L'échec d'Hugo Chavez au Vénézuéla
4 octobre 2010
Sans intention d’offenser les âmes sensibles ancrées hors de la réalité
Monsieur Vincent,
La misère et toutes les autres atrocités que vous révélez sous un ‘’anonyme’’ interposé sont dues à ces nombreux facteurs : corruption institutionnalisée, idéologies anachroniques, analphabétisme fonctionnel, affrontements religieux et ethniques, anarchie politique, imposition de dynasties totalitaires, guerres fratricides, obscurantisme et fétichisme, inefficience et tribalisassions du travail, libre arbitre des mœurs arriérées ou aliénants… Or, toutes ces conditions de servitude, de castration sociale et de violence sont imposées par des groupes mafieux, des carriéristes sans scrupule et véreux, des dictateurs sanguinaires, des messianiques pervers, des traîtres de leur peuple et nation, ou encore par des nomenklaturas de tout acabit organisées en factions pour assujettir le plus grand nombre de sujets au nom de l’utopie de l’égalité et de la fraternité servant comme système d’organisation de développement socioéconomique…
Si au lieu de dénoncer ces barbaries l’on travaillait à les éradiquer, sans emprunter la voie de la fausse conscience comme le font ceux qui sont ancrés hors de la réalité, le monde ne serait pas pris avec cette armée de combattants des causes perdues, communément appelés les « fabricants de misère ». Les vrais complices de la pérennité de la pauvreté dans le tiers-monde.
JLP
-..-..-..-..-..-..-..-..-
Note. Montesquieu avait écrit son classique « De l’Esprit des Lois » dans le but de démontrer comment le monde des relations entre les être humains est conditionné à la nature des choses. En ce sens, tous les êtres humains ont les conditions de vie selon leurs capacités évolutives qu’ils veulent se donner, créant des espaces propices à leur développement individuel et collectif, à condition de se donner des lois destinées à minimiser le plus possible l’autodestruction quasi connaturelle des personnes ayant du pouvoir, afin d’éviter la corruption et l’anarchie politique inhérentes à toute organisation sociétale. En d’autres mots, où il y a des systèmes de pouvoir totalitaire, les lois n’ont de valeur que pour ceux qui contrôlent et monopolisent ces régimes despotiques comme l’histoire l’a révélé en nous montrant les atrocités du communisme, socialisme, nazisme ainsi que celles commises par la théocratie des ayatollahs.