Je suis née et élevée en Ontario. Depuis 2004, j’ai appelé le Québec chez moi, pendant que j’étudie son histoire et sa langue. Aujourd’hui, je suis bilingue et séparatiste. Parfois mes pensées peuvent sembler racistes, résister à l’Anglophone, mais pour to...
Je suis née et élevée en Ontario. Depuis 2004, j’ai appelé le Québec chez moi, pendant que j’étudie son histoire et sa langue. Aujourd’hui, je suis bilingue et séparatiste. Parfois mes pensées peuvent sembler racistes, résister à l’Anglophone, mais pour toutes mes expériences, je suis l’Anglophone et je justifie mes généralisations parce que j’ai vécu et j'ai travaillé pendant trois ans aux États-Unis. (Et la disparité entre les EU/canada/England n’est pas aussi grande que l’on voudrait croire). Je m'identifie avec le Québec, parce que bien que dilué, il est dans mon sang. Ma grand-mère était une moitié francophone et amérindienne. Elle a caché sa vraie identité pendant des années pour éviter des internats et autres préjudices sociaux. Elle a été anglicisée, mariée jeune et n'a jamais regardé derrière elle. Ma mère n’a jamais parlé le français, et le peu que j’ai appris à l’école ne dépasse pas le niveau de compréhension d’un touriste. Alors, mes études continuent et vos corrections et commentaires sont toujours les bienvenus.
english------------ I was born and raised in Ontario. Since 2004, I have called Quebec home, independently studying its history and language. Today, I am bilingual and a separatist. Sometimes my thoughts may seem racist, counter the Anglophone, but for all my experiences, I am Anglophone, and I justify my generalizations because I lived and worked for 3 years in the US. (And the disparity between the US/Canada/England is not as large as one would like to believe). Lastly, I identify with the Quebec, because albeit diluted, it’s in my blood. My grandmother was a francophone half native. She hid her true identity for years in order to avoid residential schools, and other societal prejudices. She was anglicised, married young and never looked back. My mother never spoke French, and what little I learned at school amounted to no more than a tourist’s comprehension. To this extend, my study is ongoing, and I appreciate feedback to enrich my understanding of the Quebec experience and language. And please, if you find grammatical errors in my French versions, email me your suggestions. I do my best to have a francophone verify my articles before they are published, but nobody is perfect.
La culture Anglophone c’est le commerce: pas l'art, la cuisine ou la langue, parce que sans un bénéfice prévu, il y a peu d'intérêt à continuer
Message d'une Anglo séparatiste (et bilingue)
Government Tactics; Our Manipulated Democracy
Je suis une anglophone (bilingue) séparatiste. Je veux aider le mouvement et peut-être convaincre des autres que le combat est mérité