Le crucifix : le passage du témoin
13 septembre 2013
"Le crucifix de hier".
http://blogues.journaldemontreal.com/bock-cote/general/largument-duplessis-et-le-crucifix/
"Il s’agit aujourd’hui de développer une mémoire de réconciliation parvenant à faire la synthèse entre notre vieux passé canadien-français et la modernité québécoise, le premier s’articulant autour autour d’une logique d’enracinement, la seconde autour d’une logique d’émancipation.... Il s’agit d’un symbole identitaire majoritaire.".
"passé canadien-français", intimement relié à L'Église avec ses plus pis ses moins.Ce que Gérard Bergeron appelle "le nationalisme culturel". "La foi gardienne de la langue". Sans l'Église, nous ne serions plus là!Vais-je rejeter la photo de mon ancêtre parce qu'il était, disons, alcoolique?
"logique d'émancipation" avec la Révolution tranquille:"nationalisme étatique", selon Bergeron.
" Le crucifix à l’Assemblée nationale est là pour nous rappeler que si l’identité québécoise doit énormément à la Révolution tranquille, elle ne lui doit pas tout.". L'Histoire ne commence pas en 1960!