Élections québécoise 2012 (13)
27 octobre 2012
Excellente perspective générale.L'oeuvre d'un jardinier politique qui connait bien les espèces et moeurs en présence. Vous m'avez beaucoup instruit monsieur Côté avec votre exposé.
Réflexion. Dans un autre ordre d'idée connexe toujours est-il, qu'on a bien mis sur pied sans problème notre propre impôt provincial, il serait donc il me semble logique dans un deuxième temps de payer l'impôt provincial existant avec la monnaie qui va avec. La piastre du Québec par exemple.
Nous pourrions fonctionner pour un temps avec deux monnaies.la présente fédérale donc le dollar, et une monnaie provinciale, la piastre. Les deux monnaies auraient à peu près la même valeur sauf que la piastre ne pourrait être soumise à aucune activitée d'usure; que ce soit une banque ou tout autre service qu'il soit public ou privé. Donc pas de taxe non plus sur la consommation transigée en piastres.
Il deviendrait donc beaucoup plus intéressant d'utiliser la piastre qui redonnerait la valeur réelle aux choses.
Exemple, un travailleur reçevrait deux payes, l'une en piastres et l'autre en dollars. La partie en dollars ne servirait qu'a rendre à César ce qui appartient à César et la partie en piastre serait dégagée de toute forme d'usure; ce qui encouragerait sa reconnaissance par le peuple qui découvrirait en même temps sa capacité naturelle inhérente de pouvoir évaluer les choses telles qu'elles sont et de les soumettre correctement à un système représentatif comme la monnaie-peuple, la piastre.
Du même coup nous pourrions régler le problème de la péréquation sans brimer les << droits >> de César qui récolterait tout l'argent qu'il envoie au Québec s'il le désire, pendant que nous on utiliserait nos piasses tranquilles.
Ce qui fait la force, de tout système monétaire c'est son acceptation morale par tous d'abord. C'est aussi la découverte de sa propre valeur et puissance.
Dès lors que les systèmes monétaires sont déjà en place avant même la naissance de toute l'humanité, personne ne se souvient du jour où on nous aurait demandés : << Acceptez-vous ce dollars? >> Ainsi il ne nous vient jamais à l'esprit de remettre en question la pertinence de ce système de référence comme le dollar contrôlé par des volontés absolument en dehors de la nôtre propre.
Toute monnaie induite dans un système hôte et soumise à l'usure, est comme un essaim de radicaux libre éparpillés dans tout le système qu'ils épuiseront pour se rééquilibrer eux-mêmes, déclenchant dans cette manoeuvre une réaction de rééquilibrage de tout le système hôte se dévorant sur lui-même jusqu'à son effondrement.
Voilà le travail de l'argent usuraire qui fait de la terre une planète de plus en plus polluée, accablée de pauvreté et d'esclavage parce que soumise à des forces destructrices négatives déguisées en croissance économique qui n'est dans les faits qu'un effondrement tout azimut. Réflexion.
Jean