Depuis la victoire minoritaire de Stephen Harper en 2006, le Parti libéral continue de payer cher pour ses péchés.
Mais oups. En fin d'après-midi, Radio-Canada, rapportant que le «marché semblait donner raison au BAPE», rapportait aussi que, tout à coup, selon son «entourage», les paroles du premier ministre n'auraient pas représenté sa «pensée».
Enfin, le BAPE reprend le message principal du gouvernement, soit que l'industrie ne doit pas être stoppée, mais «encadrée».
Impossible d'imaginer une autre société au monde où près de la moitié des allophones choisiraient de faire leurs études supérieures dans la langue de la minorité sans qu'on se demande comment inverser une telle tendance!
Nonobstant le mérite, ou non, de l'annonce, c'est tout de même paradoxal de voir que la seule mesure tombant sous la rubrique de la protection du français est... l'enseignement intensif de l'anglais.
André Arthur s’en tire
Lorsque la famille politique est dysfonctionnelle