Tolérance zéro pour la barbarie
1 février 2014
Nous sommes en pays capitaliste, pas chrétien ou démocratique.
L'argent mène dans la sphère des corporations.
Et les corporations sont souvent possédés ou contrôlés par des Juifs. Ils ont imposé leur dérogation pour la cacheroute.
Je doute que cela date seulement depuis 1990.
Le problème de nos politiciens, c'est que le premier régime qui a su imposer des lois pour le bien-être animal, c'est le régime nazi (interdiction de vivisection et de l'abattage rituel). D'où une émigration en masse vers les Amériques et la Palestine, encouragée par ce régime.
Comme ce régime est honni, nos politiciens ne peuvent l'imiter et préfèrent empocher des contributions au Parti.
Il y a une raison pour laquelle l'abattage rituel doit être accompli ou surveillé par un rabbin (cacher) ou un imam (hallal). C'est de s'assurer qu'aucun goy/kaffir n'empoisonne la viande. Un peu comme les accusations d'empoisonnement des puits par les Juifs. Nous savons tous qu'ils ne feraient jamais cela.
Et bien sûr, nous pouvons les laisser fluorer notre eau sans problème en dehors de Montréal. Merci à Stephan Schwartz et Michael Levy d'être autant impliqués pour notre santé dentaire. Je lisais récemment que le vin rouge peut contenir le double de la concentration projetée en fluor de l'eau potable. Seagram possède plus de la moitié des vignes de la région de Bordeaux. On se souviendra que les Bronfman produisaient un whisky de contrebande avec de l'acide sulfurique et du caramel durant le temps de la Prohibition.
Cette règle de surveillance rabbinique a un sens ... pour eux.
En matière de terrorisme alimentaire, vous pouvez craindre beaucoup avec la main-d’œuvre immigrée. Paranoïaque, moi?
Mais ne généralisons pas. L'abattage rituel dérange certains Juifs qui préfèrent se retourner vers le végétarisme.
Voici Jonathan Safran Foer, auteur de If this is kosher