Voir clair et bien faire les choses
18 avril 2014
Salutations à l'auteur. Les populations non seulement au Québec mais partout sont désabusées de la politique qui est plus que jamais associée à la dissimulation, la manipulation, les demi-vérités, les stratégies publicitaires de prise du pouvoir basés sur des enjeux fortuits, etc. Le citoyen est pris d'un vague sentiment que l'on se fout de sa gueule et qu'on abuse de sa bonne foi. Je suis en accord avec l'auteur qui prône le redressement moral en politique comme une vraie condition de victoire. Les mots «vérité», «honnêteté», «sincérité» qui reviennent dans son texte m'apparaissent des révélateurs de cette exigence de vertu sans laquelle rien ne passera, sans laquelle aucun parti ne sera élu autrement que par défaut ou par dépit. La faillite du PQ se trouve très profondément ancrée dans son manque de «parler franc».