Pour en finir avec la violence policière
31 mars 2015
Par ce petit mot, Francois Munyabagisha et Jean-Pierre Bélisle, je tenais seulement à vous dire que vos commentaires m'ont touchés profondément.
Je ne connais pas la solution et ne suis pas certain de moyens à prendre, mais une chose est certaine, il faut que les citoyens 1- se protègent contre la violence, peu importe d'où qu'elle vienne.
Car on ne peut pas laisser le monde se faire battre comme ça sans rien dire. J'écris à ce sujet depuis 2012 et c'est cette cause qui a fait que j'a commencé à écrire des textes sur notre si nécessaire VIGILE.NET
1- se protège dis-je, mais aussi ...
2- Trouvent comment articuler leur révolte autrement qu'en allant comme des agneaux à l'abattoir, devant les policiers payés pour ça, se faire casser la gueule si ce n'est pas tuer. Car à voir la violence augmenter et devenr « normale » je ne vois pas le jour où ça va s'adoucir !
N'oublions pas que ce sont ces mêmes policiers qui tirent à coup de 9mm sur des sans abris, malades mentaux parce qu'ils ont brisé une vitre ou qu'ils ont fait pipi devant les passants. Moi, je n'attend plus rien d'eux ! J'en ai fait un deuil.
J'avais 18 ans il y a très longtemps, et leurs ancêtres nous poursuivaient rue saint-Denis ou dans le Vieux, avec des matraques de 3 pieds de long et buchaient comme des fous pour nous faire comprendre qu'eux, ils avaient le pouvoir, et que nous, LES POUILLEUX, nous n'étions rien !
Ces même flics du détersif, Québécois eux-même , battaient les Québécois parlant de LIBERTÉ !
Des sujets différents disais tu François, mais non, des sujets frères.
LA LIBERTÉ n'existe que sous une seule forme. Et s'il y a un endroit où la liberté s'exprime avec virtuosité, c'est quand il s'agit de LIBÉRATION NATIONALE.
Il n'y aura pas de Québec Libre s'il n'y a pas de Québécois LIBRES !
Inventons des moyens. Des moyens qui portent !
Oh belle jeunesse si brillante. Surprend nous avec ton imagination débordante et met à genoux les démons du système qui veut notre perte.
Je commence à me dire que les manifs d'antan dans lesquelles nous sommes perdant ou blessés n'ont plus de raison d'être. En tout cas, pas de cette façon !