A nous de choisir!
13 mars 2009
Il ne faut pas tenir rigueur aux politiques : ils sont des hommes et qui le prouvent.
C’est d’Édouard Monpetit.
Madame,
À quoi bon cette amertume ? Rien ne change, le pouvoir s’acquiert et se conserve d’une seule façon. Vous pouvez vous cantonner dans l’opposition et demeurer du parti de la Vertu, ou vous commettre et faire le nécessaire pour remplacer ceux qui sont là.
Vous avez raison d’écrire que c’est à nous de choisir. Les péquistes, eux, l’ont fait : ils seront du parti de la Vertu, ou ils ne seront pas. Et vous ?
L’indépendance se fera comme se maintient la fédération : malgré le peuple. Je ne dis pas contre, puisqu’elle le rendra digne de ses prétentions à ce titre, mais hélas! malgré lui. C’est ainsi que se font ces choses-là.