Un meurtre-exécution
3 janvier 2007
le Libanais Fouad Siniora et le Palestinien Mahmoud Abbas
Les victimes deviennent les oppresseurs, classique.
http://www.jkcook.net/Latest.htm
La petite guerre
La menace du fondamentalisme et le problème de la transnationalisation
Sinon, attendons-nous à un échec déplorable!
INDÉPENDANCE POLITIQUE DU QUÉBEC 453
Si c'est «pseudo», qu'est-ce que pourrait être le «vrai» fédéralisme vs l'indépendance de facto?
Mathieu Bock-Coté fait une erreur de réalisme
Critique de «Battre les libéraux»
3 janvier 2007
le Libanais Fouad Siniora et le Palestinien Mahmoud Abbas
Les victimes deviennent les oppresseurs, classique.
http://www.jkcook.net/Latest.htm
1 janvier 2007
Comme j'écrivais, c'est ce que selom ma mémoire permettait.
J'ai lu su Internet que les associés Radisson et DesGroseilliers se sont fait confisquer leurs fourrures et emprisonnés par qu'ils n'avaient pas de permis de chasse ou de traite de fourrures.
Il faut mettre une perspective historique. Si on suit la logique économique, la société de la Nouvelle-France aurait intérêt à diversifier ses sources de traites pour maintenir son approvisionnement et pour faire baisser les prix chez ses fournisseurs amérindiens, voir couper dans la sous-traitance en envoyant les Habitants faire de la trappe. Et c'est un peu ce que fit Frontenac.
Mais il y a l'autre logique. La logique stratégique. La Nouvelle-France devait prendre une expension vers le Sud plus chaleureux. Elle avait besoin du concours des Amérindiens de ce secteur dans un réseau d'alliances qui surpasserait ceux de la Nouvelle-Angleterre, de la Nouvelle-Hollande (la Nouvelle-York d'aujourd'hui) et du Delaware suédois. Une façon de monnayer les alliances est dans les rapports commerciaux en surévaluant la valeur des peaux. Cela n'a pas d'importance si on peut revendre à fort prix, tel un cartel.
La fatigue de la guerre et les intérêts commerciaux ont incités les tribus des Grands Lacs, de l'Ohio et des territoires plus éloignés à signer la Grande Paix de Montréal en 1701. Ce qui permit l'expansion vers le Mississipi et l'établissement de la colonie de la Louisiane par Pierre LeMoyne d'Iberville.
Les colonies anglaises avaient auparavant annexé la Nouvelle-Hollande et le Delaware (Charles II, soudoyé par Louis XIV, avait rompu la Triple Alliance avec la Hollande et la Suède). Les débouchés s'amenuisaient pour les tribus indiennes. Et l'ouverture des comptoirs de la Baie d'Hudson créait une pression baissière sur le prix des fourrures du côté anglais. Les différentes tribus au sud des Grands Lacs alignèrent leurs intérêts sur une paix et une alliance avec les Français qui achetaient à plus haut prix leurs fourrures. Ils n'avaient pas l'intérêt de voir partir le dernier compétiteur de l'Angleterre.
Finalement, les Anglais comprendront la leçon et payèrent plus cher les peaux durant la Guerre de Sept Ans pour rompre les alliances françaises dans le sud des Grands Lacs, ce qui dégarnira les rangs français après 1758 et nombres de forts durent être abandonnés.
La chute de la Nouvelle-France s'accompagnera de la chute des cours de la fourrure. Et les colons américains se faisait déjà distribuer des terres dans l'Ohio. Ces évènements mèneront les tribus des Grands Lacs à se soulever avec Pontiac contre le vainqueur britannique et dans l'espoir d'un retour des Français, en vain.
28 décembre 2006
Pas question qu'un CHU bilingue. Mais je suis pour un seul CHU dans la langue officielle du Québec. Comme tout pays normal, les hôpitaux et tous les organismes gouvernementaux doivent opérer dans la langue officielle du pays. Cela n’empêche pas de donner des services dans une autre langue Nous sommes civilisés et nous laisserons pas des gens qui ne comprennent pas notre langue sans interprète.
L’État du Québec doit être aussi français que la province de l’Ontario est anglaise.
Pour assurer la pérennité du français nous devons prendre les mesures nécessaires pour y arriver comme font tout peuple qui se respecte.
SOMMES-NOUS UNE NATION OUI OU NON ?
Je dirai même que nous sommes plus qu’une nation. Nous sommes un ÉTAT-NATION.
Nous avons un gouvernement national, un territoire reconnu par la communauté universelle, une cour avec juges et lois distinctes, une majorité, une minorité, des communautés ethniques et des nations autochtones.
Nonobstant ceux qui nous traitent de nation ethnique. Nous sommes un ÉTAT-NATION
Nous avons prouvez à maintes reprises que nous formions une NATION. Lors deux référendums derniers portant sur AVENIR de notre nation. Nous l’avons prouvé parce que tous les Québécois ont eu le droit de voter malgré qu’ils fassent partie de la majorité ou la minorité ou des communautés ethniques ou des nations autochtones et même beaucoup l’ont fait illégalement nous en avons la preuve. Nous avons perdu le premier référendum et fait voler le deuxième.
Nommez moi un pays qui fait voter tous ses habitants même si beaucoup ne peuvent même pas parler la langue officielle et ne connaissent pas l’histoire du pays ?
ETC…
28 décembre 2006
ET BEN oui... !
MAIS UN POLITICIEN NE RECULE QUE S`IL Y EST FORCÉ...
IL ARRIVE QUE CE SOIT PAR SA LUCIDITÉ X SA CONSCIENCE, MAIS C`EST RARE.
LE PLUS SOUVENT, C`EST PAR LE PEUPLE.
OR, OÙ EST NOTRE FORCE ?
DANS NOS TÊTES D`ALIÉNÉS SOI-DISANT "PACIFISTE" ?
TU PARLES D`UNE "VALEUR"...: UN ALIBI , PLUTÔT !
GEORGES-ÉTIENNE CARTIER
27 décembre 2006
Vous avez bien raison, mme Évelyne, comment peut-on RE-construire un pays avec des chars d'assaut ?
Par renfort de tous les médias canadiens, Nos chars d’assaut n’ont pas servi depuis la guerre de Corée, ça faisait plus de 50 ans. Quoi de mieux une véritable guerre ! Quel belle occasion pour l’armé canadiAn. Une guerre ça coûte cher, ça prend de l’ARGENT, des nouveaux crédits, tout comme aux USA, sans guerre pas d’argent, le gouvernement fédéral, la Chambre des communes est pris en otage, tout comme le congrès des USA, nos députés doivent voter les crédits nécessaires pour la GUERRE.
Ça prend beaucoup trop d’argent ! UN dollar pour la construction vos NEUF dollars pour la guerre, quels administrateurs que nous avons ! Il faut les mettre au chômage et cela presse, mais qui mettre à leurs places. Les lobbys de la guerre et de l’argent sont trop puissants. QUOI DE MIEUX QU’UNE GUERRE POUR FAIRE ROULER L’INDUSTRIE ET L’ARGENT ! Ça me fait penser à des paroles de monsieur Parizeau, le soir du référendum. Ces eux les véritables BOSS, ces eux qui mènent le monde. Ils se fichent de l’opinion publique. Les dirigeants connus (les gouvernements) passent, ils sont remplacés et RIEN ne change. Une autre GANG, une autre clique empoche et eux aussi seront remplacés.
C’est malheureux de penser ainsi. Plus je vois aller les choses plus c’est pareil. Commission Gomery, le registre des armes à feu, j’en passe, ici, au Québec, ça pu aussi fort dans notre cour, l’usine Gaspésia, le métro de Laval, etc… le Mont Orford et ça s’en vient aux gallots : LES MÉGAS HÔPIAUX, je n’ose imaginer comment nos ADMINISTRATEURS vont gérer nos impôts. « Il manque de l’argent pour soigner les gens mais il y a des MILLIARDS pour du ciment. »
ETC...
25 décembre 2006
Le Canada : aussi actif en Irak qu’en Afghanistan !
Pourquoi ces infos deneurent cachés aux citoyens...
Il me semble qu'il y a la une belle oportunité de baisser les culotes autant des con-serviteurs que libéraux qui ne sont de plus en plus que les deux faces de la même pièce...
25 décembre 2006
Bonjour Caroline, que vous avez raison!
Je travaille pour la compagnie qui a inventé le mobile. Laissez-moi vous dire que la course à la consommation et aux profits à retirer de la vente "en succession" d'appareils de plus en plus "séduisants", ce sont bien les seuls impératifs de ces méga-corporations.
En effet, on y trouve aujourd'hui, au delà de ce qui fut au départ un simple téléphone sans fil, toute une gamme de caractéristiques - fort bien décrites dans votre billet - dont le seul but est de satisfaire les "besoins" les plus "importants" de l'individu(e) réduit(e) à n'être qu'un chaînon - anonyme cela va de soi - dans le grand cycle de la course au profit des tenants d'un certain capitalisme prédateur. On est loin des PME !
Mise en marché forcenée oblige, le consommateur se laisse séduire, sans se poser de questions! Et pourtant, il y aurait matière, ... Tout ce temps passé à pitonner, c'est du temps passé ... à ne pas
penser! Et voilà , "on" (voir ci-haut, les corp.) dispose ainsi d'un sujet malléable, facilement recyclable - ici, je parle de l'entité humaine - chez qui "on" peut stimuler les images requises en vue du prochain cycle de la course au profit.
Bien à vous, et merci,
Claude Jodoin
23 décembre 2006
Ferland et Vigneault disaient bien autre chose que ce que veut nous faire admettre André Pratte.
Hélas ! Le débat sur la nation québécoise prend des proportions curieuses et très ambigües. Il nous montre à quel point les Québécois-Français savent se tirer continuellement dans le pied.
Au lieu de s’unir et de mettre au moins un site Internet à leur service comme, par exemple, Vigile.net par un financement adéquat et de ne pas parvenir à mettre en place un fonds d’un demi million de dollars pour affirmer et défendre l’indépendance du Québec, alors les Québécois font ce qu’ils font en ce moment : beaucoup de tapage et peu d’action.
Pourtant, il y a 50 ans au moins, un historien, http://www.archiv.umontreal.ca/P0000/P0221.html Maurice Séguin, http://bilan.usherbrooke.ca/bilan/pages/biographies/421.html a étudié sur toutes ses coutures la pensée canadienne-française qui se prolonge dans la culture québécoise-française actuelle sans que nous y portions toute l’attention qu’il faudrait. Les Pratte, les Létourneau et combien d’autres seraient déstabilisés si les arguments qui se trouvent dans Les Normes http://www.rond-point.qc.ca/seguin/lesNormes.phtml étaient compris. De plus, les souverainistes seraient moins confus dans leur pensée s’ils savaient que le travail de déprogrammation mentale des Québécois-Français a commencé véritablement avec cet historien canadien-français. Son manifeste, si on peut l’appeler ainsi, dépasse de mille coudées Le Refus global dont on a exagéré l’influence sur la société québécoise. Le débat récent d’une semaine organisé par Radio-Canada sur la pensée de Hubert Aquin n’est rien à côté de celui que nous connaîtrions s’il s’agissait d’approfondir notre connaissance du phénomène d’indépendance des nations expliqué par Maurice Séguin.
Avec Maurice Séguin, les souverainistes et les Québécois apprendraient à se défendre, mais surtout à agir par eux-mêmes collectivement. Ce qui fait toute une différence avec la pensée simpliste et fédéraliste de cet André Pratte de La Presse qui manipule avec opportunisme le point de vue de Bernard Landry à son avantage.
Joyeux Noël à tout le monde.
Bruno Deshaies
Chroniqueur du jeudi http://www.vigile.net/spip/vigile3355.html
Vigile.net
23 décembre 2006
C'est à lire les arguments des adversaires de l'indépendance que des souverainistes en viennent à croire les Québécois peureux. Pendant des années, les fédéralistes ont émis des doutes sur la capacité des Québécois de réaliser un pays prospère. Ce n'est que récemment qu'un Charest admettait que les Québec en avait les moyens. Et que dire des arguments qui mettaient en doute l'existence même de la nation. Stéphane Dion disait dans les années de 90 que les Québécois, outre la question de la langue, ne présentait pas de différence culturelle importante avec les autres Canadiens. L'indépendance était donc une chimère. Jean Chrétien disait, quant à lui que ce désir d'indépendance n'était qu'une lubie de quelqu'élite hynoptisée par l'attrait des tapis rouges et des "flags sur le hood"...argument méprisant s'il en est un, auquel une part de la population francophone semblait accorder du crédit. Et les éditoriaux fédéralistes n'ont jamais souligné le caractère odieux de tels propos mais choisissaient d'en rire
22 décembre 2006
D'ailleurs, je ne sais pas si je suis seul à avoir ressenti ça, mais à voir RDI en faire la propagande à outrance, lors de la première, et d'annoncer en grande pompe Bon Cop Bad Cop en soulignant Canuel dire que c'est la réconciliation des deux solitudes, j'ai tout de suite su que je ne paierais jamais de mon gré pour voir ce film là.
Mais sinon, on ne sait même plus reconnaître les imposteurs... mais quelle stratégie que de fondre l'idendité québécoise à la canadian!
Vous n'y verrai que du feu!
Silence on tourne...
22 décembre 2006
Excellente analyse, M. Turcotte.
Je fut estomaqué d'entendre M. Landry proclamer ainsi Lawrence Cannon comme étant le porteur du sens de la motion d'un autre. M. Harper a pourtant été très clair récemment à ce sujet.
Pourquoi cet acharnement de M. Landry à vouloir expliquer à M. Harper ce que celui-ci pense ou dit? Comme si c'était les Canadians qu'il fallait convaincre de la souveraineté.
À quand une lettre de M. Landry aux Québécois?
21 décembre 2006
(en m'exusant de ne pas vous avoir envoyé la bonne copie de mon texte. Je vous prie de mettre plutôt cette version qui elle, est finale)
En réponse à Monsieur Landry,
Ex-Premier ministre du Québec -
«En faisant adopter par la Chambre des communes une motion reconnaissant la nation québécoise, vous avez rendu un énorme service à la vérité d’abord mais aussi au Québec et au Canada ».
Voilà comment débute le texte de Monsieur Landry. L’ancien chef du PQ a oublié, volontairement ou pas, de dire que la MOTION de Monsieur Harper parlait de la nation québécoise dans « UN CANADA UNI ». Pourquoi monsieur Landry ne le mentionne-t-il pas dans l’introduction de son texte ? C’est bizarre, hein ? Lorsqu’on cite quelque chose, on doit la citer dans sa totalité et non prendre uniquement les bouts qui intéressent celui qui l’utilise.
Et pourtant, le dernier bout de la motion est extrêmement important. Les fédéralistes ne se gêneront pas pour dire, lors de la prochaine élection, que même le Bloc québécois et le PQ ont voté en faveur de la nation québécoise dans un CANADA UNI. On est pour une nation québécoise dans un Etat nation ou on est pour une nation québécoise dans un CANADA UNI ? On ne peut dire les deux en même temps.
Monsieur Landry ne fait que répéter ici ce qu’il disait au journal LE DEVOIR, le dimanche 9 mars 2003, en pleine campagne électorale. La journaliste Katheleen Lévesque affirme que Monsieur Landry prône toujours un modèle confédératif de souveraineté :(et je cite) : JE VOIS LE QUEBEC DANS LES AMÉRIQUES COMME LA BELGIQUE DANS L’EUROPE. SI DEMAIN MATIN, JEAN CHRÉTIEN, DANS UN GESTE SPECTACULAIRE AVANT DE QUITTER LE GOUVERNEMENT, DISAIT : « J’OFFRE AU QUÉBEC, DANS LE CANADA (notez bien l’expression....), DANS L’UNION CANADIENNE, LE STATUT DE LA FRANCE DANS L’UNION EUROPÉENNE, LA QUESTION QUÉBÉCOISE SERAIT VITE RÉGLÉE ».
Il y a dans cette petite affirmation beaucoup d’erreurs. Il ne revient pas à Jean Chrétien ou à ses successeurs d’offrir à la nation québécoise de changer de statut politique. De plus, on ne peut comparer le Québec politique au statut politique de la Belgique ou de la France dans l’Europe. Le Québec existe présentement dans un Canada fédéré. Il a le statut de province. Ce qui n’est pas le cas de la France et de la Belgique. Avant d’entrer dans l’Union européenne, ces deux pays étaient déjà des États indépendant. Ce qui est loin d’être le cas du Québec actuel. Il lui est impossible de négocier pour lui un nouveau statut politique, sans d’abord quitter son statut de province. C’est l’étape première. Le reste suivra…si…
Avant de négocier son entrée dans un éventuel arrangement confédératif canadien, il faudrait que le Québec se donne le statut de la Belgique, à savoir devenir indépendant.
Monsieur Landry peut bien continuer à nous parler de la progression du mouvement ( ?) indépendantiste, personne ne sait ce que veulent dire les chiffres des référendums de 1980 et 1995. Pour la raison fort simple, c’est que les deux questions ne portaient pas sur l’indépendance du Québec. En 1980, les Québécois ont répondu à un mandat de négociations. Personne ne savait ce qu’il y avait à négocier. Monsieur Lévesque, en bon démocrate, s’était cependant engagé à faire un autre référendum pour sanctionner les résultats potentiels de cette négociation… impossible.
Même stratagème ou astuce en 1995. Parizeau devait poser une question claire. Il l’avait promis lors de l’élection de 1994. Il avait suggéré : ACCEPTEZ-VOUS QUE LE QUÉBEC DEVIENNE SOUVERAIN EN DATE DE.... ? OUI ou NON ? Telle ne fût pas la question.
Afin d’attirer Lucien Bouchard et Mario Dumont dans le camp du OUI, on demanda à nouveau aux Québécois de voter en faveur d’une hypothétique négociation entre le Canada et le Québec, sans que celui-ci sache exactement ce qu’il y avait à négocier. En disant OUI, on disait OUI à une négociation qui, de toute évidence, n’allait pas fonctionner, car le Canada anglais n’avait aucune obligation de le faire et surtout n’avait pas le mandat de négocier avec une de ses provinces un nouveau statut politique qui allait modifier le visage du pays canadien.
C’est pourquoi, l’Assemblée nationale s’était arrogée le droit, en cas d’échec des négociations, de proclamer l’indépendance unilatéralement. Et dire que tout ce beau monde prêche, à qui veut l’entendre, que la souveraineté appartient au peuple, et non au PQ, au BQ, ou à tout autre groupe. Belle contradiction!
La seule façon de savoir combien de personnes sont prêtes à dire OUI à l’indépendance du Québec, c’est de lui poser carrément la question. On se rendra compte rapidement que le résultat s’éloigne substantiellement du 50 %+1. Après le référendum de 1995, un sondage confirma que plus de la moitié des Québécois qui avaient dit OUI à la question posée, pensaient qu’ils allaient rester dans le CANADA, si les négociations fonctionnaient. Belle indépendance, hein ?
Le modèle confédératif que propose Monsieur Landry n’est, en bout de piste, qu’une forme de fédéralisme renouvelé. La position de Boisclair semble s’inscrire dans cette mouvance.
Avec tout le respect que j’ai pour l’ancien Premier ministre du Québec, je dois conclure que son dernier texte n’éclaire pas du tout la donne actuelle. Il faut dire aux Québécois, selon mon humble avis, qu’on ne peut traiter d’égal à égal avec le reste du CANADA, que si le Québec accède d’abord au stade de l’Etat nation.
Les entourloupettes habituelles continuent à mêler le monde, à montrer l’incohérence de note thèse, et par voie de conséquence, à l’impossibilité de rallier les citoyens du Québec à un objectif qui ne verse pas dans la confusion.
Nestor Turcotte Matane
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!