Les administrateurs de la CDPQ ne savaient pas
14 mars 2009
Excellentes observations, qui mériteraient de paraître dans nos quotidiens, afin d'en faire bénéficier le plus de lecteurs possibles.
Mario Robert - Archiviste et historien, président du Réseau des services d'archives du Québec
Armés de 2000 ordinateurs, les défenseurs de WikiLeaks attaquent ceux qui s'en prennent au site spécialisé dans la divulgation de documents secrets
Des citoyens collectent des dons pour contrer l'immobilisme de BAnQ
Québec
Vigile.net peut aussi compter sur le soutien de la députée Louise Beaudoin
Gisement Old Harry
14 mars 2009
Excellentes observations, qui mériteraient de paraître dans nos quotidiens, afin d'en faire bénéficier le plus de lecteurs possibles.
14 mars 2009
Ce n'est pas avec M. Sabia, parasite international, collé à la réalité ontarienne de Bay Street et des Orangistes de Toronto que la Caisse conservera son identité, si jamais elle en eu une.
C'est la poursuite du Plan B du fédéral.
Le loup est maintenant dans la bergerie.
Gare aux moutons québécois!
14 mars 2009
Il faut une participation en masse de Wallons souverainistes pour rééquilibrer la balance qui penche trop souvent vers le rattachisme.
14 mars 2009
Nous délirons tous monsieur Poulin. Nous sommes dépassés
par les événements et nous acceptons mal notre sentiment
d'impuissance. Mais comme dans la chanson Le petit bonheur
de Félix Leclerc, il nous reste enfin la vie.
Il nous reste également nos principes de stratégie d'État.
JRMS
13 mars 2009
@ Christian Montmarquette
Une violence n'en excuse une autre que pour les sophistes. Ou bien on est pour, ou bien on est contre. Si on est contre, par exemple parce que n'existent pas ici les conditions de la lutte armée, on est donc contre toutes violences ou menaces de violence. Ce qui permet de dénoncer la violence de ce qui s'exerce contre le peuple, y compris la violence économique. POINT.
Et il faut faire la distinction entre violence et violence.
Force brutale exercée contre qqn. Des actes de violence. La violence conjugale, familiale. La violence verbale. La violence physique. La violence psychologique, morale. User de violence. Employer la violence.
Brutalité du caractère de qqn, emportement dans ses propos, dans sa conduite. La violence d’un éditorialiste.
Violences : actes de violence.
Haut degré d’intensité d’un sentiment. La violence de son amour. La violence des passions, des désirs.
Force brutale d’un phénomène naturel. La violence du vent, de l’orage.
Ici, il faut donc clarifier les choses. On parle de bannir ou pas la violence physique de notre lutte démocratique et pacifiste malgré l'intensité brutale des forces qui s'exercent contre lui.
Quant à la violence de la situation que nous subissons, quant à la violence autre que physique déployée par un système, par des gestes, des politiques, des paroles, toutes ces violences justifient ou pas le recours à la réplique violente physique par une lutte armée, que ce soit en utilisant des pierres ou des bouteilles... ou une allumette. Si l'intensité brutale des conditions économiques, ou autres, justifient l'emploi de la violence physique, justifient l'utilisation d'armes capables de blesser, de détruire ou de tuer, c'est une chose. Si cela ne la justifie pas, pour toutes sortes de raisons différentes, y compris le fait que telles répliques ne pourront que provoquer une réplique d'aussi forte intensité, qui sera susceptible de provoquer une surenchère qui ne nous aidera en rien... Si cela la justifie, parce que l'on est prêt à prendre la maquis, à être blessé ou tué, à être fait prisonnier, à être arrêté et objet d'accusations, etc., parce que l'on pense à tort ou à raison que cela pourra faire progresser l'avancement de la cause du peuple démocratique et souverain du Québec, c'est autre chose.
Mais il faut être clair dans un cas comme dans l'autre. Moi c'est clair, je suis contre la violence et les menaces de violence d'où qu'elles viennent... N'existent pas ici les conditions nécessaire à la lutte armée. POINT.
Ne reste donc que la lutte démocratique et pacifiste, toutes véhémences, impétuosités admises hors la violence physique ou la menace de violence ou de brutalité physique.
Et je ne fais pas campagne, je dis simplement ce que je pense. Je réagis comme tout un chacun à ce qui se présente à moi. Cela parce que je trouve important de clarifier les choses pour le futur. Une ligne a été franchie. Il faut donc savoir où se situer par rapport à cette ligne, on est d'un côté ou on est de l'autre de cette ligne.
Ce que vous me dites, si j'ai bien compris, c'est que la violence économique justifie le fait que l'on soit en faveur, comme vous semblez l'être, d'une lutte armée contre cette violence, et qu'on ne saurait être patriote qu'en vertu de ce choix ? C'est ce que vous prônez ? C'est ce que prône Québec Solidaire ? Je ne crois pas. Si je me trompe merci de me corriger. Si je ne me trompe pas, reste donc la lutte politique, citoyenne, démocratique et pacifiste. Dont le fait de dénoncer toute violence, à commencer par celle que vous décrivez, et dénoncer la séduction de la violence physique ou la menace de la violence physique, d'où qu'elle vienne y compris quand elle vient de notre propre camp.
Et, vous, vous faites campagne ? Vous faites campagne pour quoi ?
Nous avons l'occasion de clarifier les choses pour l'avenir, cela heureusement dans un contexte où rien de fâcheux n'est survenu. C'est le moment idéal pour le faire. Il ne faut pas attendre que les choses surviennent dans le feu de l'action. S'il faut s'attendre à ce que d'aucuns décident unilatéralement de nous embarquer dans une lutte armée, faudrait savoir. Je souhaite que ce ne soit pas le cas. Mais si c'est le cas, autant s'y préparer. Si c'est le cas, d'aucuns voudront appuyer la lutte armée, d'autres pas. Ce qui sera à nouveau un facteur de division de nos forces, une diversion de l'attention à porter à ce qui doit nous mobiliser solidairement, à savoir, une lutte clairement démocratique et pacifiste.
Nous avons tout intérêt à clarifier les choses maintenant. Le refus de la clarté en dit déjà assez long sur ce que d'aucuns pensent mais n'osent proclamer justement parce qu'ils ne sont pas prêts à assumer. Pour assumer la lutte armée, il faut d'abord que les conditions propices existent et elles n'existent pas ici, pour une foule de raisons systémiques, historiques, géopolitiques, stratégiques organisationnelles, financières, politiques, culturelles et sociétales. Ensuite il faut être prêt à assumer les conséquences. Manifestement ce n'est pas le cas. Il faut renoncer en ce cas à la séduction de la romantique « guerre » de libération, pour embrasser plutôt sans réserve la rigueur de la lutte démocratique et pacifiste, nous avons du pain sur la planche et aucun raccourci ne pourra nous épargner aucune tâche à cet égard. À commencer par être clair à cet égard et resserrer les rangs de manière solidaire et unie.
Un peuple uni jamais sera vaincu.
Cela commence par l'union des forces souverainistes toutes véhémences admises hors la violence physique. C'est mon humble avis. Et, nous avons beaucoup de travail à faire à cet égard. Tous et toutes sommes chacun individuellement et collectivement responsables à tous ces égards. C'est maintenant qu'il faut délimiter les limites des glissements progressifs qui pourraient entraîner une lutte versant dans la violence physique ou ne serait-ce que la menace de violence physique. Les récents événements démontrent que la retraite des canadianisateurs peut être le résultat d'un tollé général tout ce qu'il y a de pacifique, que ce soit dans dans le cas des artistes contre la Art-Peur, dans le cas de la CCBN, ou dans le cas de la mauvaise administration de Jean Charest en ce qui concerne la CDPQ. Les Québécois n'ont jamais endossé ni approuvé l'État du Canada qui s'impose d'autorité et de force sans s'être jamais nommément soumis aux voix du peuple. Toute l'énergie qu'il développe pour faire oublier ce fait se heurte à un mur. Celui qui refuse l'État actuel d'un Canada unilatéral d'un statu quo de blocage.
13 mars 2009
Je vous suis parfaitement sur la distinction que vous faite entre la violence et la véhémence.
Mais il est une violence toute aussi physique et encore plus vicieuse, hypocrite, agressive, destructrice, même si elle semble à première vue moins spectaculaire qu’une bouteille lancée qu’est la « violence économique ».
Et cette violence, aussi réelle qu’un coup de poing, a effets encore plus dévastateurs, en continu et à long terme, c’est Madame Marois et tout le PQ lui-même qui ne l’ont que trop maintes fois infligée aux plus vulnérables de notre société.
Tant et tellement, que cela a même donné lieu à des efforts titanesques sur plus de 10 ans, pour donner naissance à notre nouveau parti de gauche qu’est Québec solidaire.
Dans de telles circonstances et avec un tel bilan cher Luc, vous qui vous considérez comme non-violent, à un point tel, que vous en faites actuellement campagne. Je me demande comment vous faites pour continuer d’appuyer un parti qui :
A coupé les médicaments à l’aide sociale, maintenu les boubous macoutes, atteint son déficit zéro sur le dos des démunis, désindexé des prestations d’aide sociale et n’a jamais consenti un revenu suffisant aux plus pauvres de notre société…
Car si ça, ce n’est pas de la violence, je ne sais franchement pas vraiment pas ce que c’est...
Ce concept de « violence économique » est tellement véridique, que lorsque des pays, pour toutes sortes de raisons, préfèrent de ne pas entrer en guerre, on la remplace par des blocus économiques en appauvrissant les populations.
Il m'arrive de me dire qu'il ne faut sûrement pas être trop cassé pour se payer le luxe d'une telle priorité à la souveraineté...
«La liberté ne procède pas de la seule ratification d'une entente constitutionnelle intervenue entre deux États, mais de la libération du peuple de l'oppression économique et de la violence de la pauvreté».
« Nul ne peut se prétendre patriote s’il laisse un seul des siens dans la misère.»
13 mars 2009
@ M. L. P.
Je répète, vous n'avez pas écrit « ceusses », c'est pourquoi ne ne l'ai pas mis entre les parenthèses qui vous citaient... vous n'avez pas besoin de lunettes...
NON pas, jusqu'à il y a ± moins de dix ans, les glaciers ne reculaient pas... ils étaient stationnaires. Or leur fonte est palpable, mesurable. Dire que l'activité humaine n'a rien à voir avec ce phénomène « naturel », est bien se ranger du côté de Bush et ce ceux qu'il défend quand il prétend que les écologistes ont tort d'y voir le résultat de l'activité humaine.
« Le calculs de écologistes sont théoriques et invérifiables. »
Faux. La fonte des glaciers est mesurable, plusieurs autres mesures sont vérifiables, trou dans la couche d'ozone, etc. Ce qui ne l'est pas, c'est ce que cela pourra engendrer en terme de catastrophes planétaires, et surtout, quand aura été franchi le point de non retour.
Et, oui, la science n'explique pas tout, oui la science repose sur des théories à valider. Par contre un certain nombre de choses sont expliquées par la science, des lois de la physiques, de la chimies, de la biologies sont admises, parce que vérifiées « scientifiquement » d'autre sont toujours sous théories. Certes, même les lois admises et prouvées scientifiquement, peuvent être par la suite invalidées. Le principe de précaution que vous admettez doit donc, sous réserve de distingué ce qui est ou pas scientifique, indique que l'activité humaine a à voir avec un réchauffement de la planète dont la fonte des glaciers aux pôles et dans les montagnes sont l'un des indices probants. Le principe de précaution indique donc bien qu'il nous faut transformer cette activité humaine pour stopper son emprunte écosystémique néfaste. Si jamais le réchauffement n'est pas dû à l'activité humaine, si elle n'a rien à y voir, si elle ne contribue pas à son accélération éventuellement catastrophique à plusieurs égards, il sera toujours temps de retourner à l'âge du charbon, histoire de vider la terre de charbon...
Et, oui, les écologistes sont encore optimistes. Ils pensent que nous pouvons encore renverser la vapeur et trouver ce qu'il faut inventer pour stopper le processus, si tant est que nous y soyons pour quelque chose, comme la science actuelle nous montre que les probabilités à cet égard sont accablantes. OUI, le principe de précaution vaut aussi pour les théories scientifiques, qu'elles qu'elles soient, y compris celles qui disent que l'activité humaine n'y est pour rien...
Le fait que nous avons déjà cru que le terrer était plate ne relevait pas de la science, du moins pas d'une science capable de vérifier ses théories pour les valider par des expériences valides. Il ne faut pas mélanger de telles croyances avec le fait que nous pouvons maintenant vérifier le fait que la terre n'est pas plate...
Personne n'a vécu de galciation, mais les carottes et autres forages nous permettent de le déduire et prouver... Nous pouvons donc mesurer précisément un certain nombre de choses, ce que nous ne pouvons encore préciser, c'est ce qui se passe dans le temps présent et très récent... effectivement les variations observées peuvent être cycliques... et oui, l'industrialisation en terme d'espace temps est l'équivalent d'une fraction de seconde en terme d'heure d'une journée en ce qui concerne l'âge de la vie sur terre... dans 25 ou 30 ans nous en saurons davantage... Mais en attendant, le principe de précaution exige de ne pas attendre jusque là avant de réagir, parce qu'il pourrait être trop tard... Simple bon sens...
Celui des artistes me semble bien être de ceux-là... une précaution... et... il sera toujours temps de les harnacher nos rivières, elles ne disparaîtront pas... le charbon non plus.
D'autant que nous pourrions entretemps être de ces pays développés qui sont les chefs de file d'une société sophistiquée capable de grandes innovations techniques, technologiques et sociétales qui la font capable de consommer moins avec plus de confort et d'efficacité, moins de pollutions et d'effets pervers sur la santé et la sécurité de ses citoyens. Ça c'est du vrai développement, économique, sociétal, culturel ( artistique, éducationnel, technologique, technique, scientifique ) et politique qui nous transporte de la marge des pays fournisseurs de matières ou d'énergies premières, au sommet, en concurrence avec les nations les plus développées de la planète. Pour peu que nous nous servions d'Hydro Québec comme levier de développement collectif du Québec au lieu de vendre au privé notre énergie éolienne... au lieu de faire comme la CDPQ qui a décidé de cesser d'investir au Québec... Tout cela se tient... Déboires de la CDPQ et faillite du moteur roue et démission collective à l'égard de notre énergie éolienne... La Romaine est le symbole même de notre démission collective qui nous fait vendre du fer à .01$ la tonne... C'est la grande noirceur Duplessiste qui est de retour... Charest aidant ! Rabaska compris !
13 mars 2009
Il y a de quoi fulminer avec ces biens pensants d'un mondialisme ouvert d'esprit d'un côté et d'inconscients québécois de l'autre qui refusent même de se sentir concernés par la situation à la Caisse de dépôt. Entendons-nous, les États-Nations soumis aux intérêts des grands financiers de ce monde n'existe pas dans l'esprit des québécois. Toutes tentatives d'explication en ce sens virent en émois revanchards. Genre: ahh, mais là là, tu comprends pas, de toute façon ça nous touche tu tant que ça. Je leur souhaite une seule chose à ces québécois: la volée de leur vie. Une criss de bonne dont ils vont se rappeler. Un choc impensable là où ça fait mal: dans la sacoche. Qu'ils perdent leur emploi, que leurs entreprises ferment, qu'ils fassent faillites et qu'ils ne mangent plus. Là peut-être ils comprendront.
Oui vous avez raison M.Sauvé, les québécois n'ont pas assez souffert!
13 mars 2009
Comme il fallait s'y attendre, un réplique très articulée est venue... sûrement piloté par ceux qui pilotent l'affaire... Un travail précis et « professionnel »
Soit dit en passant... les supposés « opposants » ne s'opposent pas « à la tenue » du Taureau rouge crache glace ... Ils veulent subir moins d'inconvénients, moins longtemps, et pas tous les ans, et proposent de tenir l'événement sur différents circuits, ce qui pourrait ajouter à l'événement.
Mais on préfère encore déformer le message pour mieux le discréditer, cela abusivement et faussement...
_________________________________________
Le Soleil-Carrefour-2009 03 12
Côté marketing, un «F» comme note
(À Sylvain Sauvé, auteur «Les vrais tueurs du Red Bull» Site Web Le Soleil, 10 mars 2009 dans Carrefour) - Grâce au fait que nous vivons dans une démocratie, votre voix a pu être entendue (lue). Votre opinion qui qualifie la radio de poubelle n'est justement qu'une opinion que je pourrais à mon tour qualifier d'opinion poubelle, tout comme celle des résidants du Vieux-Québec qui s'opposent à la tenue du Red Bull Crashed Ice, car je vous rappelle que les propos tenus sur les ondes des stations représentent aussi l'opinion d'une majorité de gens dans le cas qui nous intéresse. Mais là n'est pas la question; côté marketing, je vous donne un «F» comme note, que vous soyez profane ou professionnel en la matière.
Voici quatre précisions concernant vos points:
- La controverse dont vous parlez n'en est pas une; il s'agit de la réplique d'un groupe majoritaire qui ne partage pas l'opinion des opposants au Crashed Ice et, qui plus est, ces derniers, en agissant ainsi, risquent de créer un précédent qui pourrait amener une seule personne à avoir le pouvoir de tuer dans l'oeuf toute initiative d'événement populaire tenu à Québec (le Moulin à images semble maintenant aussi menacé). Va pour les retombées économiques, la démocratie et la notoriété de la ville!
- L'image de l'entreprise est intouchée; en tenant ces propos, vous insultez l'intelligence de ceux et celles qui suivent cet épisode. En aucun temps un représentant de la compagnie Red Bull n'a endossé qui ou quoi que ce soit, sinon de continuer à dire qu'ils aimeraient bien pouvoir présenter le crashed ice à nouveau à Québec en 2010, et ce, en évitant la controverse. Ils ont également apprécié l'appui des nombreux acheteurs de leur produit (évidemment) lors de la journée baptisée «Red boule de neige», le 6 mars dernier.
- Tenir le crashed ice à Québec n'a rien à voir avec le désir de développer ce même marché; si la compagnie visait le plus grand bassin de population au Québec, question de vendre le maximum de cannettes, elle le tiendrait à Montréal. La raison en est que les responsables de l'événement à Québec ont bien su vendre la beauté de la Vieille Capitale. De plus, l'événement télévisé mousse aussi le produit; qu'il soit télévisé de Séoul ou de Québec ne change rien sinon que la ville et ce qu'elle a à offrir n'en tire qu'une meilleure visibilité.
- Enfin, vous dites que Red Bull n'a plus besoin d'investir dans de coûteuses activités suite aux agissements du maire Labeaume et de la radio «poubelle». Avez-vous déjà vu une compagnie ne faire qu'une seule campagne de pub ou activité promotionelle pour ensuite compter sur celle-ci afin de continuer à vendre leur produit pendant des années? Si ça existait, les médias seraient tous fermés. (Je me demande bien pourquoi les ventes de Labatt 50 ont baissé, pourtant, Olivier Guimond avait fait une excellente campagne en 1970!) Red Bull doit continuer de tenir des événements tel que le crashed ice de façon continue afin de maintenir son image en vie et bien présente dans la tête d'acheteurs potentiels.
Rappelez-moi de ne jamais vous engager comme consultant en publicité vous! À bon entendeur, salut!
Marc Laliberté, Québec
13 mars 2009
Disons cela autrement : tous les gouvernements sont du mensonge, tous les partis qui aspirent à gouverner doivent s’ombrager.
Il n’y a que les impuissants pour clamer haut et fort que les procédés de toujours ne seront pas leurs procédés. Moyen comme un autre pour donner à ses échecs répétés un verni de Vertu, mais expédient toujours.
Les hommes sont des hommes. On fait de la politique ou on n’en fait pas.
--
Celui qui apporte le salut n’est-il pas le sauveur, par définition ?
13 mars 2009
Claude García : un autre fabriquant de misère qui opère en utilisant des ingénieries financières perverses afin de diminuer au maximum le pouvoir économique et financier des Canadiens-français et par conséquent capitaliser des sociétés pro-fédéralistes tel qu’exposé dans mon précédent article.
13 mars 2009
Je veux clarifier mon texte en ajoutant une ¨situation minoritaire¨ et il s'agit de madame David du QS.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!