Une woke toxique fait tomber des têtes (blanches) au Musée d'Ottawa
9 novembre 2023
Encore un autre exemple de nomination motivée par l’idéologie woke qui tourne au vinaigre. À la Ville de Montréal, l’haïtienne de race noire Dominique Ollivier y est allée de dépenses somptuaires de dizaines de milliers de dollars de fonds publics sur une période de plusieurs années pour se permettre toutes sortes de luxes abusifs, signe qu’elle avait bien compris le système et entendait en profiter à fond.
L’haïtienne de race noire Dominique Ollivier savait pertinemment que si elle se faisait pincer, elle pourrait s’en sortir facilement en invoquant qu’on s’en prenait à elle uniquement parce qu’elle est noire racisée et qu’on devait retirer toutes les allégations.
En réagissant de cette façon, l’haïtienne de race noire Dominique Ollivier sait que personne n’osera porter plainte contre elle, exactement comme les policiers de Montréal n’osent plus arrêter les gangs de rue formés d’haïtiens, d’africains et de maghrébins. Ils se font tout de suite menacer de poursuites pour racisme et ciblage.
Le wokisme s’est infiltré dans trop d’organismes gouvernementaux et public. Un grand ménage salutaire est indiqué. Redonnons les emplois à ceux qui le méritent. Un immigré ne devrait jamais pouvoir voler l’emploi qu’un Québécois véritable peut combler.
Dans ce dossier, la Ville de Montréal est coupable de ne pas avoir exercer suffisamment de surveillance, les dépenses injustifiées reprochées s’étendant sur une période de plusieurs années.