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Robert Bertrand

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    Robert Bertrand39 articles

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    rédacteur,
    [Québec un Pays->http://membres.lycos.fr/quebecunpays/]




Le prochain chef Libéral du Québec : un nationaliste québécois

  • Robert Bertrand
  • 21 mars 2007
  • Tribune libre - 2007

A-t-on le droit de voter pour Jean Charest ?

  • Robert Bertrand
  • 15 mars 2007
  • Tribune libre - 2007

Charest : disqualifié à tout jamais

  • Robert Bertrand
  • 6 mars 2007
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Pourquoi est-ce "si" difficile ?

  • Robert Bertrand
  • 1 mars 2007
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Les sondages : un autre moyen de manipuler ?

  • Robert Bertrand
  • 28 février 2007
  • Québec 2007 - la question nationale
  • 2 commentaires

Lucien Bouchard : le lucide pour qui ?

  • Robert Bertrand
  • 12 janvier 2007
  • Tribune libre - 2007

Sorry, I don't speak french

Lettre ouverte à Graham Fraser

  • Robert Bertrand
  • 18 avril 2006
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Commentaires de Robert Bertrand

  • Henri-Paul Rousseau, Don Quichotte de la Caisse

    27 mai 2009


    Les déposants à la Caisse, ce sont les organismes qui sont au service des Enseignantes-enseignants, des infirmières-infirmiers, des fonctionnaires du gouvernement, ce sont les responsables de la CSST dépositaire des sommes d'argent versées tant par les propriétaires engageant des employéEs, et par les divers employéEs de ces propriétaires -- les PME comme les grandes compagnies --.

    Enlevons la source des sommes d'argent versées à la CAISSE et exigons des organismes qui versent ses sommes d'argent à voir AILLEURS.

    Je ne sais pas, mais on pourra nous dire si l'organisme de la CSN et/ou de la FTQ ne pourrait faire mieux que ceux de la Caisse ?

    Au besoin, s'organiser ensemble, pour se donner une entreprise d'investissements autre que la CAISSE ?

    « Nos voisins de l'Ontario permettent aux caisses de retraite de choisir où ils déposeront leur argent. Et on a pu voir que, devant les turbulences économiques, ces caisses font de bien meilleures performances que la nôtre. »

    « François Bonnardel, a proposé au ministre Bachand de débattre de la possibilité de scinder la Caisse et de laisser l'opportunité aux déposants de choisir où ils veulent placer leur argent. De plus, l'ADQ demande une enquête approfondie du Vérificateur général ou une commission d'enquête publique pour avoir les vraies réponses aux questions des Québécois. »

  • L’indépendance est un projet révolutionnaire qui nécessite une action révolutionnaire

    25 mai 2009


    Madame Ferretti,

    Femme engagée, femme d'une ténacité vibrante et constante, je veux vous saluer.

    Je me permets de citer une intervention que vous nous faisiez en 2003 suite à l'élection de Jean Charest sous le titre suivant : Comment mener le combat, 2003/04/15.

    Vous nous prépariez à ce combat en soulignant :

    « Si en 2003, la nécessité de l'indépendance ne repose pas sur les mêmes objectifs immédiats que dans les années 1960, l'enjeu principal, lui, demeure le même : donner au peuple québécois le pouvoir de s'autogouverner dans tous les domaines collectifs de l'activité humaine, le pouvoir d'assumer seul et pleinement son destin national et, qu'on aime cela ou pas, cette réalisation repose sur l'engagement de la majorité historique du peuple québécois, soit sur l'engagement de la nation canadienne-française et des Québécois et Québécoises de toutes autres origines qui partagent ses aspirations. »

    Pour les intéressés, voyez la page citée.

    Comment, maintenant, mener victorieusement ce combat?

    « D'abord en faisant confiance à notre peuple, à tout notre peuple.

    Ensuite en évaluant correctement nos forces et en les conjuguant. Car, malgré les apparences contraires, elles sont nombreuses.

    La première, sur le plan politique, demeure le Parti québécois, précisément parce qu'il est dans l'opposition et qu'il peut de ce lieu, après dix-huit ans d'un exercice non concluant du pouvoir, non seulement repenser entièrement sa stratégie en fonction d'une reprise du pouvoir fondée clairement sur un appui du peuple à un projet de réalisation de l'indépendance, mais aussi repenser son objectif, abandonnant une fois pour toutes les options de souveraineté-association, souveraineté-partenariat, reconfédération etc. et en se redonnant un programme social-démocrate cohérent. Car, qu'on aime cela ou pas, la mobilisation de notre peuple pour sa libération nationale n'est possible que dans la proposition d'un projet de société progressiste. C'est d'ailleurs ce qu'ont prouvé en 1995 les mémoires et débats présentés et tenus lors les commissions sur la souveraineté.

    La deuxième, étant l'ensemble des mouvements indépendantistes et des mouvements sociaux, communautaires et syndicaux progressistes qui peuvent et doivent revendiquer par tous les moyens, sans relâche et sans restrictions (comme celle par exemple de nuire au Parti québécois) des politiques économiques, sociales et culturelles favorables à l'affirmation nationale, sociale et culturelle du peuple québécois, mettant ainsi en lumière l'incapacité du Part libéral à gouverner le Québec selon les aspirations et les besoins du peuple.

    La troisième et non la moindre, c'est l'union redevenue possible entre le Parti québécois et tous ces mouvements de revendication nationale et sociale.

    Bref, il nous reste à nous remettre à la tâche avec la conviction que nous avons de nombreux acquis, suffisamment d'expérience pour ne pas répéter nos erreurs, et, au pouvoir provincial, un ennemi facilement identifiable à combattre.

    Continuons le combat avec confiance, détermination, courage et en toute solidarité. »

    Andrée Ferretti.
    =================
    Madame Ferretti,

    Vous le savez plus que quiconque. Le peuple a donné le pouvoir au Parti Québécois à plusieurs reprises. Lorsqu'au pouvoir, ils n'ont pas su assumer leurs responsabilités.

    Qu'est-ce donc qui les empêchait ?

    Un minimum de conviction, un minimum de courage, un minimum de décisions. AFFIRMER LE PAYS ET L'ASSUMER. Les mots qui veulent dire les choses : Avant l'élection, en période électorale, après l'élection.

    Ce que l'on exige du PARTI QUÉBÉCOIS, c'est d'avoir UNE PAROLE en tout temps.

    Robert Bertrand

  • L'indépendance en marche

    25 mai 2009


    Quand il y a de la casse... les médias sont là !

    Comme s'il fallait annoncer un grand désordre... là ils couvriraient et enverraient tous leurs bonzes. Il faut faire peur pour être dans leurs journaux !

    Quelque chose de tranquille... ce n'est pas pour eux !

    Quand les journalistes ont besoin du peuple pour défendre leur cause de liberté de la presse, ils savent nous rejoindre.

    Le retour de l'ascenseur n'existe pas.

    Personne n'offre d'enveloppes brunes... Alors, ils ne sont pas là.

  • De retour dans le rouge

    3 avril 2009


    Savoir assumer notre présent et notre avenir

    OUI pour notre santé,
    OUI pour nos familles,
    OUI pour notre éducation,
    OUI pour nos garderies,
    OUI pour nos polyvalentes,
    OUI pour nos CÉGEPS,
    OUI pour nos universités,
    OUI pour nos centres de recherches
    OUI pour notre agriculture,
    OUI pour notre industrie forestière,
    OUI pour notre industrie minière,
    OUI pour notre aluminium,
    OUI pour nos emplois,
    OUI pour nos régions,
    OUI pour notre électricité,
    OUI pour notre bois d'oeuvre,
    OUI pour nos richesses naturelles,
    OUI pour notre développement social,
    OUI pour notre culture,
    OUI pour nos artistes et nos représentants culturels sur toutes les scènes internationales,
    OUI pour notre radio et télévision du Québec,
    OUI pour notre économie,
    OUI pour notre CAISSE,
    OUI pour nos PME et leurs développements,
    OUI pour nos grandes entreprises qui font notre honneur dans notre monde,
    OUI pour notre prise en mains pour mener nos affaires intérieures et extérieures,
    OUI pour notre Constitution du Québec pour l'assurance de tous nos droits et nos responsabilités,
    OUI pour nos allocations pour tous les jeunes de nos familles,
    OUI pour nos pensions de vieillesse du Québec,
    OUI pour notre gouvernement qui gouverne avec toutes nos taxes et tous nos impôts,

    OUI à NOTRE PAYS DU QUÉBEC.

    Robert Bertrand

    ps: D'autres raisons ? À votre tour d'ajouter.

  • Une erreur historique

    28 mars 2009


    Vendredi, dans un fil de presse CNW, Telbec, on apprend que :

    « Au net, le FSST enregistre donc un déficit de 3,4 milliards de dollars. »

    Il s'agit de la CSST regroupé en fédération des travailleurs. Il faut savoir que « le Régime québécois de santé et de sécurité du travail est financé par les entreprises du Québec. » En conséquence, les travailleurs et les entreprises, s'il devait arriver des accidentés, pourraient devoir payer des augmentations importantes pour refaire leurs fonds de sécurité.

    La CSST et les travailleurs ont perdu 3,4 milliards de leurs sommes placées dans la Caisse de Dépôt. Ne faut-il pas mettre cela en perspective avec les autres fonds qui ont des avoirs dans la Caisse ?

    « La Caisse investit les fonds que lui confient plusieurs régimes publics de retraite et d’assurances, et divers organismes publics. Au 31 décembre 2007, l’actif net de la Caisse (à la valeur marchande) totalisait 155,4 milliards de dollars. Les principaux déposants et leur participation respective au dépôt (à la valeur marchande) étaient les suivants :

    http://www.finances.gouv.qc.ca/documents/financement/fr/FINFR_QC_18K_20090203.pdf

    la CARRA, 54,3 milliards de dollars,

    la RRQ, 34,8 milliards de dollars,

    le Fonds d’amortissement des régimes de retraite, 32,0 milliards de dollars,

    la Commission de la construction du Québec, 11,8 milliards de dollars,

    la Commission de la santé et sécurité du travail, 11,0 milliards de dollars et

    la SAAQ, 8,3 milliards de dollars.

    =====
    On le voit bien : 3,4 milliards de perdus sur un placement de 11,0 milliards.

    Imaginez les pertes des autres groupes présentés plus haut.

    Baptiste va payer, va payer et va encore payer.

    Et pour se bien protéger, on nomme Michael Sabia !

    Charest et Forget devaient nommer un « petit président » celui du Conseil d'administration et cela a passé deuxième. Il fallait déclencher des élections pour satisfaire aux besoins de Charest et Cie.

    La Caisse a un budget de 186 milliards au 31 décembre 2008. Le Président de la Caisse avait démissionné,( Henri-Paul) il y en avait un autre temporaire ... mais malade... il s'est retiré... après quelques mois. Et Charest a attendu fin février, début mars pour nommer Michael Sabia, sans passer par les façons de faire officielles que le Gouvernement du Québec a établi pour les nominations.

    Charest a été élu avec moins de 33 % des votes. Et il gère le Québec tout seul sans l'accord des autres partis politiques élus en l'Assemblée nationale.

    Et on se laisse faire...

    Dans d'autres Pays, les citoyens descendraient dans la rue pour réclamer la démission d'un tel incompétent.

    Les autres qui sont élus... peuvent-ils assumer correctement la relève ?

    Si on y croyait... !!! Il nous faudrait être sûr d'une relève. Peut-on croire en tous ceux et celles qui sont là qu'ils vont assumer le Pays du Québec pour servir les citoyens et citoyennes du Québec ? En qui avez-vous confiance ?

    Robert Bertrand

  • Que faire, maintenant ?

    24 mars 2009


    Je viens de créer un groupe sur FACEBOOK.

    NOUS SOMMES QUÉBÉCOIS, NOUS SOMMES DU PAYS DU QUÉBEC

    http://www.facebook.com/group.php?gid=72197213960

    C'est une invitation à tous ceux qui sont sur FACEBOOK, à venir s'affirmer du Pays du Québec.

    J'y ai ajouté le texte qui vient de paraître sur Vigile, également.

    Il faut s'en sortir. Il faut « se dire », il faut s'affirmer.

    Robert Bertrand

  • Lettre ouverte à Michael Ignatieff

    24 mars 2009


    Il reste à « se dire », à s'affirmer pour ce que l'on est et pour ce que l'on veut.

    Le discours doit être simple, clair et efficace.

    Nous sommes Québécois. Nous sommes du Pays du Québec.

    Nous sommes de la Nation Québécoise et nous n'avons pas à nous faire dire que nous sommes à l'intérieur du Canada pour que notre Nation soit reconnue.

    Nous nous reconnaissons de la Nation Québécoise, à l'intérieur comme à l'extérieur de votre Canada.

    Nous sommes du Peuple Québécois et nous n'avons pas à être sous la tutelle d'un autre Peuple pour nous faire reconnaître.

    La seule chose que vous voulez, LIBÉRAUX ou CONSERVATEURS du CANADA, c'est de nous voir et nous considérer à votre service et au service de votre Canada, de nous reconnaître d'une nation inférieure à la vôtre puisque vous daignez nous reconnaître comme Nation mais à l'intérieur de votre Nation CANADIAN.

    NON, MERCI. Et ça se dit bien.

    Qui êtes-vous donc pour vous considérer tellement supérieurs ?

    Dans le monde d'aujourd'hui, nous sommes égaux en droit. Nous ne sommes pas sous votre tutelle.

    Nous sommes ce que nous sommes : des Québécois et nous nous faisons représenter dans votre Canada par les ÉLUS DU QUÉBEC aussi démocratiquement élus que tous les autres élus de votre Canada.

    Ne pas vouloir que nos élus soient vos égaux en droit et en représentation, c'est un déni de droit ! Vous êtes complices de ce que font les Conservateurs de votre Canada.

    LIBÉRAUX ou CONSERVATEURS : c'est du pareil au même.

    Vous êtes ce que vous êtes : des CANADIANS.

    Nous sommes égaux, en droit ! Et nous sommes QUÉBÉCOIS.

  • Diane Francis peut bien rire

    13 mars 2009


    Il est bien possible de dire que « Le peuple Québécois n'a pas assez souffert » jusqu'à présent. Certains ne nous disent-ils pas que « l'on a ce que l'on mérite ? »

    Nous avons notre État du Québec, notre Nation est reconnue, -- en sommes-nous bien conscient ? -- nous avons notre territoire, notre propre Assemblée nationale, nous prélevons nos propres impôts. Et que fait-on avec tout ça ? Prenons-nous la mesure de notre État ? De notre Nation ?

    Il faut faire parler nos représentants pour bien se rendre compte de leur petitesse, de leur manque de responsabilité, de leur manque d'envergure ?

    Ne faut-il pas se considérer petit que de dire que notre gouvernement en est « un de services » dixit Madame Monique Jérôme-Forget ?

    Ne faut-il pas manquer à ses responsabilités que de devoir attendre trois et quatre mois pour nommer un Président actif du Conseil d'administration de la Caisse de Dépôt ?

    Ne faut-il pas manquer d'envergure que de ne pas assumer la responsabilité immédiate de devoir nommer un Président de la Caisse de Dépôt alors que l'autre était disparu de la place depuis plusieurs mois ?

    Le Gouvernement du Québec a un budget de quelque 63 $ milliards par année et nous élisons 125 représentants pour administrer ces quelques 63 $ milliards. On s'occupe de quoi au juste pour dépenser 63 $ milliards ? Plus des 2/3 de ce budget sert pour l'éducation et la santé. Cette année, on placerait dans les ponts, les routes, les autoroutes 11, 12, 13 $ milliards de dollars.

    L'Assemblée nationale du Québec aurait-elle créer un monstre en devenir lorsqu'elle a mis sur pied la Caisse de Dépôt et Placements ?

    On pense, dans nos humbles analyses, que l'Assemblée nationale nous représente. C'est stupéfiant comment nous, le peuple, nous n'avons aucun pouvoir véritable, efficace, normal, logique sur cette Assemblée nationale et tous les corps créés pour servir l'ensemble de notre société.

    La vraie question, vous nous la posez : « Les Québécois peuvent-ils faire confiance ... ? » Certainement pas dans les gens qui sont là, supposément pour servir notre Peuple.

    Ne vit-on pas dans une « dictature parlementaire » sous l'apparence d'une démocratie ? Il n'y a pas de garde-fou, ils sont là pour quatre ans... nous disent-ils !

    Il n'y a qu'un chauffeur au volant et il assume des responsabilités qui le dépassent. Il se fait dicter ceux qu'ils nomment !

    Comment, dans cette lugubre démocratie dans laquelle nous vivons, pouvons-nous reprendre le contrôle du volant ?

    Des pantins au service des financiers. Voilà ceux et celles qui nous servent actuellement. À faire vomir !

    Que ceux et celles qui voient des façons de s'en sortir viennent à notre rescousse. Il y a urgence en la demeure.

    Robert Bertrand

  • TGV : Montréal-Toronto-Windsor ou Montréal-New York?

    5 mars 2009


    Définitivement, MONTRÉAL-NEW-YORK.

    S'ajouteront d'autres TGV QUÉBEC-MONTRÉAL, GASPÉ-RIMOUSKI-RIVIÈRE-DU-LOUP-QUÉBEC

    S'ajouteront d'autres TGV aux États-Unis qui rejoindront BOSTON-NEW-YORK, PHILADELPHIE-NEW-YORK, WASHINGTON-NEW-YORK., BUFFALO-NEW-YORK, NEW-YORK-MIAMI.

    L'effondrement des constructeurs automobiles ouvre la voix vers les TGV entre toutes les grandes villes Américaines.

    Favorisons le développement des TGV pour une circulation plus rapide vers des populations qui nous sont plus favorables que d'autres.

    Toute la côte EST américaine nous est acquise à l'ensemble des Québécois. On est chez-nous, chez eux.

    On est loin d'en dire autant lorsque l'on va vers Toronto.

    Alors, notre voix est tracée. On va à la rencontre des amis. C'est le TGV qui nous y amènera !

    C'est le TGV qui nous mène, qui nous mène, c'est le TGV qui nous mène partout !

    Robert Bertrand

  • Lettre ouverte à la présidente du Mouvement Desjardins

    4 mars 2009


    Je me permets de remonter à la création de la Caisse de Dépôt et Placements.

    Qu'est-ce qui se passait, avant la création de cette Caisse ?

    Rappelons-nous que Jacques Parizeau est allé négocier directement à New-York les emprunts nécessaires pour la nationalisation de l'électricité. Il passait, en ce faisant, par dessus la tête des courtiers financiers de Montréal et de Toronto qui imposaient au Québec une façon de faire telle qu'il fallait toujours être à leurs services. Ils étaient les boss du système financier Canadian et voilà qu'un Québécois allait directement à New-York pour financer le Québec. C'était vivre une débandade certaine pour tous les courtiers de Montréal-Toronto.

    L'expérience vécue par Jacques Parizeau aidée en cela avec les lois pour les employés de l'État du Québec qui se syndiquaient et qu'il y avait des retraites à payer, pourquoi ne pas créer un organisme qui servirait les intérêts du Québec et des Québécois ?

    C'était nous enlever les courtiers de la haute finance entre les jambes qui avaient soumis Duplessis plus d'une fois. Il fallait emprunter, pour l'électrification rurale, pour la création des industries des pâtes et papier qui se soumettaient aux courtiers qui servaient leurs propres intérêts et leurs propres entreprises d'abord.

    C'est au début des années 60 que furent créés la Caisse de Dépôt et les grands organismes de la finance telle la Société Générale de Financement, la CSST, les Régies des Rentes et autres.

    C'était le modèle Québécois qui se créait. On pouvait également aider, avec les finances ainsi amassées le développement économique du Québec. Québec Inc est né. Le « modèle québécois » prenait forme.

    Qui nous a parler d'aborlir le « modèle Québécois » si ce n'est pas Jean Charest et ses comparses ? Le Québec devait devenir Canadian et accepter le modèle Canadian. Une vision diamétralement opposée au modèle particulier « québécois ».

    En rejetant le modèle Québécois, c'est Bay Street, c'est Toronto, ce sont les banques dont l'ensemble des Sièges Sociaux s'établissent ailleurs qu'au Québec, donc, à Toronto qui doivent prendre toute la place dans leur Canada !

    Mais, le modèle Québécois progressait quand même avec les Caisses Populaires, avec la Caisse de Dépôt, la SGF et autres organismes commes les fonds de solidarité de la FTQ et de la CSN.

    Monsieur Louis Vachon de la Banque Nationale n'hésite pas à tirer « à boulets rouges sur ses concurrents »

    http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca:80/economie/canada/200902/27/01-831959-banque-nationale-louis-vachon-tire-a-boulets-rouges-sur-ses-concurrents.php

    Ces concurrents sont de Toronto, ( Banque Royale (TSX:RY), de la Banque Toronto-Dominion (TSX:TD), de la Banque de Montréal (TSX:BMO) et de la Banque CIBC (TSX:CM) ).

    Avant que Monsieur Henri-Paul Rousseau ne parle, ne faut-il pas comprendre et analyser ce qui est possible avec ce que nous a déjà dit Monsieur Vachon de la Banque Nationale ?

    « Le lien de confiance a-t-il été rompu? «Sans aucun doute», a admis Louis Vachon, qui se réjouit du même souffle que les banques étrangères se soient largement retirées du marché canadien dans la foulée de la crise. »

    « M. Vachon a carrément reproché aux dirigeants des grandes banques de Toronto d'avoir renoncé à leurs bonis et aux institutions étrangères d'avoir été à l'origine du fiasco du papier commercial adossé à des actifs (PCAA). » Ici, n'y a-t-il pas des sous-entendus que nous devrions chercher à comprendre ?

    « C'est clair, d'ajouter Monsieur Vachon, qu'on va être beaucoup plus méfiants face aux produits qui vont venir de certaines de ces banques-là », a-t-il dit, en faisant tout de même remarquer que certaines, comme la britannique HSBC, avaient soutenu le PCAA.

    Est-ce un complot ? Une volonté ferme de mettre le Québec et tous ses organismes à leurs places ? --- SOUS LA TUTELLE DES VRAIS : des Canadians !

    Monsieur Vanchon nous dit en des termes politiquement corrects : « Si on s'est floués, on s'est floués nous-mêmes. (...) Honte à nous de nous être mis dans cette situation-là.»

    Bref : on s'est fait FOURRER par des FOURREURS !

    Pertes chez la Caisse de Dépôt, pertes à la Banque Nationale, pertes chez Desjardins. Et les profits ? Voyez les rapports officiels des diverses banques. Est-ce qu'on y voit une différence ?

    Un seul dit clairement qu'on s'est fait FOURRER. Les autres sont-ils devenus des collaborateurs de la volonté de Toronto au lieu de servir les intérêts des Québécois ?

    Robert Bertrand

  • Lettre ouverte à Patrick Bourgeois

    24 février 2009


    Ce n'est pas seulement une affaire du Parti Québécois monsieur Archambault.

    C'est l'Assemblée nationale composée des Libéraux, du Parti Québécois, de l'ADQ et de Québec solidaire. Un vote unanime, l'Assemblée nationale n'arrive pas à faire fléchir l'autre Gouvernement.

    Ce n'est pas la première fois. Un vote unanime de l'Assemblée nationale n'a pas empêché le rapatriement de la constitution.

    Les citoyens et citoyennes du Québec, par la voie démocratique par excellence de son Assemblée nationale ne sont pas écoutés, ne sont pas entendus, en d'autres lieus. Un vote unanime n'a aucune valeur alors que cette Assemblée défend des options démocratiques, les plus fondamentales.

    Jean Lesage savait parler de l'État du Québec et il était écouté sous l'autre scène. Il savait affirmer l'État. Il savait que la population était très majoritairement derrière les positions qu'il défendait. Maître chez nous !

    Présentement, qui parle pour le Québec tout entier ? Un vote unanime de l'Assemblée nationale devrait manifestement être entendu et compris, n'est-ce pas ? Mais il ne l'est pas ! Personne ne répète : Maîtres chez nous ! On n'est pas maître dans notre cabane !

    Jean Charest, tout seul, dit que l'affaire des Plaines, ça regarde le Fédéral. Même si ça dérange le bon ordre au Québec. C'est l'affaire du Fédéral. Il sait faire mettre à l'ordre tous ses députés, son caucus, son groupe. Mais il ne peut contraindre une petite organisation qui veut amener des soldats d'une autre époque pour faire un spectacle.

    Madame Marois sait contrôler son monde à l'intérieur de son groupe. Elle sait, quoi qu'elle aurait pu dire, elle sait qu'elle ne pouvait arrêter une petite organisation des Plaines de faire ce qu'elle veut sur le territoire du Québec. Est-ce qu'on est en territoire du Québec ? Même une partie de la colline appartient à l'autre gouvernement. Ils ont essayé de faire comprendre à l'autre gouvernement de rétrocéder une partie de la colline parlementaire de Québec... et jusqu'à présent, ils n'ont pas réussi. Si l'Assemblée nationale ne réussi pas... Qui donc va réussir ?

    Mais pour cracher sur les nôtres, sur un petit groupe de Québécois qui fait le travail qu'eux ne veulent pas faire, ne peuvent pas faire... là ils ont la gueule ouverte avec la contribution de tous les médias aussi moribonds les uns que les autres. Ces médias du Québec reçoivent pourtant des sommes d'argent pour de la publicité venant du Québec en conséquence de tous les Québécois et Québécoises.

    Ces médias contrôlent qui va venir sur leurs ondes, qui va être publié dans les journaux, qui va paraître à leur télévision. Ils ont le monopole. Tout ce beau monde se parle entre eux, ils s'invitent mutuellement, établissent des contrats de collaborations entre les divers médias. Mais, l'Assemblée nationale du Québec ne réussi pas et cela ne fait pas scandale, cela ne fait pas les manchettes, cela les éditorialistes collaborateurs de l'autre système abrillent toutes les conspirations de domination du Québec. Que reste-t-il ?

    Oui, Monsieur Archambault, on peut bien parler de ce qui pourra se faire par la suite, avoir nos beaux discours démocratiques. Vous montrez des cheminements qui pourront se faire pour l'avenir. J'en suis. Mais là, il y a un bris fondamental de représentation démocratique, ici et maintenant. Et c'est ce qu'il nous faut comprendre tous, tant que nous sommes.

    Ce qui m'apparaît le plus important, c'est de faire comprendre que nous sommes dans une situation sans issue.

    Nos êtres politiques, une fois élus, sont dans leurs bulles et fonctionnent en s'imaginant que le peuple est avec eux dans toutes leurs activités. Si c'était vrai, ce qui arrive n'arriverait pas.

    Cela me semble important de bien connaître l'état de la situation actuelle. La bien décrire, la bien comprendre et voir, ensemble, élus et citoyens, ce qui doit être fait.

    Nos élus sont divisés et notre peuple est divisé. Il faut un consensus pour poursuivre. Pour réaliser un consensus, il faut parler, s'entendre, se comprendre, se lire, dialoguer et poser des gestes démocratiques qui comptent.

    Cela prend un chef de file. Vous le voyez à l'horizon ?

    Internet nous permet de se parler, de s'écrire. Il y a des façons de faire que nos élus n'osent pas et ne veulent pas encore utiliser. Obama en a fait la démonstration. Il peut aller sur toutes les scènes maintenant parce qu'il sait qu'il y a tout un auditoire réel et virtuel qui est à son écoute.

    Tout peut changer si on se donne les moyens d'assumer ses responsabilités.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

  • Perspectives nouvelles de l'indépendance

    23 février 2009


    Pour la première fois, il y avait une séquence d'échanges avec Madame Nicole Hébert qui nous conduit vers celle-ci qui devient l'aboutissement logique pour répondre aux besoins actuels de notre temps.

    Je dis OUI. Voilà un cheminement qui est parti et qui doit se poursuivre.

    On ne peut s'attendre à moins que rien de notre Assemblée nationale actuelle puisque tous les votes à l'unanimité n'ont strictement rien donné.

    L'Assemblée nationale, présentement, face à Ottawa, n'a aucune valeur de poids politique parce que divisée sur le fonds : le Pays du Québec, l'État du Québec. Cette Assemblée nationale est devenue, aux yeux de nos adversaires, une grande municipalité qui attend des ressources de l'extérieur alors que tout est sous nos pieds. On vit dans un PAYS EN ATTENTE.

    L'Assemblée nationale actuelle est seule, elle est déconnectée de la base, déconnectée du peuple. Il faut se l'admettre les décisions de l'Assemblée nationale à l'unanimité vallent encore moins qu'un groupuscule qui travaille avec ses membres.

    Il y a une lumière étincelante actuellement : elle est entre les mains du seul journal papier vraiment voué à l'Indépendance du Québec. Les responsables travaillent depuis des années avec leurs membres qui sont virtuellement connectés pour le Pays du Québec.

    Merci à vous Monsieur Verrier d'en faire état. J'appuie volontiers vos propos :

    « ...le vaisseau amiral se constitue hors du PQ et possiblement hors de tout parti politique. (...) Lorsque le fruit aura suffisamment mûri, grâce ou en dépit de certains partis politiques, ces derniers, pressés par l’opinion publique, voudront alors cueillir opportunément ce beau fruit pour nous accompagner dans le dernier droit menant à l’indépendance. »

    La constitution américaine ne débute-t-elle par par ces mots :

    « NOUS, LE PEUPLE »

    Puisque la voix de l'Assemblée nationale ne porte plus, c'est la voix de « NOUS, LE PEUPLE » qui fera avancer les choses.

    Robert Bertrand, rédacteur,
    Québec un Pays

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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