Comment détourner grossièrement une anecdote... Bravo.
Vous n'avez pas le droit de vous promener nue, dans ce centre communautaire, ou dans la rue, quant à ça. Sans doute est-ce de la faute de l'Église, là encore.
Étrangement, en URSS, le nu était mal vu. Trop bourgeois. Idem pour la Chine, révolutionnaire plus encore que capitaliste. Pays non religieux, pourtant.
Serait-ce que la pudeur soit une chose universelle, qui n'a rien à voir avec le péché ?
Quand on demande à un centre communautaire de nous exposer, il faut accepter de se plier au goût de la communauté en question. C'est naturel. Accuser un atavisme catholique pour mieux calomnier l'Église, n’aura pas d’autres résultats que de vous discréditer.
À Verdun, pas de nus, c'est un péché
23 janvier 2010
Mme. Richard,
Ce texte que je viens de lire est un véritable hymne à la nature. C’est la première fois que j’ai connaissance d’un écrit aussi clair, respectueux quasi poétique sur ce corps humain que nous habitons. Quand j’ai lu dernièrement que certains esprits étroits et vinaigrés de Verdun voulaient interdire des nus artistiques sous des prétextes venus d’un autre âge, mon étonnement n’a eu d’égal que mon incrédulité. On se retrouvait subitement dans les années ’50 à l’époque de la grande noirceur, pas celle de Duplessis mais celle de notre « sainte mère l’Église » qui à l’époque, cachait sous le manteau de la pudibonderie verdunnesque tous ceux de ses membres qui s’adonnaient aux activités de Sodome. Ces pudibonds de Verdun ne devraient pas aller à Rome et surtout pas à la chapelle Sixtine car là, particulièrement sur les plafonds, se prélassent tous les nus que l’on pourrait imaginer.
Hélas, je me souviens où, préadolescent, en pleine montée des hormones, nous, de ma génération, avions une crainte morbide de s’endormir le soir car nous craignions que si nous mourrions pendant notre sommeil, le diable nous entraînerait avec lui dans les flammes de l’enfer pour s’être permis de petits solos de guitare en empesant honteusement les draps de lit.
J’espère qu’une certaine intelligentsia de Verdun ne va pas laisser passer ça. Si les beautés du corps humain étaient moins estampillées de déni et de satanisation, les sociétés dites modernes auraient peut-être beaucoup moins de détraqués sexuels et moins de violences à ce sujet. Les statistiques disent entre autre que les clubs naturistes sont les endroits où les déviances sont les plus rares.
Mme. Andréa Richard a osé un texte sur un sujet qui, à ma grande surprise, a fait ressortir les œillères des pudibonds. C’est curieux car je croyais que les œillères étaient autrefois réservées aux chevaux pour leur aider à garder le droit chemin.
Ivan Parent
De quoi vous plaignez-vous donc !
23 janvier 2010
Les politiciens, les élites, certains militants nous ont trahis et ceux qui ont voulu réagir se sont faits rabrouer de la pire des manières. Ils étaient des arriérés, des péquenots et etc...
Nous avons occulté notre identité canadienne française, notre Histoire et j'en passe. Il ne reste plus que la langue dont l'importance diminue de plus en plus.
En effet, de quoi nous plaignons-nous ?
Il y a des Québécois qui mériteraient d'être lynchés. Rien de moins.
À cause d’une France multiple et indivisible ?
23 janvier 2010
Nous savons qu'aucun pays n'y échappe. Même la France.
Ils n'ont pas de sentiments, que des intérêts.
Chanter en anglais pour les francophones?
23 janvier 2010
La génération dite X à qui on avait promis mer et monde, à qui on disait qu'ils devaient se faire instruire (s'endetter de 25 à 30 000$). Mon fils, à la grande déception de son directeur à la maîtrise, a dû renoncer à des études au doctorat en mathématiques pures parce qu'il était trop endetté.
Cette génération qui a vécu le début des réformes de l'enseignement (méthode globale en français qui les a préparés insidieusement à la globalisation et non à l'analyse (méthode analytique).
Cette génération à qui on a enseigné l'Histoire une année sur deux, à partir de la 4e année, afin de faire place à la géographie, disait-on. C'est cette génération qui a dû se taper toute l'histoire du Canada en secondaire V.
Cette génération dont les souverainistes boomers progressistes se sont bien fichés au plus haut point et dont ils se sont honteusement désintéressés répétait dans les années 80-90 : « Y a rien là; tout est relatif », sans doute pour occulter leurs angoisses et fuir la réalité.
Où sont-ils maintenant? La plupart s'étaient rangés avec l'ADQ. Depuis, où se sont-ils nichés ? Que sont-ils devenus?
Ce sont les mêmes qui chantent indifféremment et le plus souvent en anglais, à mon avis. Ceux-là même qui regardent indifféremment la télé anglaise. Ceux-là même qui ne font pour ainsi dire plus la différence entre le français et l'anglais.
Mais...y a rien là... tout est relatif...
Et ce n'est pas moi qui les condamnerai...
Et les spécialistes de l'ombre du MEQ doivent se féliciter de les entendre chanter en anglais.
De quoi vous plaignez-vous donc !
23 janvier 2010
M. Robert Chevalier de Beauchesne, vous avez presque raison sur le fond mais, il n'y a pas d'autres solutions sauf celle de demeurer dans la fédération actuelle où nous sommes minoritaires.
Dans un Québec souverain, nous serions, au moins, majoritaires M. de Beauchesne, c’est pourquoi la chose ne tente pas du tout à nos anglos.
De quoi vous plaignez-vous donc !
23 janvier 2010
« Une conscience cosmopolite et civique
Parmi les solutions qu'on peut apporter aux situations énumérées plus haut, celle qui concerne l'émergence d'une conscience cosmopolite et civique au détriment de la conscience ethnique est fondamentale. Le milieu scolaire est indubitablement le meilleur endroit où un tel projet puisse se réaliser. En plus de l'éducation civique, il faudrait mettre sur pied un programme national d'éducation interculturelle dans lequel on adopterait le métissage comme clé de lecture de l'histoire québécoise et de certaines oeuvres littéraires. Ainsi, en prenant conscience de sa culture métissée, l'élève s'ouvrirait d'autant plus facilement à l'autre qu'il saurait que celui-ci fait déjà partie de lui. Il apprendrait, dès le primaire, que la cohabitation avec les immigrants depuis un siècle et demi, avec les anglophones depuis 200 ans et avec les autochtones depuis le début de la colonie, n'aurait pu se faire pendant si longtemps sans qu'il y eût influence réciproque et métissage aussi bien culturel que biologique. »
Pour en finir avec les jérémiades des allophones
Marco Micone, écrivain
Le Devoir, 4 décembre 1995
Visa le Noir, tua le Blanc
23 janvier 2010
D'accord avec vous ici. Faudrait bien accueillir un bon nombre d'Haïtiens qui ont de l'instruction et aussi ceux qui en ont moins pour occuper des fonctions où il manque déjà de candidats.
Encore la bataille des plaines d'Abraham
23 janvier 2010
Voici un lien vous permettant d'accéder à son journal:
Soldat Sanspareil
2ème bataillon du régiment de la Sarre
Vive le Roy!
http://www.regimentdelasarre.ca
http://www.tagtele.com/videos/voir/46581
http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/08/03-rapatriement-des-armoiries-royales-de-france.qc
La crédibilité du GIEC s'effrite
22 janvier 2010
En ce qui me concerne, ce qui m'inquiète ce n'est pas le réchauffement ou le refroidissement climatique, c'est le fait que le climat est de plus en plus instable et imprévisible. Par ailleur, la qualité de l'air se détériore considérablement, les maladies respiratoires sont à la hausse, les particules fines et le smog sont de plus en plus présents.
Alors, je trouve tout à fait abérant qu'on continue de brûler du pétrole et se livrer à des guerres sanglantes pour cette ressources alors qu'on pourrait réduire notre consommation et utiliser l'électricité et les trams pour se déplacer. Voilà.
Outré par The Gazette
22 janvier 2010
Je me demande comment il se fait qu'après toutes les bavures que ce journal jaune nous a fait subir que l'édifice de la Gazette soit encore debout; parce que ailleurs dans le monde, ça l'aurait été "KABOUM" depuis longtemps.