devoir. C'est tout de même le journal qui est le plus au centre. Votre texte est clair, concis et pourtant facile à comprendre. Comment se fait-il l'ensemble du peuple québécois ne semble pas se rendre compte du grrrrros sapin que lentement on lui passe sous le nez? Chapeau à Vigile pour permettre à ceux qui le veulent d'exprimer le fond de leur pensée.
Au fait, j'aimerais bien un jour rencontrer M.Bock-Côté. Je suis équipé pour faire de la production vidéo professionnelle (prolotus.net) et à 66 ans, je peux me permettre de choisir mes contrats. J'aimerais bien me mettre au service de cette cause qui est la mienne et qui semble être la vôtre aussi. Savez-vous où je pourrais trouver ses coordonnées.
Merci. Vous pouvez me rejoindre à: parivan07@videotron.ca
Ivan Parent
19 décembre 2007
Ce qui lui manque le plus c 'est un sens de l'état, sans lequel un politicien n'a aucun centre de gravité. Étant le plus vieux chef de parti au Québec, s'il ne l'a pas encore, c'est qu'il ne l'aura jamais, ; Le ''Maitre chez nous'' de Mario Dumont n'est pas crédible:http://www.vigile.net/Le-Maitre-chez-nous-de-M-Mario
Jean Claude Pomerleau
19 décembre 2007
Votre perspective, partagée par d'autres chroniqueurs et essayistes dans Vigile, prend en compte l'ensemble des citoyens, soit tous ceux qui, de toute manière, décideront du sort du Québec. Faut-il le rappeler aux militants qui déchirent leur chemise chaque fois qu'on avance une proposition développant une stratégie électorale autre que la promesse d'enclencher directement et immédiatement le processus d'accession à la souveraineté après une élection? La très grande majorité de ceux qui décideront ne font pas partie de la mouvance militante indépendantiste et ne sont pas gagnés automatiquement à la cause, quelles qu'en soient les raisons. Ils attendent d'abord d'un parti qu'il gouverne effectivement le Québec actuel. Quant à l'indépendance, ils se convaincront de sa nécessité lorsqu'ils pourront constater concrètement ce qu'ils perdraient (et ce qu'ils perdent déjà depuis longtemps) à ne pas la faire. En gros, comme vous le mentionnez, il faut lui démontrer par des actions que «l'auto-institution du pouvoir par la nation québécoise est difficile, voire impossible» dans sa subordination au pouvoir canadien. Cette approche constitue une pédagigie adaptable au contexte et à la situation, non une "feuille de route" basée exclusivement sur une théorie rationalisante.
Les ténors de la pureté doctrinale n'ont pas encore aperçu, après plus de quarante ans de déboires, que leur approche ne fonctionne pas dans un régime parlementaire représentatif tant qu'Il n'existe pas une crise majeure déjà perçue comme telle par la majorité de la population, et qu'une telle crise ne peut être perçue pour ce qu'elle est tant que la majorité n'a pas concrètement conscience que si elle n'agit pas en conséquence, elle perdra quelque chose considéré essentiel par elle-même. C'est avant tout une question de perception, et le discours doit être appuyé sur du concret chargé symboliquement, afin de créer une «représentation mentale collective qui suscite l'imagination et organise l'action» (Grorges Sorel). Or cela ne peut être mis en branle que par une organisation politique structurée, disciplinée, expérimentée et suffisamment souple pour ne pas s'enferrer dans des scénarios ficelés d'avance.
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