S.O.S. au PQ
26 mars 2014
Et si Pauline Marois nous parlait, à nous, plutôt qu'aux journalistes ?
Directement dans les yeux.
Et si les marionnettes derrière la Première retrouvaient la parole ?
Et à ceux qui nous menacent d'un référendum, si on se mettait à leur dire que l'indépendance ne nous fait pas peur, au contraire, c'est ce que nous voulons, le plus fermement du monde, parce que la liberté ça ne fait pas peur ?