L’objectif demeure tout aussi justifié. Les moyens sont à revoir
9 avril 2014
Cul de sac
Entourés de gens qui travaillent dur pour gagner leur vie qui ont probablement tous votés libéral comme la radio poubelle leur a suggérée, il m'ait apparu une évidence bien simple qui n'a rien à voir avec toutes les démarches, programmes ou calculs savants qui pourraient nous faire accéder à la souveraineté grâce à des électeurs enthousiasmés à aller voter pour le parti québécois.
La classe moyenne est endettée jusqu'au cou et n'est pas disposée à prendre le risque de voir sa situation empirée par d'hypothétiques soubresauts économiques causée par la "séparation" du reste du Canada.
Alors que le parti québécois ne peut pas garantir que les ménages deviendront plus riches du jour au lendemain; les fédéralistes ont le beau jeu pour marteler à l'unisson tous partis confondus en incluant la CAC de François Legault leurs messages catastrophiques qui pourraient nuire aux portefeuilles déjà bien minces des québécois.
Ça prendrait presque un Gandhi ou autre fils de Dieu pour convaincre les québécois de faire des sacrifices pour un pays en leur faisant oublier leurs emplettes au Centre d'achat ou voyages à Old Orchard Beach cet été sans compter toutes les factures qui s'accumulent.
Nous sommes dans un cul de sac.