Dans les médias, le terme technique " Djihadiste" ou "Jihadist" en Anglais a été désormais imposés comme une norme. Aucunement à connotation péjorative il y a à peine quelques années, le terme – technique – a été transformé par la bénédiction des médias mainstream en synonyme de "terroriste". C’est un exemple vivant de l’altération ou transformation étymologique utilisée par les médias de propagande dans le cadre d’une guerre sémantique.
Cet usage d’un terme technique neutre relevant d’une culture donnée n’est pas sans arrières pensées et vise bien d’autres objectifs que ce que l’on pourrait penser. Paradoxalement, même les médias des pays musulmans ont repris le terme dans sa nouvelle acception imposée par les médias mainstream alors qu’ils sont sensés savoir son étymologie et son usage.
Le Djihad ou Jihad que certains publicistes ont voulu féminiser pour le rapprocher de "guerre" ne signifie nullement "guerre sainte", un concept inconnu en Islam mais se rapproche des termes "effort", ‘travail’, "art", "habileté dans l’effort", "résistance", "maîtrise de soi" et "lutte" (à rapprocher le plus du terme chinois 花了好大工夫 signifiant grand effort)
C’est pour cela que nous n’adhérons pas à la doxa imposée par les médias dominants. Et par conséquent nous n’utiliserons pas le terme Djihadistes pour qualifier ces zombies enragés qui tuent et égorgent leurs semblables pour une simple contradiction. Il faut appeler un chat par son nom. C’est des terroristes. Point.
Bien entendu, nous avons évité d’évoquer un aspect très important en relation avec cet usage dont abusent les apprentis terroristes à travers le monde. Le hasard en ce domaine n’existe pas. La sémantique a de tout temps servi les desseins politiques des puissants. Il faut juste savoir parfois éteindre sa télé et se détendre.
Sinon on sera obligé de se faire matraquer par des opérations de guerre psychologique du type "Not in my name!" (pas en mon nom!) dirigée par le Mi6 (ou la BBC c’est du pareil au même) britannique pour brouiller encore plus une situation déjà assez confuse dans l’esprit de beaucoup de gens.
La guerre contre l'organisation «État islamique»
26/09/2014 / Ce soir (ou jamais !)
Au débat avec Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, ancien ministre des Affaires étrangères, Sophie Bessis, historienne, Markus Gabriel, philosophe, Pierre Conesa, historien, et Frédéric Encel, géopolitologue. L'émission se termine par un entretien exceptionnel avec l'économiste américain Jérémy Rifkin. Julien Doré assure la partie musicale du magazine.
http://www.france2.fr/emissions/ce-soir-ou-jamais
Une musulmane québécoise se confie
27 septembre 2014
Personnellement je serais plus portée à croire des personnes comme Fatime Houda-Pépin ou Djemila Benhabib qui sont de vrai musulmanes, mais qui dénoncent le manque de liberté des femmes dans cette religion. Cette dame de l'entrevue a oubliée quelques épisodes québécoises reliés à cette religion, comme par exemple les Shafia, un parmi tant d'autre de crime dit d'honneur fait au nom de cette religion dite de paix et d'amour qu'est l'islam. Elle parle de la charia comme d'une bonne loi, elle semble oublier que la femme, selon cette loi, est la moitié d'un homme. Donc en résumé le voile elle ne le porte pas seulement sur sa tête mais son cerveau est aussi voilé. Pour mélanger la Bible et la Torah avec le coran, il faut vraiment manquer de discernement.
Une musulmane québécoise se confie
27 septembre 2014
.
« All you need is love »
« Give peace a chance »
En quelques dizaines d'années, les hippies en ont fait plus pour promouvoir l'amour et la paix que les musulmans depuis 1400 ans.
Une musulmane québécoise se confie
27 septembre 2014
dans 10 ou 12 ans vous referez un entrevue avec elle.....j ai dit exactement la même chose et j étais tout aussi convaincante en 2000, et bizarrement j ai un article que j ai garder d un jeune français que j avais hébergé chez moi et qui étudiais le journalisme a Université Laval a Québec et don j avais été le sujet de son article sur les convertis.....
Une musulmane québécoise se confie
27 septembre 2014
Et la liberté d'opinion et la liberté de culte dans les 57 pays musulmans? Le sort fait aux chrétiens dans ces pays?
Une musulmane québécoise se confie
27 septembre 2014
13 septembre 2014 | Hassan Jamali - Auteur de Coran et déviation politique (Éditas, édition de l'AS) et coauteur de Religions et laïcité (à paraître le 24 septembre chez Fidès).
Jamali écrit dans une lettre ouverte au journal LE DEVOIR:
http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/418362/l-etat-islamique-et-l-islam-dans-tous-ses-etats
Or, ce n'est pas en répétant que l'islam est une religion de paix, même en s'appuyant sur des versets coraniques, que l'on concilie l'islam avec la modernité et le respect des droits de la personne. Les musulmans qui veulent vivre un islam pacifique et moderne (et non pas << modéré >>) doivent rompre définitivement avec la pensée islamique dominante et se débarrasser d'un héritage lourd qui les plonge dans la violence et les guerres civiles.
Or, les conditions minimales d'un islam moderne sont les suivantes :
-Il suffit de croire en Dieu et son prophète pour être musulman ;
-Détruire tout lien entre politique et religion ;
-Désacraliser le texte coranique ;
-Déclarer que les versets violents sont inopérants ;
-Déclarer les lois de la charia caduques.
Une musulmane québécoise se confie
27 septembre 2014
Dans un premier temps, je crois que d’accepter le nom ÉTAT ISLAMIQUE est une erreur de notre part. Sournoisement et très habilement, en prenant ce nom, ÉTAT ISLAMIQUE, ils forcent les gens qui les nomment ainsi à les consacrer sans légitimité comme étant un état et ce n’en est pas un.
C’est une groupe de terroristes qui se prétend ÉTAT ISLAMIQUE... Au nom des autres qui ne contestent pas.
Soyons prudent même à ce niveau et cessons de répéter État Islamique pour les identifier. Prenons le temps de dire GROUPE TERRORISTE qui se fait appeler ÉTAT ISLAMIQUE. OU qui se prétend état islamique au nom de quelques individus terroristes.
C’est selon moi un habile piège ou justement ils se présentent au noms des autres. Je reprochait depuis des années aux autres de ne pas prendre position contre les extrémistes. La guerre au terrorisme passe par le refus des autres membres de leur communauté bien avant les armes des autres pays. Heureusement, quelques uns acceptent maintenant de réagir et NOT IN MY NAME est un excellent début.
Nos journalistes tombent dans le piège de répéter l’État Islamique pire (EI) pour se simplifier la tâche mais ils jouent le jeu des extrémistes.
Jean
Une musulmane québécoise se confie
27 septembre 2014
"si tu vis dans les roses tu en prend le parfum,si tu vis dans ou à coté du fumier ,je vous laisse deviner"
Une musulmane québécoise se confie
26 septembre 2014
Très bel article Monsieur Dion !
Une musulmane québécoise se confie
26 septembre 2014
Taqiyya! C'est pas en son nom, c'est au nom d'Allah.
Une musulmane québécoise se confie
26 septembre 2014
Aussitôt que j'ai lu musulman de souche elle a perdu toute crédibilité. Musulman ne se réfère pas a un pays mais a une religions Ce qu'elle dit a propos du Coran qu'elle l'interprète mieux que des religieux de cette confession qui sont musulmans depuis 1400 ans m'étonne un peu. Nous sommes toujours dans le déni et la victimisation de ces pauvres persécutés. Leurs nouvelles ouverture ne serait elle pas du a la peur de l'exclusion voir même de l'expulsion des terres d'accueilles qu'ils ont allègrement bafoués et de leurs peuples qu'ils insultent chaque jours. Pour ma part porter le voile est un geste intégriste et anti social