Le coût d'entretien des nouveaux immigrants du tiers-monde en augmentation constante
14 août 2015
il n'y en a pas de message qui peut être dit ....ça parle tout seul non?
Par Bernard Simon
Relecture de presse et déclaration du ministre
Par Jacques Rivet
Par Anna Morgan
Rebecca Cook Dube
Résumé par Germain Bataille
Pierre Leclerc : Membre de Développement et Paix
Un livre sur le scandale des commandites :
Par Rollande Parent
14 août 2015
il n'y en a pas de message qui peut être dit ....ça parle tout seul non?
13 août 2015
Merci de nous éclairer M. Marineau....Vous avez mis le doigt dessus, la FTQ gère des milliers de milliards de dollars des Québécois et elle n'a pas aucune reconnaissance...
Avez vous remarquez que nos syndicats ne défendent plus les travailleurs Québécois depuis quelques années... La Discrimination en emploi, une loi très Raciste et très Discriminante envers les Québécois, la FTQ et la CSN, n'en parlent pas...
Il y a des travailleurs Québécois qui paient des cotisations et qui disent tu va les voir, mais ta cause n'est JAMAIS assez pas bonne, etc...
Ce que j'ai découvert c'est que nos syndicats sont du coté du patronat maintenant, car ils sont pour l'Immigration Massive et incontrolée...
Pourquoi?.... Une question de cotisations
Un extrait; Pourquoi les syndicats auraient-ils intérêt à ce que le gouvernement s’enfonce, la tête baissée, dans les politiques d’immigration massive? C’est bien simple. Pour eux, l’immigration est avant tout une source d’éventuelles cotisations supplémentaires. En reprenant la formule utilisée par Éric Duhaime pour estimer le 1 milliard de dollars en cotisations perçues dans une année (cotisation mensuelle moyenne de 65$ x douze mois x nombre de syndiqués), nous pouvons à notre tour estimer, du moins en partie, ce que l’immigration rapporte aux syndicats.
Syndicats et immigration : le chapitre interdit;
http://quebecoisdesouche.info/fqs-syndicats-et-immigration-le-chapitre-interdit/
Vers une nouvelle politique québécoise en matière d’immigration?
Allons nous digérer le prémâché de la ministre Weil?
En Janvier 2015, Le gouvernement a annoncé la tenue d’une consultation publique en commission parlementaire sur une nouvelle politique québécoise en matière d’immigration, de diversité et d’inclusion.
Même si le ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles est maintenant rebaptisé le ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion, la tactique libérale de Kathleen Weil reste la même.
À tous les 4 ans, le gouvernement organise un simulacre de démocratie représentative pour confirmer son orientation après avoir entendu, en audiences, les principaux acteurs de l’immigration québécoise.
Dans « Syndicats et immigration, le chapitre interdit », nous avions justement démontré comment ces consultations publiques sont en fait une sinistre farce où les plus grandes puissances financières du Québec, c’est-à-dire les syndicats et les corporations patronales, plaident une hausse du taux d’immigration pour qu’augmente leur nombre de cotisations. Nous citions en exemple le gigantesque poids que représente la CSN dans la balance immigrationiste:
«La CSN, en tant qu’acteur important sur le marché du travail, continue de plaider en faveur de la venue de personnes immigrantes sur le territoire du Québec. L’approche proposée est que la mise en place et le maintien de mesures existantes assurent l’intégration en emploi des personnes issues de l’immigration…»
«…ce syndicat reçoit donc plus ou moins 41,3 millions en cotisations syndicales d’immigrants annuellement. La même année, le ministère de l’Immigration et des Communautés culturelles (MICC) injectait 42,3 millions de son budget de dépenses annuelles dans ses services d’intégration.»
http://quebecoisdesouche.info/vers-une-nouvelle-politique-quebecoise-en-matiere-dimmigration/
13 août 2015
La précision de 6 h 54 de monsieur Meunier n'apparaissait pas lorsque j'ai expédié mon dernier commentaire.
L'ayant lu, je suis heureux d'apprendre que les mots «Québécois et Québécoises d'origine et d'adoption» voulaient dire « très clairement» les citoyens et les citoyennes du Québec, ce qui ne m'était pas apparu évident.
L'étant, il revient à ces citoyens et citoyennes, selon les termes de monsieur Meunier, de clamer, à l'élection fédérale, leur volonté de prendre leur destinée en main et de créer ultérieurement le pays du Québec instituant alors un nouvel État national créé et défini démocratiquement à l'image du peuple qui l'érigera, fondant du coup la nation québécoise comme une nation de citoyens et de citoyennes du Québec sur la scène internationale.
Sachez, monsieur Meunier, que je partage vos vues et que je m'associe au ralliement que vous souhaitez. Je me permets toutefois de vous suggérer l'emploi des concepts de citoyens et de citoyennes plutôt que d'autres termes, moins évidents, pour exposer votre point de vue, au total en concordance avec le mien.
13 août 2015
Très instructif votre texte ! Ça va aussi dans le sens qu'a déjà dit M. J.R.M. Sauvé qui a dit que les anglo-écossais et anglo-irlandais avaient été les adversaires des Québécois et non les vrais anglais d'Angleterre excepté pour la conquête anglaise de la Nouvelle-France.
13 août 2015
Monsieur Michel J Dion dit que Sylvain Meunier a été clair en écrivant «Tous ensemble nous parviendrons à façonner un nouveau pays à notre image, Québécois et Québécoises, d’origine et d’adoption». Soit. Plus loin, il invite à clamer «notre volonté de prendre notre destinée en main, signifiant, lors de l’élection en cours, «notre désir d’avoir notre pays à nous, à l’image du peuple qui l’habite, en respect de la nation québécoise».
Selon vous, par ces propos, «M. Meunier ne fait aucune distinction». En fait c’est moi qui extrapole dans le but de «biaiser les intentions du texte de Sylvain Meunier». Ce qui me vaut une charge élégante me qualifiant d’«une bassesse exemplaire» , «d’étroitesse intellectuelle», d’avoir imaginer de la «xénophobie» et d’être tombé dans la «démagogie». Une charge vraiment élégante.
Il revient, je pense, à monsieur Meunier de dire que les «Québécois et les Québécoises d’origine et d’adoption» ne réfèrent pas aux «eux-sans-histoire» de Durham, qui qualifia ainsi les opposants aux «nous» de la «race britannique» dans le but de transformer le combat politique du Parti patriote en un affrontement entre une peuple de descendants de Français aux idées vétustes et une race supérieure.
Louis-Joseph Papineau y vit une insulte outrancière, car le Parti patriote menait une bataille politique à laquelle participaient des Britanniques, des Américains et des Irlandais, tous promoteurs d’une réforme majeure de l’organisation politique. D’autres notables du Bas-Canada réagirent autrement, désireux d’accoler des lettres de noblesse à ces «eux» dépréciés par Durham.
François-Xavier Garneau en tête, ils valorisèrent ces «eux-sans-histoire» pour lesquels ils construisirent un «nous» pour assurer leur pérennité et la leur après la défaite d’Odelltown et la création de l’Union. Le clergé catholique a renchéri. Mgr Bourget, jadis ouvert aux 92 résolutions, s’y activa. Dans leur sillage, de ce «eux» de Durham fut imaginée une nation, hier canadienne-française, aujourd’hui québécoise. Ses définisseur actuels, dont Jacques Beauchemin, la disent le produit des descendants des ressortissants français et des gens qu’ils ont assimilés.
Alors, quand je lis «Québécois et Québécoises, d’origine et d’adoption», j’y vois, par déformation puisque c’est un thème central de mes recherches sur les «nations infranationales» et les États nationaux existants, une analogie avec les thèses de Jacques Beauchemin dont la particularité est d’inverser le «eux» en un «nous» défini en «nation» sur la base des origines et de l’histoire.
En cela, je dis seulement que Monsieur Meunier reprend, en l’inversant, la dichotomie à la base de l’analyse de Durham et fait du projet du pays du Québec l’affaire d’une «nation» infranationale plutôt que celle des citoyens et des citoyennes du Québec qui entendent instituer un ordre politique différent de celui du Canada.
Vouloir instituer démocratiquement un nouvel ordre politique, différent de celui du Canada, implique une refonte du régime politique, un réalignement de notre économie, des mesures sociales et environnementales qui sont valorisées au Québec, un révision des relations revues avec les Premières nations, une présence sur la scène internationale, une armée, une monnaie, et cetera.
Puis, avancer que ce ne peut être que l’affaire de citoyens égaux, c’est fonder démocratiquement cette institution. Procéder ainsi, c’est sûrement l’approche de M. Meunier, qui est une approche qui n’enlève en rien les affiliations identitaires qui particularisent, les citoyens et les citoyennes du Québec, mais reconnaît que ce pays sera construit par les citoyens et les citoyennes qui auront décider de le créer et d’instituer des règles pour qu’ils en soient les définisseurs.
À ce que je sache, les «Québécois et les Québécoises d’origine et d’adoption», en votant, s’expriment en citoyens et citoyennes, comme tous ceux et celles qui voteront en faveur de la création du pays du Québec. Dès lors, la suite ne peut appartenir qu’à la majorité exprimée par le choix des citoyens et des citoyennes.
Cela étant, il me semble opportun, sans nier les vécus qui particularisent les gens qui vivent au Québec et y ont un droit de vote, de définir politiquement le projet de pays comme une aventure qu’entendent partager les acteurs sociaux qui opteront pour l’indépendance du Québec.
12 août 2015
Quand je lie dans votre texte «tous ensemble» je pense à tous les Québécois et les Québécoises qui vivent au Québec et qui se battent pour y créer un pays.
Or, ce n'est pas ce que vous dites. Vous pensez au «nous» de Beauchemin et vous invitez ceux et celles qu'il imagine en faire partie de se rallier pour faire élire le BQ, puis de se mettre en marche vers l'indépendance.
Ce faisant, vous pensez dans les termes de Lord Durham (lire mon texte qui suit le vôtre) qui transforma un combat politique en une affaire ethno-culturelle en inversant seulement l'ordre de ses cibles.
Je voterai BQ par choix politique indépendamment de mes autres identités parce qu'en politique l'égalité des citoyens prime, parce que je suis pour l'indépendance du Québec, ce à quoi s'opposent tous les autres partis à la Chambre des communes.
Je voterai aussi pour l'indépendance du Québec, par plébiscite ou autrement, comme citoyen désireux d'implanter un ordre politique dans lequel le peuple, soit l'ensemble des citoyens du pays du Québec, exerce le contrôle, comme le souhaite François Richard, sur les lois votées à l'Assemblée nationale, ce qui implique de changer de régime.
Par ailleurs, je ne voterai jamais pour un parti qui prône de faire du Québec un pays aligné sur un groupe ethno-culturel au mépris de l'égalité des citoyennes et des citoyens.
12 août 2015
Il est faux de prétendre que le DGEQ est garant de l'intégrité des processus démocratique. Mais il nécessaire que toute l’institution se trouve remise en question.
Le DGEQ explique dans ce message Facebook quel est son rôle au sein du Conseil électoral.
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=307962729343949&set=pb.100003906724859.-2207520000.1439377671.&type=3&theater
11 août 2015
Ceux qui nous conseillent de voter stratégique sont-ils les mêmes qui ont voté stratégiquement pour s'opposer à Louise Harel contre Gérald Tremblay lors de l'élection à la mairie de Montréal en 2009, ou encore ceux qui ont voté stratégiquement contre le PQ, en favorisant les Libéraux en 2014 ?
Un vote stratégique favorisant le NPD ou les Libéraux contre Harper, est une excuse pour justifier de ne pas voter pour le Bloc. De toutes façons, c'est devenu de plus en plus difficile de distinguer entre les Libéraux et le NPD : du pareil au même, ou du même au pareil, selon le point de vue qu'on prend.
D'ailleurs, Madame May n'a pas raté l'occasion, lors du débat de la semaine dernière, de rappeler le positionnement douteux du NPD sur le plan international : son appui aveugle à l'égard d'Israël, le dégât qu'on a laissé derrière en appuyant la bande de fanatiques qui ont pris le pouvoir en Lybie et qui ont par la suite fourni des armes et des guerriers à l'EI...
Ce qui est le plus à craindre, c'est un gouvernement NPD à Ottawa qui fédéraliserait encore plus le QC en alliance avec le gouvernement actuel à Québec au cours des années qui suivraient.
11 août 2015
Sans l'engagement d'instaurer une démocratie directe et participative. Je doute que le Bloc gagne plus de 13 circonscription.
11 août 2015
Pour
voter, je voterai assurément Bloc par respect pour ceux qui se depassent pour la cause..
Pour ce qui est de lever le petit doigt pour des gens qui qui n'ont aucun humanisme et aucun respect...
Terminé !
11 août 2015
Marie Hélène:
C'est toujours avec passion que je lis vos articles ,et l'aventure de
l'Hermione ne déroge pas à votre tradition .La période estivale n'était pas
favorable au suivi de cet évènement.
.J'ai suivi cette expédition de son départ à son arrivée à New-Port
puis celle de New-York le 2 juillet 2015,dont l'accueil fut inattendu
et extraordinaire .La fête nationale américaine deux jours plus tard parachevait
les cérémonies ,et rendait hommage à Lafayette qui avait permis et favorisé
l'indépendance "des amériques ".le voyage ne fut pas de tout repos ,et ,il faut
espérer qu'un documentaire a été réalisé à bord ,et,sera diffusé.
le retour triomphal en ce 10 août à Brest est l'aboutissement de cette grande
aventure.Il serait souhaitable que l'Hermione fasse un voyage le long de nos côtes
française jusqu' à la Méditerranée pour que l'on puisse le visiter .
Il faut saluer les constructeurs pour leur réalisation et les contributeurs qui ont
largement contribuer à l'aboutissement du projet,porté par le magasine de le mer
Thalassa.
Merci Marie-Hélène d'avoir relaté les péripéties du navire .
11 août 2015
On ne peut pas tout dire en un court article.
Entre autres, il est important de souligner que Bédard fut emprisonné en 1811 pour les thèses qu'il défendait, les dirigeants britanniques locaux étant sur un pied de guerre avec les États-Unis.
Il est encore plus important de rappeler que le Parti patriote ne revendiquait pas le gouvernement responsable à la britannique, qui octroyait la responsabilité à l'équipe ministérielle. Il voulait une Assemblée législative responsable dont la conséquence étant d'y subordonner les Conseils législatif et exécutif, faisant quasiment du gouverneur le délégué de l'Assemblée législative à Londres.
Le gouvernement responsable de l'Union s'inspira du modèle britannique, récusant le modèle populaire du Parti patriote. C'est l'application de ce modèle britanniques qu'ont fustigé les opposants au projet de Dominion of Canada de 1867, proposant même la tenue d'une consultation populaire, que refusèrent les élus de l'Union des Haut et Bas Canada. Pour ces élus, l'aval à leur projet de la Grande-Bretagne suffisait à leurs yeux de sujets soumis aux intérêts de la Grande-Bretagne.
Alors parler d'une heureuse décision, c'est parler au non des gens du Haut Canada et de leurs alliés du Bas Canada, en majorité les bureaucrates et les loyalistes opposés au projet des Patriotes.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!