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Robert Bertrand

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    Robert Bertrand39 articles

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    rédacteur,
    [Québec un Pays->http://membres.lycos.fr/quebecunpays/]




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  • Robert Bertrand
  • 21 mars 2007
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A-t-on le droit de voter pour Jean Charest ?

  • Robert Bertrand
  • 15 mars 2007
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  • Robert Bertrand
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Pourquoi est-ce "si" difficile ?

  • Robert Bertrand
  • 1 mars 2007
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  • 28 février 2007
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  • Robert Bertrand
  • 12 janvier 2007
  • Tribune libre - 2007

Sorry, I don't speak french

Lettre ouverte à Graham Fraser

  • Robert Bertrand
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Commentaires de Robert Bertrand

  • J'accuse les assassins de Daniel Johnson

    28 août 2017


    Le Général de Gaulle suivait un plan d'importance internationale qui ne plaisait pas aux Américains.

    La visite à Terre des Hommes était sur le parcours international du Général. Oui, il avait une mission à déterminer pour le Québec dans sa vision des choses.

    Il blessait, en ce faisant, non seulement le Canada Anglais, il blessait particulièrement la sensibilité américaine.

    Il faut voir la vidéo suivante :

    https://www.youtube.com/watch?v=UDcF9PLGtCc

    «L'Amérique contre De Gaulle, histoire secrète, 1961-1969 »

    Il faut écouter toute cette vidéo qui nous montre un Général de Gaulle en possession de tous ses moyens qui avait un plan et qui avait des intentions claires de voir la France jouer un rôle majeur dans le monde qu'il occupait.

    L'arme nucléaire, la sortie de l'Otan, tisser des liens avec différents Pays du monde. Voir les Etats-Unis sortir du pétrin du Vietnam.

    Visite à Berlin, au Mexique, à Phnom Penh, au Québec. Tout ça irritait les Etats-Unis sous les présidences de John F. Kennedy et Lyndon B.Johnson à cause des armes nucléaires. Avec Richard Nixon, les relations France - Etats-Unis sont redevenus acceptables.

    Robert Bertrand

  • « Mon ami Johnson » savait-il qu’il jouait dans la cour des Grands ?

    4 août 2017


    Merci à Monsieur Richard Le Hir de présenter cet historique de la situation vécue au Québec.

    Il est indubitable et raisonnable d'affirmer haut et fort qu'au nom des intérêts supérieurs du Canada, sous la direction de Pierre-Elliot Trudeau, en 1968, Daniel Johnson, père, est bien mort ASSASSINÉ.

    C'est en connaissance de cause que l'on peut dire que le midi, précédant les événements à la Manicouagan, Daniel Johnson pouvait déclarer, en conscience, qu'il « allait mourir debout » dans les heures qui allaient suivre.

    Est-ce que tous les journalistes sur les lieux du barrage MANIC-5 devenu le Barrage Daniel Johnson ont été tenu de ne rien déclarer de ce qu'ils auraient eu connaissance ?

    Le vécu des membres de la famille est certainement lourd à porter maintenant que tous les éléments circonstanciels sont démontrés ?

    Ce n'est certainement pas sans douleurs que chacun des membres de la famille Johnson a pu vivre toutes ces années avec ce secret qu'on aurait jamais voulu qu'il soit étalé à la face de tous les Québécois et du monde.

    Les participants lors des funérailles à la Basilique Cathédrale de Québec auront compris les douleurs démontrées par certains membres des Très Honorables présents sur place.

    Maintenant que les faits sont connus, aurons-nous des témoignages venant confirmer ou infirmer ce que l'on sait maintenant.

    Les Québécois méritent qu'ils soient dûment informés par des témoins qui ont vécu les dernières heures de Daniel Johnson, père, alors Premier Ministre du Québec.

    Il a accompli son devoir jusqu'à la dernière minute de représentant du Peuple Québécois.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays
    2017-08-05

  • J'accuse les assassins de Daniel Johnson

    27 juillet 2017


    « Je m'en vais mourir debout, cette semaine. » Daniel Johnson lors de sa conférence de presse, le midi, précédant sa mort.

    Date de diffusion : 26 septembre 1968

    http://archives.radio-canada.ca/politique/provincial_territorial/clips/1672/

    Daniel Johnson subit plusieurs arrêts cardiaques avant son décès. Depuis le début de son mandat, il est entouré de médecins. La veille de son départ pour l'inauguration du plus grand barrage à voûtes multiples et à contreforts au monde, Manic Cinq, à Baie-Comeau, il déclare : « Je m'en vais mourir debout, cette semaine. » À l'annonce de sa mort, le Québec tout entier est ébranlé. La radio de Radio-Canada lui consacre une émission de cinq heures.

    Daniel Johnson devient chef de l'Union nationale en 1961. Il hérite d'un parti en pleine reconstruction, à la recherche d'un programme et de structures démocratiques. Après le livre Égalité ou indépendance, qu'il publie en 1965, Johnson fait adopter par son parti le principe fondamental de l'égalité des deux peuples fondateurs. Le 5 juin de l'année suivante, il prend le pouvoir et s'investit d'une mission, celle de donner une voix au Québec à l'échelle internationale. Une ambition qui suscite la colère de Pierre Trudeau.

    Pendant son mandat, il crée le réseau de l'Université du Québec, Radio-Québec, les cégeps, la Commission d'études Dorion sur les frontières du Labrador, la Société d'habitation du Québec et bien sûr, lance le chantier de Manic 5. Il pave également la voie au futur régime d'assurance-santé. Son acharnement à défendre les intérêts québécois rend les relations fédérales-provinciales tumultueuses.

    ====
    Quelle est la liste des journalistes présents sur les lieux ?

    Combien de médecins ont accompagné Daniel Johnson, Premier Ministre du Québec à la Manicouagan ?

    Daniel Johnson avait-il le choix de se rendre sur ces lieux de l'inauguration du barrage ? Qui aurait pu l'obliger à s'y rendre ?

    Il se dit «dangereusement bien, en bonne santé» et qu'il «allait mourir debout»

    Les gardes qui l'ont amené dans son dernier campement, quel journaliste les auraient interrogés ?

    Quels sont les textes que tous les journalistes présents ont réalisé sur les lieux et après leur retour dans leurs lieux de travail.

    Qui a payé leurs transports pour se rendre au barrage et en revenir? Quelqu'un voudrait soumettre les textes réalisés par ces journalistes présents sur les lieux ?

    «JUST WATCH ME !» deux ans plus tard et quelque 500 emprisonnements sans procès et sans remords. Cela m'a toujours intrigué.

    Est-ce dans la continuité ?

  • J'accuse les assassins de Daniel Johnson

    26 juillet 2017


    La mort de Daniel Johnson est survenue avant la crise d'octobre.  

    En 1968, Daniel Johnson meurt.  C'est deux ans avant la crise d'Octobre 70.
    Dans les deux cas, Trudeau est au pouvoir.
     
    Pour Pierre-Elliot Trudeau, en guerre contre les séparatistes, on doit faire ce que l'on doit faire.   On peut poser des bombes, voler les noms des membres d'un parti politique, on peut envoyer des faux communiqués, on peut manier les infos comme on veut.   Tout est permis pour ce Canada.  Chrétien a même ajouté, un peu plus tard, qu'on pouvait y mettre toutes les sommes d'argent nécessaires. On ne se gêne pas. On y met le paquet !
     
    Prenons le temps d'analyser les faits et on pourra comprendre que tout est possible, même l'incroyable.  
     
    Il faut présenter la séquence des faits et tirer nos conclusions. 
     
    CITÉ LIBRE (Trudeau, Lévesque, Pelletier)  http://www.citelibre.com/
     
    Pierre-Elliot Trudeau avant d'aller en politique fédérale faisait partie d'un groupe d'intellectuels qui réfléchissaient sur la place du Québec dans le monde.

    Des gens de bonnes compagnies se rencontraient. René Lévesque était de la partie comme Pierre-Elliot Trudeau.

    Les deux sont allés dans des directions opposées.

    Élu à Ottawa, Trudeau a laissé sa marque. Les Trois Colombes se sont faits élire sous Lester-B. Pearson, alors Premier Ministre.

    Élection de Daniel Johnson, père
     
    En 1966, vint l'élection à Québec. Jean Lesage battu par un nationaliste Québécois, Daniel Johnson, père, sous le thème ÉGALITÉ ou INDÉPENDANCE. Une fois élu, il est reçu à Ottawa lors d'une conférence constitutionnelle. Daniel Johnson présente sa thèse : Égalité ou Indépendance.  Une fin de non recevoir de Pierre-Elliot Trudeau.

    Trudeau est ministre à Ottawa.  Le dossier de la défense de la Constitution du Canada, c'est sa responsabilité.  
     
    Trudeau met donc toute son énergie au service de son dossier : la DÉFENSE DU CANADA. C'est pas clair comme ça au début mais les événements qui suivent le cabre et il en fait son cheval de bataille.

    Johnson, de descendance irlandaise, n'est pas homme à s'en laisser imposer par Trudeau. En 1966, en une Conférence constitutionnelle à Ottawa, Daniel Johnson subit la fin de non recevoir de Trudeau. 
     
    Daniel Johnson, tout en douceur, s'en retourne à Québec. 
     
    Daniel Johnson a un atout, dans son jeu. On est à la veille de fêter le Centième anniversaire de la création de la Confédération du Canada.   L'Expo 67 est en construction.   Tous les Chefs des États participants à l'Expo 67 seront présents pour inaugurer leurs pavillons respectifs.  
     
    En 1966, Daniel Johnson se rend à l'Élysée pour parler avec le Général Charles de Gaulle. Il est reçu à l'Élysée. Il présente son livre - Égalité ou Indépendance, au Général Charles de Gaulle, Président de la République Française. 
     
    Le Général connaît le contenu du livre. 

    Sous l'invitation du Premier Ministre du Québec, Le Président de la République Française accepte de venir au Québec. 

    Il ne veut pas venir fêter le Centenaire du Canada.  Il vient inaugurer le Pavillon de la France à Terre des Hommes, l'Expo 67. 
     
    Sa décision est claire.  Il fera le nécessaire pour répondre à la fin de non recevoir de Trudeau en regard du dossier :  Égalité ou Indépendance.   Les dossiers internationaux, le Général est dans les tractations avec l'Algérie et d'autres Pays.   Des affaires plus complexes que de venir inaugurer le Pavillon de la France à l'Expo 67.
     
    De Gaulle décide de venir au Québec.  Il trace les grandes lignes de son voyage.  Tout n'est pas défini clairement pour les activités qu'il fera en Terre d'Amérique, sur le sol Québécois.  
     
    L'objectif de son voyage :  l'inauguration du Pavillon de la France à l'Expo 67.

    Daniel Johnson sous écoute
     
    Des tête-à-tête entre le Général et Johnson: ce ne peut pas être les meilleures conditions pour Ottawa qui voit en Johnson un -- séparatiste -- de haut niveau.  
     
    Les services secrets du Canada sont mis en oeuvre pour suivre à la trace toutes les activités de Daniel Johnson, alors Premier Ministre du Québec.  

    La visite de Johnson à Paris n'est pas sans affecter Trudeau. Johnson est mis sous écoute et des «taupes» à l'intérieur du Cabinet Johnson ajouteront aux informations des services secrets.  

    Je vous raconte parce que ce n'est pas raconté par les Historiens qui sont à la solde d'Ottawa qui veut l'harmonie en colorant les données de l'Histoire. 
     
    LE FLQ est actif depuis quelques années
     
    Bien sûr, il y a déjà des bombes du FLQ et ce qui va suivre en 1970.   Comme il faut ausculter l'affaire Johnson, les historiens n'en ont que pour les bombes. On comprend que l'état major à Ottawa va participer pour chercher à contrôler les activités.  
     
    Comme les éléments de la crise d'Octobre sont bien connus et bien suivis, il faut mettre en évidence ce qui a déclenché la phobie de Trudeau à l'égard du Québec.   Il en sait quelque chose.  Il est un protagoniste averti. 
     
    Je ne raconterai pas les activités de De Gaulle au Québec.  Tout ça est bien connu.  
     
    Le «Vive le Québec Libre » a retenti dans tous les Pays et dans toutes les ambassades et les consulats du monde.   Daniel Johnson et le Québec avec les activités du FLQ occupent les esprits et il ne faut pas laisser d'ouvertures vers une crise plus importante et désordonnée.
     
    Daniel Johnson invité d'honneur du Président de la France
     
    Ce qui est moins connu du public, c'est l'invitation du Général Charles de Gaulle, alors Président de la France, du Premier Ministre du Québec qui serait reçu officiellement en France.  Le Général lui réserve la résidence des Rois, -- le Petit Trianon -- à Versailles, où résiderait le Premier Ministre Daniel Johnson, le temps qu'il serait en France.  
     
    Il n'y a pas résidence plus importante à offrir à un invité d'honneur.  
     
    Ottawa, Pierre-Elliot Trudeau, n'est pas sans le savoir.   Il est en communication avec le Premier Ministre du Québec et lui demande de ne pas se rendre en France.    La fin de non recevoir du Québec est bien claire.  « J'irai en France, quoi qu'il arrive » de souligner Daniel Johnson.
     
    Ce serait mal connaître Daniel Johnson qui a reçu le Général et qui sait l'importance de son voyage au Québec que de l'imaginer refuser l'invitation à aller en France -- retour d'ascenseur -- pour rendre visite au Général et aux Français et présenter le Québec et les relations du Québec avec la France et sa volonté de devenir un Pays indépendant.
     
    Les conférences de Presse du Général Charles de Gaulle ne sont pas des petites rencontres avec la Presse du monde.  
     
    Le Canada n'est pas sans le savoir.   Le Québec n'est pas sans le savoir.  Les Services secrets ne sont pas sans savoir ce qui se prépare et se discute puisqu'ils ont leurs services d'écoutes. 
     
    Les Services Secrets écoutent Daniel Johnson
     
    On dit même que Daniel Johnson ne pouvait plus utiliser son téléphone personnel de ses bureaux puisqu'ils étaient «branchés» de même que son «crayon stylo» et son «lustre» et quoi d'autres.
     
    Dans tout Cabinet de ministres, bien que Daniel Johnson ait fait campagne pour « Égalité ou Indépendance », on peut imaginer que tout le monde n'était pas du même avis et tout aussi empressé pour tirer les conclusions que Daniel Johnson, père, pouvait mettre de l'avant.   Donc, certains ministres pouvaient également donner des informations aux services secrets.  
     
    Des avis formels ont été transmis à Daniel Johnson pour ne pas se rendre en France.  Paul Desmarais, père, était en vacances à Hawaï en même temps que Daniel Johnson et il a tout fait pour le convaincre de ne pas se rendre en France.   En vacances, il aurait pu avoir donné une réponse favorable à Paul Desmarais.
     
    Dernière conférence de presse de Daniel Johnson
     
    Sa conférence de presse, la veille de sa mort, à Québec, Daniel Johnson confirmait aux journalistes présents et aux téléspectateurs
     
    que « Oui, je vais aller en France » 
     
    que «Oui, je suis dangereusement en bonne santé ».  
     
    Il a ajouté « qu'il allait mourir en haut » i.e. à la Manicouagan alors qu'il s'y rendait le soir même pour l'inauguration du barrage du même nom, le lendemain matin.
     
    J'étais étudiant en science politique en 1966-67 à l'Université Laval.  L'intérêt pour la question politique faisait partie de mon quotidien.  Je suivais à la lettre ce déroulement de la situation. 
     
    Depuis 1958 je suivais les interventions de Raymond Barbeau, chef du RIN.  J'ai compris que l'option du Pays du Québec était fondamentale pour notre État du Québec.  
     
    LES MÉDIAS ne sont pas sans savoir ce qui a été dit en conférence de presse par Daniel Johnson, Premier Ministre du Québec. (Il faudrait pouvoir publier le contenu de cette conférence de presse tenue à Québec le midi, avant la mort de Daniel Johnson).
     
    Tous les journalistes présents à la dernière conférence de presse de Daniel Johnson, le midi précédent son départ pour la Manicouagan ne sont pas innocents comme on voudrait bien nous le faire accroire.
     
    Tous les journalistes présents ont compris que la vie de Daniel Johnson pouvait se jouer à la Manicouagan.  
     
    Des dizaines de journalistes seront du voyage et seront présents à la Manicouagan. Ont-ils joué les têtes vides pour ne pas avoir compris ce qu'avait dit Daniel Johnson en sa conférence de presse du midi ? Personne d'entre eux n'aurait été aux aguets, le moindrement attentif lors de la soirée, lors des déplacements, des allées et venues de Daniel Johnson entre le lieu des agapes avec les travailleurs et le lieu où Daniel Johnson a été amené pour se coucher ?

    Qui occupait tous les journalistes présents pour qu'ils ne puissent rien voir ? C'était soirée de grande fête avec les travailleurs et les journalistes n'étaient pas sans en profiter.
     
    Des hommes d'affaires, les bailleurs de fonds pour la construction d'un des  plus grands barrages au monde sont également présents à la Manicouagan.
     
    Des milliers de travailleurs du barrage sont présents.
     
    La surprise qu'il nous faut considérer, malgré les paroles prononcées par Daniel Johnson lors de la dernière conférence de presse à Québec, c'est de se rendre compte qu'aucun médecin approprié serait présent à la Manicouagan, qu'aucun grand journaliste de renom tant du Québec, du Canada ou d'Europe serait présent lors de cette inauguration du barrage, malgré le nombre d'hommes d'affaires présents et l'inauguration du plus grand barrage au monde.  

    Quel journaliste oserait venir nous dire que la boisson pouvait couler à flots et que le travail journalistique en a subi les conséquences ?

    Que tous les journalistes n'aient rien vu, rien compris de l'ampleur de l'événement suite à la conférence de presse du midi, cela dépasse l'entendement.
     
    Quelques années auparavant, lundi 7 septembre 1959, Maurice Le Noblet Duplessis mourait à Shefferville. 
     
    http://www.lapresse.ca/le-droit/dossiers/100-evenements-historiques/201303/07/01-4628717-17-la-mort-inattendue-de-duplessis.php
     
    Le Nord du Québec ne semble pas favorable pour la survie de nos Premiers Ministres du Québec. 

    Oui, je suis bien heureux de voir que Pierre Schneider a pris le dossier en mains.

  • Délire et péquisteux

    29 mars 2016


    Si, actuellement, nos représentants du Parti Québécois ont peur d'affronter le délire des adversaires, c'est que le dossier de l'INDÉPENDANCE du Québec n'est porté par personne.

    Pensent-ils que tout va tomber sur un plateau d'argent ?

    Ils n'ont pas vécu ou compris notre vécu collectif depuis 1960 ? depuis 1837-38-39 ?

    Me semble d'entendre Pierre Falardeau réagir à ce qui vient de se passer. Imaginez Michel Chartrand vous bousculer dans le coin.

    Faisons le constat : nos gens du Parti ne travaillent pas en équipe. Chacun a son égo.

    SVP. Pourquoi faut-il vous le dire : Notre Pays doit avoir un plan pour 25 ans, 50 ans, 100 ans. Depuis quand y travaillez-vous ENSEMBLE. Vous arrive-t-il de vous réunir une longue fin de semaine, deux, trois, cinq, dix députés pour discuter de cela ? Formez-vous une équipe ? Travaillez-vous à votre plan à vous sans échanger avec les autres ? Vous allez nous faire une surprise ?

    Constatez le : nous sommes au niveau de l'école de rang. Chacun travaille de son côté.

    Bref: La pensée et l'action ne sont pas à la hauteur d'un PAYS du Québec en chantier de construction.

    Il n'y a aucun plan sur la table. On travaille à la petite semaine. On ne se promène pas dans le monde pour le faire connaître notre plan, notre démarche.

    Nos gens travaillent pour se faire élire et être chef. Et on attend la prochaine élection.

    On donne le plan à se faire concrétiser à un organisme accessoire et on attend, on attend, on attend.

    DEPUIS 1960 qu'on attend d'être MAÎTRE CHEZ NOUS.

    Ceux qui sont au pouvoir de notre Pays du Québec le démolissent à tous les jours depuis deux ans et 10 ans auparavant. Ils démolissent ce qui a été bâti durement depuis près de 60 ans maintenant.

    IL Y A URGENCE EN LA DEMEURE. Les élus ne voient rien dans leur mire ?

    C'est pas fort lorsque l'on pense qu'on va se faire démolir par les Libéraux tant du Québec ou toute la classe politique d'Ottawa, ma chère, et les journaleux, chroniqueux.

    Si ton plan vaut rien, si tu ne l'as pas en tête, si tu es trop faible et que tu as peur d'avoir peur... c'est qu'on est dans le fossé, dans un merdier incommensurable.

    Nommez moi quelqu'un, actuellement, qui PORTE LE PAYS DU QUÉBEC ? Il vous a dit quoi pour en être convaincu qu'il le porte ce PAYS DU QUÉBEC ?

    Vous attendez quoi pour assumer le pouvoir ? L'échéance officielle ? Vous ne pouvez rien faire d'autres ? Vous attendez, attendez.

    Non, je ne veux pas être tendre parce qu'avant vous il y a eu des René Lévesque, des Jacques Parizeau qui provoquaient, qui mettaient des choses sur la table, qui renseignaient la population. Tout n'a pas été parfait mais au moins ils étaient dans l'action quotidiennement.

    Si on avait un plan détaillé, livré à la population, le gouvernement serait défait en quelques semaines parce qu'on EST PRÊT pour réaliser ce qui NOUS APPARTIENT avec tous les pouvoirs.

    Trop de gens dorment d'un sommeil profond. Ils attendent l'échéance dans deux ans.

    Si tu vends ta salade et que ta salade est mangeable et qu'elle a du tonus, tu verras bien qu'il y aura du monde autour de la table.

    Juste répondre aux alarmes qui sonnent, tu es prisonnier dans ta propre demeure.

    Le réveil matin vient de sonner.

    Au travail. Vite, ça presse. UN PAYS est en attente.

    Montrez nous que vous êtes là à bâtir ENSEMBLE le Pays.

    Avec amitié et respect.

  • Délire et péquisteux

    28 mars 2016


    Le PAYS ne nous arrivera pas du ciel. Il faudra argumenter, débattre, convaincre.

    Les adversaires seront nombreux. Il faudra du cran pour assumer tous les débats.

    Peur d'avoir peur des adversaires nationaux ou internationaux, c'est se faire petit, c'est faire preuve d'un manque de confiance en soi, de son argumentaire, de ses convictions, de la valeur de son propre projet.

    Nous sommes habitués à nous confronter entre nous, dans notre cour d'école. Nous avions la chance, non sollicitée, de débattre d'une cause qui normalement nous tient à coeur et qu'il faudra, un jour ou l'autre débattre non seulement dans notre cour mais à la face du monde.

    Nous avions une occasion en or de débattre et le débat aurait été différent puisque notre interlocutrice était connue de par le monde pour son franc parler et pour défendre une cause qui n'est pas plus facile en France ou pour l'Europe entière dont elle est députée au Parlement de l'Union Européenne.

    Un membre du Parti Québécois qui était chargée, alors qu'il était ministre, des Affaires extérieures du Québec a convaincu PKP, le Chef, de ne pas affronter Madame Le Pen. Elle ne partage pas toutes nos valeurs. Tous les défauts que les adversaires lui prêtent sont venus aux oreilles de notre classe politique au complet. De vrais petits enfants qui préfère les débats à la petite semaine avec des adversaires que je me retiens de qualifier ici.

    Un Pays du Québec, c'est de cela qu'il fallait parler de notre côté. De notre volonté du Pays Français en terre d'Amérique. De notre volonté d'être sur toutes les scènes à l'international pour débattre de la francophonie, de la culture, de l'économie, de la diversité de notre société. Parler de nos mines, de nos richesses naturelles, de notre fleuve, de la grandeur et l'étendue de nos grands espaces. Du Nord, du Sud, de l'Ouest, de l'Est de notre État du Québec. Parler de nos régions qui sont une richesse pour l'ensemble des Français et des Pays d'Europe pour les solliciter à venir nous visiter.

    C'est nous qui devions parler pour le monde qui était à notre écoute par l'intermédiaire de cette députée qui mérite autant de respect que tous les députés qui sont en notre Assemblée nationale du Québec.

    Les journalistes auraient fait le reste. Ils auraient diffusé la bonne nouvelle depuis le VIVE LE QUÉBEC LIBRE.

    Madame Le Pen n'est pas venue chercher des appuis pour sa formation politique. Depuis son enfance que Madame Le Pen est dans le domaine politique avec son père qui a été ce qu'il a été dans son temps. Le Québec n'est pas là pour refaire l'histoire de son père. C'est Madame Marine Le Pen qui venait nous visiter, nous parler et venait probablement pour écouter ceux qui avaient des choses qui auraient pu être dites.

    Prenons le temps de comprendre qu'en France il y a plus de 600 000 élus dans 30 000 communes. 28 États de l'Union Européenne. Et les départements des territoires outre mer. Regardez :

    Vous croyez qu'elle aurait été surprise de vous entendre parler de vos dossiers ?

    Vous vous êtes enfermés dans votre cabane plutôt que de vous ouvrir au monde.

    Non, je ne sais pas en quoi vous pourriez vous montrer fier de ce que vous avez fait pour le PAYS DU QUÉBEC, dans les circonstances que l'on a connue.

    À qui avez-vous rendu service en vous terrant dans votre coin pour l'éviter ?

    Le Canada doit vous remercier d'avoir agi comme un bon serviteur ayant prêté serment à la Reine pour mieux servir un Empire qui n'est pas le nôtre.

    Vous êtes des éluEs, 24/24, 365 jours par année pour le Pays du Québec, comme députéEs éluEs en notre Assemblée nationale de l'État du Québec pour servir l'ensemble de toutes les Québécoises et de tous les Québécois qui ont la volonté du Pays du Québec. J'imagine que vous savez ça ! Faut-il vous le rappeler ?

    Si vous avez peur de vos propres convictions, qui que vous soyez, vous avez une option.

    Assumer vos responsabilités ou quitter.

    C'est là où nous en sommes.

    Un examen de conscience pour la suite des choses.

    C'est ce que l'on attend de tous nos représentants éluEs.

    Quand on a des convictions, on les affirme haut et fort et à la face du monde en tout temps et en tous lieux.

    Il faut se parler pour se comprendre. C'est ma façon de faire.

    Avec amitié et respect.

  • L'Empire se sert, il ne collabore pas

    29 juin 2015


    Par le Traité de Paris, les territoires de la Nouvelle-France ont été cédés.

    Jamais les habitants ne se sont reconnus comme étant des britanniques. Et jamais les Québécois ont adhéré aux décisions que les autres ont prises.

    Depuis plus d'un demi-siècle, ils se reconnaissent comme étant des Québécois sur le territoire de l'État du Québec. Les Québécois sont Français d'Amérique et demeurent Français d'Amérique.

    Notre Assemblée nationale est officiellement de langue française.

    L'Église catholique du Québec, par ses Évêques et son Primat de l'Église canadienne se sont investis pour défendre l'Empire britannique aux détriments de la volonté du peuple du Québec pour se libérer des chaînes de l'Empire.

    L'attache de l'Église à l'Empire s'est réalisée dès 1760 peu de temps après la Bataille des Plaines.

    L'Église s'est soumise aux volontés de l'Empire grâce à une entente qui permettait à l'Église catholique d'assumer les responsabilités de l'Éducation et de la Santé sur le territoire du Québec.

    Par des lettres pastorales à tous ses fidèles, l'Église exigeait des Patriotes et exigeait des conscrits lors des deux Conscriptions à demeurer fidèle à leurs bons et généreux maîtres, les Anglais - Britanniques.

    Bref: l'Église catholique du Québec que l'on a vénérée et soutenue par nos deniers et notre fidélité a bien servi les intérêts de l'Empire britannique sans que l'Éducation transmise en fasse état officiellement.

    De 1760 à 1960, l'Église catholique québécoise nous a gardée dans le secret des dieux pour son propre bénéfice et pour ses propres intérêts.

    Les terres du Séminaire en font état magistralement. Un territoire qui s’étend sur une superficie de 1600 km2 du nord-est de la ville de Québec jusqu’au nord-est de Baie St-Paul.

    http://laforetacoeur.ca/blog/terres-du-seminaire-mission-porte-fruit-depuis-350-ans/

    C'est encore le cas aujourd'hui par la présence du Primat de l'Église canadienne qui a son siège social à l'Évêché de Québec.

  • Le PQ et Bernard Landry se sont fait voler l'élection de 2003

    11 mai 2015


    Il est bien possible que l'analyse présentée soit des plus satisfaisantes pour un niveau de connaissance rapide.

    Une entreprise qui veut réussir se donne les moyens d'y arriver. Elle y met le travail et le talent pour atteindre le succès.

    Un parti politique n'est pas fait autrement.

    Pour réussir il faut bien s'entourer et s'assurer constamment de ne pas se faire jouer, ne pas se faire manipuler par les sondages, par les médias, par les aléas de la température environnante.

    Si on se laisse porter que par des sondages pour prendre le pouvoir, on ne vaut pas cher comme leader d'un parti politique.

    Je ne comprends pas que le parti Québécois qui était au pouvoir n'avait pas de programme complet pour les cent, pour les deux cents prochains jours après avoir été élus. Il faut pouvoir vendre ce programme.

    Sur quel programme se faisait-on élire autant sous l'élection de Bernard Landry ou de Madame Marois ? Un cafouilli majeur sans saveur.

    Dites-moi un peu quelle équipe formait le groupe de Madame Marois ? Elle a fait un discours de dissolution pour aller -- seule -- en quittant son monde ébahi sur place et s'acheminer d'un pas qui ne permettait aucun échange vers le Lieutenant-Gouverneur.

    Si on ne fait pas une analyse sérieuse de la situation, c'est une garantie d'un fiasco.

    Le Pays du Québec se fera avec UNE ÉQUIPE qui a un travail à faire. Cette équipe, tous ses membres, doit savoir ce qu'il adviendra s'ils sont élus.

    Il faut savoir parler de ce qui tient lieu de son programme et non pas seulement de SA personne.

    Pas de programme qui se tienne pour 100, 200 et 300 jours, on n'aura pas de Pays.

    Un Pays ne se fait pas seul. Il se finalisera avec tous les membres de l'équipe qui se présente qui parlera d'une seule voix parce qu'ils seront au courant pour la suite des choses. La confiance dans les personnes choisies de l'équipe est fondamentale. N'entre pas dans l'équipe qui veut pour mieux se faire arnaquer.

    Il nous faut des personnes sur qui compter et s'assurer de leur fidélité au programme.

    On ne fera pas un Pays dans le désordre et juste sur une tête de pipe.

    Les manipulations se réalisent parce qu'on laisse toute la place aux personnes extérieures et que de l'intérieur, il n'y a rien de valable, ou si peu, à présenter.

    Une équipe, un programme déterminé dans le temps suivant la prise du pouvoir.

    Le travail d'ensemble est prioritaire. Faut-il se parler avant, et ne former QU'UN autour d'un plan bien établi, bien structuré.

    Il faut avancer dans l'ordre.

    Le Pays, ce n'est pas un jeu. C'est du sérieux et on a besoin de tout son monde pour travailler ENSEMBLE.

    Comment se fait-il qu'on en soit encore à dire des choses aussi essentielles et aussi fondamentales ?

    Au plaisir d'échanger.

  • Un élu qui a marqué l'Histoire du Québec : Daniel Johnson, père

    11 novembre 2014


    Proposition de Daniel Johnson, père concernant la Constitution du Québec.

    http://www.saic.gouv.qc.ca/publications/Positions/Partie1/DanielJohnsonPere1966.pdf

  • Un élu qui a marqué l'Histoire du Québec : Daniel Johnson, père

    9 novembre 2014


    Daniel Johnson, père, n'a pas été de tout repos pour le Canada de Trudeau.

    Tout cela s'est passé depuis un bon moment et sachant la connaissance de l'Histoire pour plusieurs de nos lecteurs, il est intéressant de noter ce qui a été réalisé en moins de deux ans comme Premier Ministre du Québec.

    Je cite depuis la page :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Gouvernement_Daniel_Johnson_(p%C3%A8re)

    « Lorsque l'Union nationale reprend le pouvoir, en 1966, les observateurs de l'époque croient qu'il s'agit de la fin de la Révolution tranquille et même d'un retour à l'ère Duplessis. Au contraire, Daniel Johnson poursuit les réformes commencées sous Lesage. Les Cégeps sont créés. La loi sur le Protecteur du Citoyen est adoptée. On met en place le ministère des Institutions financières.

    Les relations Québec-Ottawa prennent une nouvelle tangente. Johnson exige la signature d'un nouveau pacte d'égal à égal avec le reste du Canada, sinon il déclenchera, dit-il, le processus devant mener à l'indépendance, de là son slogan "Égalité ou indépendance". Les négociations avec Ottawa ne sont cependant pas un succès, surtout avec l'entrée en scène de Pierre Elliott Trudeau.

    Avec l'appui du président français, Charles de Gaulle, Johnson accroît significativement le rayonnement international du Québec. Expo 67 et le "Vive le Québec libre! du général De Gaulle le font connaître à travers le monde.

    En janvier 1968, le Gabon, sous la pression du président français, invite le ministre de l'Éducation québécois à la conférence annuelle des communautés africaines et malgaches, à Libreville, sans passer par Ottawa. Le mois suivant, le Canada, mécontent, rompt ses liens diplomatiques avec le Gabon.

    Automne 1966: négociations avec Ottawa sur le régime fiscal. Johnson réclame 100 % de l'impôt sur le revenu et sur les sociétés.

    1er décembre 1966: première session de la 28e Législature. La loi sur les prêts et bourses aux étudiants est adoptée. Au cours des mois suivants, l'Assemblée législative discute de la création d'un ministère des Affaires interprovinciales et d'un ministère de la Fonction publique ainsi que d'une loi devant instituer un protecteur du citoyen.

    27 janvier 1967: dépôt de la loi 21 créant les Collèges d'enseignement général et professionnel (les Cégeps).

    14 avril 1967: Création du Ministère des relation internationales, par l'adoption de la Loi modifiant la Loi du ministère des Affaires fédérales-provinciales et certaines lois connexes (Bill no 33)1.

    27 avril 1967: inauguration d'Expo 67.

    18 mai 1967: Daniel Johnson rencontre Charles de Gaulle à l'Élysée. Les deux chefs d'État veulent établir une étroite collaboration entre le Québec et la France.

    15 juin 1967: Daniel Johnson annonce la construction d'une cité parlementaire à Québec. Le coût de la construction des immeubles, dont le Complexe G qui doit compter 30 étages, est établi autour de 30 millions $.

    24 juillet 1967: la phrase du général de Gaulle (« Vive le Québec libre ! »), lancée du haut du balcon de l'hôtel de ville de Montréal, déclenche un véritable séisme dans les relations Québec-Ottawa et Ottawa-Paris.

    3 août 1967: François Aquin démissionne du caucus libéral et devient le premier député indépendantiste de l'Assemblée législative.

    25 août 1967: le rapport de la Commission Castonguay recommande l'instauration d'un régime d'assurance-maladie universel, complet, public et obligatoire.

    14 septembre 1967: Accord Johnson-Peyrefitte avec la France au sujet de la culture, l'éducation et les visites diplomatiques. Cela prévoit la création de l'Office franco-québécois pour la jeunesse.

    6 février 1968: Daniel Johnson affronte le ministre fédéral de la Justice, Pierre Elliott Trudeau, lors de la conférence fédérale-provinciale. Celui-ci lui nie la prétention d'être le seul porte-parole des francophones au Canada. Selon lui, ces derniers doivent obtenir l'égalité linguistique avec les anglophones et non un statut particulier qui mènerait tout droit à la séparation.

    22 février 1968: création de l'Office de la radio et de la télévision du Québec, devant mener à la mise en place d'une télévision publique québécoise.

    20 avril 1968: Trudeau devient premier ministre du Canada et annonce des élections générales pour le 25 juin.

    24 juin 1968: Lundi de la matraque : Trudeau assiste au défilé de la St-Jean, Bourgault (chef du 3e plus gros parti au Québec) est battu et arrêté pour sa simple présence. Trudeau décide de braver l'émeute.

    25 juin 1968: À la SRC, le journaliste Claude-Jean Devirieux est suspendu pour avoir dénoncé la brutalité policière la veille. La SRC déclenche une grève d'un jour en soutien à Devirieux. Trudeau remporte les élections et obtient un gouvernement majoritaire. Cette victoire n'est pas annoncée à la SRC, en raison de la grève.

    26 septembre 1968: Daniel Johnson meurt d'une crise cardiaque à la veille de l'inauguration du barrage de Manic 5.

    Ce qui est majeur n'est pas présenté dans toute cette nomenclature : La visite du Général Charles de Gaulle au Québec.

    Une atmosphère du genre de la LIBÉRATION.

    24 juillet 1967

    Lorsque le général de Gaulle arrive à Montréal, le 24 juillet 1967, il est au Québec depuis la veille et gagne Montréal en suivant le Chemin du Roy.

    http://archives.radio-canada.ca/sports/provincial_territorial/clips/1048/

    Il faut entendre le Général ( son discours au balcon )

    Imaginez ce qui se serait produit en France avec Daniel Johnson, en visite officielle.

  • L'indépendance par la voie électorale

    16 octobre 2014


    « Un vote du parlement »

    Penser à la motion adoptée à la très grande majorité sinon à l'unanimité de l'Assemblée nationale contre Yves Michaud, sous Lucien Bouchard-Jean Charest.

    Par tous les moyens, jusqu'en Cour Suprême, Yves Michaud n'a pas réussi à la faire annuler sinon à l'amender.

    Réflexions faites : Une résolution adoptée par un Parlement, notre Assemblée nationale, ne peut être abrogée ou rejetée même par la Cour Suprême.

    L'Assemblée nationale a tous les droits.

    N'est-ce pas ce qu'il faut en déduire ?

  • Message aux purs et durs... de comprenure...

    22 mars 2014


    Recentrons sur l'essentiel.

    L'INTÉGRITÉ de nos institutions et de nos partis politiques.

    Le Pays du Québec mérite l'excellence.

    Oui, nous nous devons d'atteindre cet objectif pour notre génération et les générations à venir.

    Asseoir notre État du Québec sur du solide.

    On le peut ENSEMBLE.

    Nos ancêtres seront fiers de nous.

    On s'est construit, petit à petit, avec beaucoup de peines et de misères.

    Prenons soin de notre «butin» et allons de l'avent pour l'INTÉGRITÉ, pour des temps meilleurs.

    Pas juste pour une clique mais pour l'ensemble de notre population du Québec.

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  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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