Ignatieff et gouvernance souverainiste
5 juin 2009
M. Tellier, la citation de l'article du Devoir rajoute de l'huile sur le feu. Cet article est plus élaboré que les autres. Pour moi, c'est fini, il n'y a plus rien à attendre du Fédéral, et une preuve supplémentaire vient de sortir de la bouche du chef du PLC et du futur Premier ministre du Canada. La gouvernance souverainiste n'est que le travail normal de tout député provincial, qu'il soit souverainiste ou fédéraliste et elle ne donne presque rien, et ce on le sait par expérience. Il ne devrait plus y avoir d'équivoque pour personne, seule la création du pays du Québec compte maintenant.
M. Michel G., qu'est-ce qui vous fait dire que la gouvernance souverainiste n'est plus dans les plans du P.Q. et que ce n'était qu'un pétard mouillé? J'imagine que vous vouliez dire qu'elle ne devrait plus être dans les plans du P.Q. suite à la déclaration de M. Ignatieff. Car à ce que je sache, le P.Q. n'a pas démenti la nouvelle de M. Lessard.
M. Archambault, les termes d'un programme de souveraineté, peuvent inclure une foule d'idées avancées par vous et bien d'autres personnes, il ne suffirait que de les regrouper. Chose certaine, nous avons atteint le point où la résistance et l'affirmation devront être des principes à respecter dans l'élaboration de nos plans mais aussi dans le choix de nos outils. Car nous sommes en conflit et ces outils pourront ou non être listées dans un code de résistance et d'affirmation. Ces outils devront inclure le refus d'utiliser l'anglais pour quelques raisons que ce soit, à l'exception du service à la clientèle, et la dénonciation colorée et publique de tout ce qui est Canada et fédéraliste.
Daniel Roy, C.A.