Depuis le début beaucoup d'indépendantistes ont réalisé que seul Pierre-Karl Péladeau pouvait faire avancé le Parti Québécois ET pouvait battre Couillard et ses PLQistes.

Nous sommes rendus fin avril et ça commence drôlement à ne plus viser l'ennemi mais à tourner les canons contre nous-mêmes.

L'objectif premier c'est de s'élire un chef. Deuxièmement, battre les libéraux et troisièmement faire un PAYS.

SVP restons respectueux du choix de chacun car après la course, nous devons aborder le deuxième partie de l'OBJECTIF. Nous devons rester unis plus que jamais.

1- Il est devenu normal pour des médias d'ignorer totalement les actions jugées malsaines par la population du gouvernement libéral de P.Couillard.

2- Il est maintenant normal que les médias "oublient" les situations dangereuses comme les amitiés de criminels de P.Couillard et même le défendent sans avoir effectuer d'enquêtes sur ses proximités inhabituelles.

3- Un journal comme Le Devoir qui a toujours eu une ligne éditoriale avec un penchant nationaliste laisse des chroniqueurs comme Michel David ponde des chroniques profondément anti-PQ qui vont même jusqu'à se moquer du candidat Pierre-Karl Péladeau laissant entrevoir une haine inexplicable qui va jusqu'à un manquement sérieux de professionnalisme journalistique.

4- Radio-Canada, RDI, LCN font des entrevues et des reportages qui sentent la partisannerie fédéraliste crasse comme si ces médias nous prenaient pour des imbéciles heureux. Là aussi le professionnalisme journalistique manque totalement.

5- Le mouvement indépendantiste constate avec consternation le travail partisan qu'effectue la FPJQ dans ses déclarations ou décisions. Indéniablement, cette Fédération ne peut défendre les positions des adversaires de Gesca, Bell et autres commanditaires préférés.

Pour ces raisons, je trouve maintenant nécessaire que nous maintenions un site tel que Vigile car c'est évident que les indépendantistes ne se retrouvent que rarement dans les médias susmentionnés.
Prenons les mesures pour que Vigile soit suffisamment forte.

En passant je ne fais pas de publicité pour Vigile, je ne connais personne sauf par noms mais à mon avis l'importance du site est de plus en plus grande.

Fernand Lachaine

Comme on sait, le NON a volé le référendum de 95. Comme de raison le camp du OUI n'avait pas pensé que le ROC, le PLQ et Ottawa ne joueraient pas franc jeu.

Dans cette course à la chefferie, un seul candidat a pensé que le NON pouvait rejouer ce même scénario, c'est Pierre-Karl Péladeau.

Drôle qu'aucun autre candidat ne se soit penché sur cette éventualité et nous ait informé sur les moyens à prendre pour contourner toutes illégalités dont sont capables les ennemis des indépendantistes. Manque de gros bon sens???

Depuis le troisième débat, les choses ont commencé à se clarifier: PKP au premier tour et que ça cesse cette course interminable et pas nécessairement saine.

Ce que nous souhaitons sérieusement , monsieur Beaumont, c'est que vous vous ralliez au nouveau chef pour le bien du Québec.

Fernand Lachaine

Il y a également nos "amis/es" du SPQ Libre qui ne font pas dans la dentelle depuis que Monsieur Pierre-Karl Péladeau est considéré comme le prochain chef du PQ.

Les membres de ce petit club privé à l'intérieur du Parti Québécois n'ont JAMAIS aidé la cause. Pire, ils sont devenus un boulet pour notre mouvement en s'alliant de fait à nos nombreux adversaires politiques. Ces gens ont réussi à diviser pour faire régner l'ennemi. Et je pèse mes mots.

Un ménage qui fera disparaître ce petit club est nécessaire. Le temps des gros égos c'était hier.

Ceci dit, nous avons un candidat à la chefferie qui est le seul à pouvoir battre Couillard. PKP n'est pas un sauveur, il est un gagnant et un rassembleur. Il est donc important que nous, les membres réguliers (les sans-nom) le supportions. C'est d'une grande logique n'est ce pas?

Pour ceux et celles qui veulent continuer à faire des jambettes tant à PKP qu'au mouvement indépendantiste même, je leur suggère d'aller se faire voir ailleurs.

Merci à Monsieur Le Hir pour cet article et aussi à Vigile de nous permettre de s'exprimer. N'oublions pas de les soutenir.

Pierre Péladeau, le père de Pierre-Karl, avait cette passion pour le Québec et je suis assuré que son fils a cet objectif de faire du Québec UN PAYS libre et souverain.

Je crois aussi qu'il savait pertinemment dans quel bateau il s'aventurait. Donc les attaques des adversaires politiques ne le surprennent pas.

Ce qui est un troublant ce sont les attaques viennent de l'intérieur.

Monsieur Le Hir en parle abondamment dans sa chronique de ce matin.

À moins d'un tsunami PKP deviendra le chef du PQ au mois de mai prochain et il devra effectuer un ménage dans la maison du PQ.

C'est assez de faire les enfants de chœur. Dorénavant le PQ devra avoir du chien...

Nous faire piler dessus par certains médias, il me semble que ça devrait suffire bientôt. La présente direction du PQ n'a même pas attaqué ce sérieux problème. Les membres s'attendent à ce que des changements soient apportés car plusieurs sont "tannés" à se faire ballotter par tous et chacun, même les belles-mères.

J'ai lu ce midi l'article de madame Lévesque dans Le Devoir et j'ai dû revoir ma position.

Bien sûr, monsieur Parizeau attaque une autre fois le PQ mais....
il y va à fond de train contre les politiques d'austérité du gouvernement en place: le PLQ.

De plus ses démangeaisons contre la référendite ne m'offusque pas. Au contraire, je pense que ceux et celles qui veulent avoir un référendum dans le premier ou deuxième mandant font une erreur stratégique. L'approche de PKP en cette matière est très valable: Ne dévoilons pas ce que le PQ fera dans 3 ou 4 ans. La première étape c'est de commencer à prendre le pouvoir. Primordial.

L'autre aspect des déclarations de monsieur Parizeau c'est qu'il semble appuyer la plate forme de monsieur Pierre-Karl Péladeau en ce qui à trait au développement économique du Québec et la nécessité des petites et moyennes entreprises d'entreprendre des projets porteurs de développement de l'économie.

De plus quand il mentionne que les souverainistes devront avoir une meilleure confiance d'eux-mêmes, ça aussi fait partie du discours de PKP.

Quand on lit entre les lignes on peut décortiquer que Parizeau soutient PKP, le seul d'ailleurs qui peut ravir le pouvoir au PLQ.

Difficile à comprendre ce qui motive monsieur Parizeau, à chaque occasion, de donner son croc en jambe annuel à un parti et surtout à un mouvement qui à de la difficulté à se solidifier même avec l'arrivée de monsieur Pierre-Karl Péladeau.

Ce qui est le plus dommageable c'est qu'il donne, de par sa stature, une crédibilité à un organisme fédéral comme Radio-Canada qui a perdu depuis un bon moment l'amitié que québécois et québécoises lui portait.

Le "champ de ruines" dont il parle sont un peu le résultat de son départ précipité lors du référendum de 1995.

Comme tous et toutes nous savons que monsieur Parizeau a fait de grandes choses pour le Québec mais nous savons aussi que par son coté sombre peut faire du tort aux québécois et québécoises qui l'ont aimé.

Je sais bien que dans vos propos, vous voudriez que le Québec devienne indépendant en votant pour la gauche.
Cependant, cela n'arrivera pas en raison du fait que l'indépendance d'un pays se fait avec toutes les factions indépendantistes.
Pour tout vous dire, l'indépendance se fera avec la droite, la gauche et le centre. Avec des businessmen, des entrepreneurs, créateurs d'emploi ainsi qu'avec des gens de la classe moyenne (droite ou gauche). Seule la gauche n'y pourra jamais.
Ainsi, la candidate Ouellet aura beau parcourir de haut en bas et de gauche à droite, elle ne fera que confirmer la nécessité d'un PKP qui veut rassembler tout les indépendantistes (ce qui n'est pas une mince affaire). Allons nous compter sur votre vote monsieur Dion pour PKP ?.

Probablement sentant qu'il manquait d'appuis, il a fait marche arrière et s'est excusé d'avoir, dans ses mots, exprimer une RÉALITÉ connue de tous.

En d'autres mots PKP s'est excusé d'avoir dit vrai.

D'abord, les libéraux et la CAQ sont venus déchirer leurs chemises devant les caméras de la TV et vont le refaire à chaque fois que PKP va manquer une virgule.

Ce qui m'a le plus chagriné c'est de lire sur les réseaux sociaux des commentaires venant "d'indépendantistes" apeurés, s'excusant qu'un aspirant à la chefferie du PQ, (en fait le seul plus capable de battre les libéraux) ait dit la vérité, mais pas dans les bons mots.

PKP a commencé sa carrière politique en levant le bras droit et déclarant " JE VEUX UN PAYS". Un geste patriotique comme nous en n'avions jamais vu.

Là encore, pleurnichards, frileux, politically-correct pour faire plaisir aux fédéralistes, peureux se sont élancés dans les journaux, à la TV sur les réseaux sociaux pour déclarer que Pierre-Karl-Péladeau avait fait une erreur irréparable, qui ferait ombrage au PQ pour des années etc etc.

Je pense profondément que nous faisons fausse route.

Si nous ne pouvons pas appuyer l'aspirant le plus apte à, premièrement: gagner la course à la chefferie. Deuxièmement battre les libéraux et, troisièmement nous amener à l'indépendance c'est aussi bien plier bagage, voter pour Ouellet ou Céré, et on en parle plus.

Ce matin, PKP est politiquement affaibli, les fédéralistes se pètent les bretelles, et les indépendantistes genre " en avant les braves, sauvons-nous les voilà" attendent les prochaines réactions de Couillard, Fournier et Barrette.

Si nous voulons un PAYS il faudra s'entrer dans la tête que la route est dure, qu'il faut sans défaillance appuyer nos chefs et avoir une conviction totale que nous voulons l'indépendance du Québec.

Merci madame Ferreti pour votre texte.

De plus, suite à conversation sur Internet, il a été décelé que certains fédéralistes ont pris leur carte de membre du PQ pour voter pour tous les candidats sauf PKP dans l'espoir qu'il perde car lui seul peut gagner contre le PLQ.
Alors ceux qui veulent tout simplement l'indépendance, et au plus maudit, vont voter pour PKP. Point à la ligne.

Faut dire les choses comme elles sont.

Je suis, par contre, surpris de la tendance qu'a pris Le Devoir depuis quelques années. Les chroniques de Michel David en sont la preuve. Son acharnement contre le PQ depuis deux ou trois ans devrait soulevé des questions de la part des autorités du journal car beaucoup de lecteurs sont déçus des prises de position de leurs journalistes.

Que vous aimiez ou non monsieur Pierre-Karl Péladeau, il a été démocratiquement élu député de St-Jérôme et, avec raison, aspire à la direction du PQ. Il ne fait rien en arrière scène. Ses intentions sont connues: Faire du Québec un PAYS.

Cette prise de position claire semble en déranger plusieurs comme La Presse, Le Devoir, la FPJQ, Radio-Canada, RDI, TVA et j'en passe.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, on va même jusqu'à mesurer le temps des applaudissements des autres candidats du PQ versus celui de PKP comme analyses de la course à la chefferie. Minables compte-rendu de Lapierre de LCN, teintés de sarcastiques suant très souvent la haine.

Une chose est sûre, il ne faut pas trop se fier au travail de plusieurs "journaleux".

Il faut trier.