Imposer la NORMALITÉ LINGUISTIQUE, qui nous en blâmerait?
17 juillet 2009
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Et si elle ne le peut pas, ce serait une bonne occasion d'appeler le peuple souverain à invalider tout État ne s'étant pas nommément soumis aux voix du peuple souverain du Québec pour que soit légitimement reconnue la légalité légitime de leur Constitution sur son territoire national du Québec. Ce qui, tant et aussi longtemps que le Canada n'aura pas obtenu le OUI qui le validerait il pourra être tenu pour illégitime et invalide sur le territoire du Québec, cela, à la face du monde.
Ainsi, l'Assemblée nationale aurait un pouvoir réel pour forcer Ottawa à se soumettre aux voix du peuple. Son refus d'adhérer à la Constitution du Canada de 1982 se transformerait en répudiation et invalidation de la Constitution de 1982, plus besoin de recours à la clause dérogatoire puisque que le peuple souverain du Québec l'aura autorisée à déroger en tout, à tel État invalide et telle Constitution d'un État à la légalité invalide et illégitime, puisque déclaré illégitime et invalide nommément par l'Autorité Suprême en démocratie, à savoir, sur son territoire national, les voix du peuple souverain du Québec.
Il pourra même exiger que les institutions fédérales sur le territoire du Québec cessent d'être bilingues... ET si le Canada résiste, il faudra qu'il soumettent nommément aux voix des Québécois(es) l'actuelle Constitution qui seule ainsi validé démocratiquement par le peuple, pourrait forcer l'État du Québec et son Assemblée nationale à retraiter.
Jamais le Canada ne pourra obtenir tel OUI. Les Québécois veulent majoritairement un État unilingue français, seul moyen de protéger la diversité culturelle de l'Humanité en Amérique du Nord et qui fait du français la langue officielle de l'État du peuple souverain du Québec.