Ne dites plus de stupidités
28 mai 2009
J'ajouterais que votre conception du vouloir collectif est rassérénant, inspirant.
« Est-ce que Madame Marois va "vouloir" ?
Fausse question et faux problème. Elle va vouloir si nous voulons en premier lieu. Si nous hésitons, elle ne va rien faire.
Un Chef d’État n’agit pas par arbitraire mais par consensus. »
J'abonde.
Cela nous change de toutes ces personnes qui attendent un Messie. UN Messie, dis-je bien... Or, comme vous dites et je me tue à le dire, et vous le dites mieux que moi, le, la cheffe, n'est pas déterminant, et c'est un « faux problème ». Une cheffe ou « un Chef d’État n’agit pas par arbitraire mais par consensus. »
Je vois là tout ce qu'il faut pour nous sortir du marasme. « Elle fera ce que nous voulons tous et elle le fera bien car elle est une excellente technocrate et bureaucrate. »
Or ce que nous voulons tous, c'est tout sauf le Canada actuel. Suffit qu'on nous pose la question. C'est la première étape, exprimer de cette VOLONTÉ collective en ACTE, comme vous dites si bien.
Ensuite, s'il nous faut prendre de surcroit comme vous dites « le consensus général » qui nous fait être « en position de force », exige que nous prenions dès lors le contrôle :
- de nos impôts et taxes ;
- de tous les moyens de communications ;
Et bien on le fera... mais on pourra aussi simplement sans cela, parce que la VOLONTÉ en ACTE est justement plus forte que tout, mettre aux voix la Constitution que NOUS VOULONS, NOUS, le peuple démocratique, pacifiste et souverain du Québec.
Quel est le problème ?
Moi, ce que je vois c'est que du positif grâce à votre apport très encourageant et discordant dans le discours ambiant qui ne semble compter que sur l'action du PQ et de sa cheffe, comme si tout le reste ne comptait pas, comme si nous y étions pour rien dans les actes à poser pour que notre VOLONTÉ EN ACTE se manifeste. Livré aux récriminations improductive et à l'attente d'un chef qui ferait la job à notre place...