À mes amis de Vigile
23 mai 2014
Dans les faits, se n'est pas la souveraineté qui est péril, s'est plus que ça. On appelle ça du "laisser faire" ou "laisser-aller"
Je vous donne un exemple, plusieurs journaux régionaux sont
menacés par le virtuel. Si personne ne faits rien, s'est certain que cela va se produire. Pourquoi ? Si on laisse faire, il n'y aura plus d'imprimerie, plus de livreur de journaux, plus de journaux le matin au dépanneur du coin. Plus de journaux au resto. en prenant son café. Tout va se faire sur écran dans un vase clos .
Je me rappelle un film américain ou le jeune livreur de journaux à bicyclette lance le journal sur la galerie. Il faut réagir, se concerter et surtout passer à l'action. Je pense que "Vigile" devrait à l'inverse de la mode actuel passer à une version papier et se faire connaître par un plus grand nombre de personnes.
Sinon au moins débuté par des vignettes autos du site qui vont créés une certaine curiosité.