PKP n'a peut-être pas encore dit son dernier mot
28 mai 2016
Je pense que vous n'avez pas bien compris les raisons qui ont obligé PKP à quitter la politique, monsieur Labrie. Ce n'est pas pour se consacrer à sa famille pendant une couple mois comme vous semblez le croire mais parce qu'il s'est retrouvé devant l'obligation d'être présent à sa maison de Montréal une semaine complète sur deux pour la garde partagée de ses enfants, sinon il risquait d'en perdre la garde. Il a fait son choix et on le comprend. Faire une campagne en n'étant disponible qu'une semaine sur deux ne serait pas très efficace, à mon avis.
PKP pourra quand même aider à sa manière et selon le temps dont il disposera. Il va sûrement financer l'IRAI et rien ne l'empêchera de prononcer des discours pour l'indépendance de temps en temps ou d'écrire dans ses médias.